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Textuel
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Combien de journées de vacances passées à ne
rien faire alors que tant d’occasions sont là
pour vous distraire bien qu’elles aient toujours
un peu le même air. Avouez-le, surtout ne
dites pas le contraire, tuer le temps, chacun en
fait son affaire, il vous fait face, il n’est jamais
derrière. Ah, sur Terre, il n’y a pas que l’enfer,
ici, s’y trouve paradis, bonne mère. Encore
parlé pour ne rien dire, pour ne rien faire de
ma journée mais, même si demain serait pire,
je me sens prêt à recommencer. Je m’habitue
très vite à ce type de farnienté, au point d’en
faire mode de vie préféré. Farniente, fatigués,
nous manquons de sommeil, d’énergie lors les
jours passent sans malheurs et sans heurts.
Lors tout effort est banni, travail, interdit, ici,
il suffit d’exister pour se croire en paradis. Ciel
bleu, mer d’huile, vent nul, calme plat,
courage, sortons d’ici et allons voir là-bas si j’y
suis, la tête dans un nuage, en demi sommeil,
sur un lit de plage. Alvor est celle que l’on
dévore des yeux, des dents, sans façon, autant
dedans que dehors, en mangeant des poissons.
Lézard au soleil, poisson en l’eau, oiseau dans
le ciel, je surveille mon bronzage, l’état de ma
peau, couleur miel. En milieu d’après-midi, je
me dé-soiffe : glace, bière, tonic, zeste, je
trouve un restaurant chic et pas cher, des plus
authentiques, avec sardines grillées, bon vin,
dessert, pour un ventre élastique. J’en sors,
repu, rassasié et, pour digérer, il me faut faire
la sieste. Las, je m’affale sur ma couchette,
pour me prélasser sous ma couette, après, je
m’assois sur ma banquette avant de m’étendre
sur ma serviette. En soirée, dehors, le vent
s’est levé, la nuit a commencé, je vais prendre
un verre au dancing en face, pour la terminer,
bien me bouger les fesses et me donner à fond
dans la séduction tant dans la pénombre des
néons noirs, tout est beau, tout est canon.
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Visuel
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Plage, côté mer, d’Alvor, avec
sérénité, parasol et fauteuil
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et autres : hamacs, serviettes,
coquillages, et voire cocotiers,
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qui permettront de buller, les pieds
en extension, lors des bains de mer.
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voire en piscine, en bordure de plage,
les jours où il y a trop de vent ou pluie.
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Poème
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Comment dire combien de journées de vacances,
Nous les aurons passées, à ne rien faire, en voilier,
Lors tant d’occasions étaient là offertes à nos yeux,
Pour nous distraire même si elles avaient même air.
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Avouons-le surtout, ne prétendons plus le contraire,
Pour tuer le temps chacun saurait en faire son affaire
Et il vous fera toujours face, il ne sera jamais derrière.
Sur Terre, il n’y a pas que l’enfer, y a paradis de la mer.
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C’est parler pour ne rien dire, ne rien faire de la journée.
Et même, en supposant que demain, ce serait en core pire
Je me sens tout prêt pour le revivre, pour le recommencer
Tant je me suis très vite habitué au plaisir d’un tel farniente
Ce, jusqu’à en faire et de très loin, mon mode de vie … préféré.
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Fatigués, nous manquons de sommeil, ou manquons d’énergie,
Jours passent, les uns après les autres sans malheur, sans heurts,
Lors tout travail nous est interdit ou pire lors tout effort est banni,
Suffit d’exister pour se croire un peu, parfois, beaucoup, au paradis
Surtout quand le ciel est bleu, la mer, d’huile, le vent nul, calme plat.
Courage, sortons d’ici, allons voir là-bas,
S’y je n’y suis pas, la tête en un nuage,
En demi-sommeil, sur lit de plage.
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Alvor est celle que l’on dévore
Des yeux, dents, sans façons
Autant dedans, que dehors,
Et en mangeant ses poissons.
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Un lézard au soleil ou poisson,
Dans l’eau, oiseau, dans le ciel.
Lors je surveille, mon bronzage,
L’état de ma peau, couleur miel,
Milieu après-midi, je me déssoiffe
Avec glaces et bières, tonic et zeste.
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Au soir je trouve un restaurant chic
Et pas cher et des plus authentiques
Avec sardines grillées, avec bon vin,
Un dessert, pour un ventre élastique
J’en sors bien repu et bien rassasié,
Pour digérer, me faut faire la sieste.
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Las, je m’affale, sur ma couchette,
Puis me prélasse sous ma couette,
Après, je m’assois sur la banquette
Je m’éponge avec grande serviette.
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Voilà, qu’en soirée, dehors : le vent
S’est levé, et la nuit va commencer,
Et je vais aller prendre un verre au
Au dancing en face pour terminer,
Bien me bouger les fesses, et tout
Donner à fond dans la séduction.
