09 – Portimao: sa rade

Visuels et textuels  >>

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Textuel

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Portimao, en fond de rade, avec deux ports,

est une ville industrielle plus que touristique

mais son immense plage, en face, sise à

Ferragudo, respire nature, loisirs et farnienté

à plein nez. La nuit est très calme et propice à

observer des étoiles qui miroitent. Mes yeux se

ferment, s’ouvrent, sur le diamant pur d’une

Lune flirtant avec le Soleil levant avant l’adieu

à sa nuit brune. Je me crois, puis je me vois,

en quelque ile tropicale, comme surgissant là,

devant : Tahiti, Tobago, Bora-Bora, Canaries,

hors d’Espagne, en tous cas, loin de Portimao,

de sa baie, sa plage, son port.  Aurore, ce

matin, debout sur le pont du bateau, un

spectacle féérique de lutte, entre le jour et la

nuit, s’offre à moi au pied d’un rocher, au raz

de l’eau. Pas une ride, pas un souffle, pas un

signe de vie. Alors que les feux de cette ville

endormie brillent encore, elle se prépare à une

sa nouvelle journée avec un soleil fort. ! Les

plages de Ferragudo, dans l’anse de Portimao,

leurs eaux, je les garderai, toujours sur ma

peau ! La plage est déserte, livrée aux flots et à

elle-même. En bas, des rangées de parasols,

abandonnés çà et là, sont dominées par des

falaises à pic, arborant des villas, entourées de

palmiers, se détachant en contre-jour blême.

Privilégiés, méritants, y ont placé une part de

leur argent, pour le mettre en vue, vue sur

mer, pour les braves gens ! Rideaux de

verdures, en haut, touffes bruyères en bas,

augmentent les contrastes déjà très forts,

entre terre et mer. Des émotions brutales

m’envahissent, le soleil regagne sur la nuit

autour, effaçant des ombres noires qui

blanchissent. On lève l’ancre, on sort vers le

large et plus tard et plus loin, le vent nous

pousse à longer une autre plage, un autre coin.

Nos yeux sont captivés par un gruyère de

grottes en rochers dans lequel une grande

arche est parvenue à jeter un pont,  lors même

personne n’y habite hormis des goélands

furieux, qui se chamaillent, toujours, entre

eux, à qui mieux mieux ! Ici, creux dans la

falaise au niveau de l’eau, là, au milieu. Rien

n’est plus coloré, rien, plus grandiose, rien

plus beau. L’intensité de chaque instant

s’accorde à celle des lieux, l’on entend,

immobile, l’écume fraiche, noble du courant,

glisser sur la plage jusqu’aux pieds des

rochers, hors d’eau, joignant la terre, la mer,

l’air et le feu en un même élément.

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Visuel

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 Ferragudo est la très grande plage,

située juste en face de Portimao,

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et à terre, de la plage, nous avons

une vue sur notre beau mouillage,

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lors nous en profiterons pour nous

 baigner, pour visiter les environs.

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ainsi que la ville de Portimao, en face,

avec sa grande place au bord de l’eau!

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Poème 

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Portimao, en fond de rade,

Avec son port de plaisance

Reste une ville industrielle

Bien plus  que touristique,

Offrant …  immense plage,

En face … sise à Ferragudo

Respirant  la  nature, loisir,

Voire  farniente, à plein nez.

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Toute nuit est calme, propice

À observer étoiles miroitantes.

Mes yeux se ferment, s’ouvrent,

Sur un pur diamant  d’une Lune,

Qui réfléchit parfois Soleil levant.

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Je me crois  ou bien  je me  vois

Dans  quelques  iles  tropicales,

Comme  surgissant, là, devant,

Tahiti,  Tobago  …  Bora-Bora,

En tous cas loin de Portimao,

De sa baie, sa plage, son port.

 .

L’aurore, ce matin, debout sur le pont du bateau,

Spectacle féérique de lutte entre le jour et la nuit,

S’offre à moi, pied du rocher, juste au raz de l’eau,

Pas une ride, pas un souffle pas même signe de vie,

Bien que des feux de belle endormie brillent encore

Préparant une nouvelle journée, avec son soleil