En la pénombre des néons noirs
Tout est beau et tout est canon.
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Extension
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Au matin, je sors m’affranchir des fantômes
De gens dans la rue, se hâtant, comme moi,
De rentrer à l’hôtel, maison, bateau, tente.
Je me sens très fatigué de ma dure journée,
Je n’en peux plus, lors, je n’ai qu’une envie :
Corps se repose, amour et sommeil le contentent.
Alvor vous dévore au point de vous rendre zombie,
Mort-vivant et de ne plus être capable de penser
Qu’à cette atmosphère de lumière et d’ombre
Où tout devient flou, se rend mystère,
Y compris l’amour et la mer.
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***
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Sommes sur la plage d’Alvor pour piqueniquer à l’ombre
D’un parasol
Rêvons de palmiers iles lointaines, paradisiaques alors que
Nous y sommes.
L’idée d’un bain nous vient à vingt degrés, pieds dans l’eau
En éventail.
Caresses d’eau nous montent, des jambes, moelle épinière,
Jusqu’au cerveau,
Souvenir lointain, de notre avant-vie dans le sein maternel,
Qui se rafraichit
Paradoxe, que le temps qui s’arrête alors que la mer bouge
Lors sous nous
Le monde peut devenir menaçant, s’écrouler, en l’instant,
On s’en fout !
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***
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Un cliché même des vacanciers urbains,
Que cette foule dense et jouant sur plage
Bullant ici, et ailleurs, prenant leurs bains,
Avec en arrière-plan, falaise ocre, découpée.
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Farnienté n’est pas mon fort mais la journée
Était si chaude, ensoleillée, calme, délassée,
Que je me suis laissé tenter par l’inactivité,
Encouragé en cela, par les plagistes, affalés.
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En fermant les yeux, et les pieds dans l’eau,
Je me suis cru, je me suis du moins imaginé
Être quelque part, une ile des plus exotiques
Où chacun se livre à des activités nautiques.
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Fatigué du bruit, de la chaleur et l’ambiance
Et plus encore par une longue nage, en rage,
Je reviens au voilier m’étendre sur couchette
D’autres sensations m’assaillent, sans repos.
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Soirée finit de m’achever avec trois mojitos,
Je ne sais où j’en suis, ni où est mon bateau,
Ambiances bruyantes de rue, m’étourdissent
Y a que sommeil pour me calmer qui puisse.
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À peine aurai-je posé un pied sur le voilier,
Que je m’affale de suite sur mon lit douillet,
Et lors au matin, me réveillant tout guilleret
J’exprime, comme impression, d’avoir rêvé !
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Calligramme
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Comment dire combien de journées de vacances,
Nous les aurons passées, à ne rien faire, en voilier,
Lors tant d’occasions étaient là offertes à nos yeux,
Pour nous A distraire même si elles avaient J même air.
Avouons-le L surtout, ne prétendons plus le O contraire,
Pour tuer V le temps chacun sait en faire son U affaire
Et, il vous O fera toujours face, il ne sera jamais R derrière.
Sur Terre R il n’y a pas que l’enfer, y a paradis de * la mer.
Encore par * ler pour ne rien dire, rien faire de la A journée.
Et même F en supposant que demain, ce serait en U core pire
Je me sens A tout prêt pour le revivre, pour le recom * mencer
Tant je me R suis fort vite habitué au plaisir d’un tel P farniente
Et ce, jus N qu’à en faire, de très loin, mon mode de vie A préféré.
Fatigués, I nous manquons de sommeil, ou manquons d’ R énergie,
Jours pas E sent, les uns après les autres sans malheur, sans A heurts,
Lors tout N travail nous est interdit ou pire lors tout effort est D banni,
Il suffit T exister pour se croire un peu, parfois, beaucoup, au I paradis
Surtout E quand le ciel est bleu, la mer, d’huile, le vent nul, cal S me plat.
.
Courage, sortons d’ici, allons voir là-bas,
S’y je n’y suis pas, la tête en un nuage,
En demi-sommeil sur lit de plage.
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Alvor est celle que l’on dévore
Des yeux, dents, sans façons
Autant dedans, que dehors,
Et en mangeant ses poissons.
.
Un lézard au soleil ou poisson,
Dans l’eau, oiseau, dans le ciel.
Et, je surveille, mon bronzage,
État de ma peau, couleur miel,
Milieu d’après-midi, je me dé-
Soiffe, glace/bière tonic/zeste,
Et je trouve un restaurant chic
Pas cher des plus authentiques
Sardines gril lées, avec bon vin,
Dessert pour un ventre élastique
D’où je sors repu, bien rassasié,
Pour digérer il me faut la sieste.
.
Las, je m’affale, sur ma couchette,
Pour me prélasser sous ma couette,
Après je m’assois sur ma banquette
Avant de m’étendre sur la serviette.
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Voilà, qu’en soirée, dehors : le vent
S’est levé, et la nuit va commencer,
Et je vais aller prendre un verre au
Dancing en face, pour la terminer,
Bien me bouger les fesses, et tout
Donner à fond dans la séduction,
En la pénombre des néons noirs
Tout est beau et tout est canon.
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Forme
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Évocation
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Lampe de chevet farniente,
Champignon, de type bolet,
Château d’eau, en hauteur,
Mannequin porte-vêtement.
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Une lampe de chevet s’avère utile
Évoque sommeil profond nocturne
Que la sieste, que l’on dit diurne,
Pratiquée, parfois, à deux !
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La forme reflète le fond, en partie seulement,
On peut farnienter aussi sous parasol en plage
La lampe de chevet sera l’inverse du parasol :
Lumière crue, intérieure ; diffuse, extérieur.
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Symbolique
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Une lampe de chevet
Est une lampe située près du lit,
À hauteur de la tête dans une chambre
Elle est accrochée au mur,
Posée sur une table de nuit
Sert à éclairer la personne
Qui est assise ou allongée,
De manière à lui permettre
Par exemple lire, rêvasser.
Wikipédia : lampe de chevet
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Descriptif
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Alignement central / Titre dédoublé / Thème lumière
Forme élargie/ Rimes variées / Fond assorti à la forme
Symbole de forme : Lampe/ Symbole du fond : Farniente
MC : Oxymoron, chose/contraire, réalité, imaginaire
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Fond
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Évocation
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Le farniente suppose de n’être éclairé
Que faiblement en pénombre,
Qui laisse votre imaginaire se déployer,
Dans votre tête, à souhait !
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Symbolique
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Rien faire ni tenir la barre,
Ni contrôler les voiles, le cap,
La vitesse, et, l’environnement.
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Seulement, et, toujours, le même
Horizon à fixer avec le même clapotis
De vagues sans avoir, lors mouillage,
À se soucier des distances pour évitage
Et surtout à ne plus entendre les bruits
Des bateaux à moteurs ou de pêche …
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Dans une couchette, dans la pénombre
Propice à la rêverie : que faire, d’autre
Que de se laisser aller à un farniente
Plein d’évocations … et de fantasmes.
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Fond/forme
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L’ombre n’est pas toujours un côté obscur
En oxymoron on lui associe un côté clair
Qui fait dire une chose et son contraire,
Simultanée ou accolée, comme on veut.
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Son réveil, dans une semi conscience,
Serait parfois difficile pour atterrir
En une autre réalité avec le corps
Et tous ses sens qui percuteront
Toutes frasques du farniente.
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Lumière tamisée pour laisser-aller,
Ralentit l’énergie extérieure, intérieure
Et autorise son imaginaire à tout envahir,
Jusqu’à sa moindre pensée, moindre soupir.
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Épilogue
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Farniente : m’enfin, voyons, passe le temps,
Et l’été comme chacun sait ne dure éternité.
D’accord, faut en perdre, prendre son temps,
L’ennui peut nous exténuer, procurer idées !
***
L’idée ici n’est pas tant de pratiquer activités,
Contre farnientés mais plutôt de les alterner,
Foncer tête baissée vers tout ce qui bouge,
Mettra notre tête en ébullition, dans le rouge.
***
Les doigts de pieds en éventail sur sable doré
Sinon assis sur une chaise au bistro à siroter
Et voire devant un plat succulent à déguster,
Ne remue ni muscles ni sangs, à poireauter.
***
Le jour, la rando, la nage, le dancing le soir :
Voilà le programme qu’on dira bien chargé,
N’y aura de plaisir que celui qu’on se choisit
Paradis marchant, ne le serait pas dormant.
***
Le bruit, la chaleur, la foule, les marchés,
N’aident pas à se décider à s’en détacher.
Je me retire pour ma sieste en couchette,
La nuit, sommeil tarde à venir, c’est bête
***
Dieu merci, ma lampe de chevet éclairera
Tant ma bonne lecture que mon bel esprit
Elle est comme présence d’un jour allongé.
***
Entre les lignes, j’y ajouterai mes pensées,
Qui me poussent à rêver, sinon à rêvasser,
Du dehors j’entends bruits forts ou feutrés.
***
Mon imaginaire s’envole en cette autre contrée,
Où la raison, la réalité n’ont plus cours : oubliés
Lors je me prends à me rêver de toute autre vie,
***
En laquelle, en marin aguerri, je sillonnerai
Les mers, de port en ports, voire d’ile en îles,
L’esprit, le cœur, et voire l’âme … tranquilles.
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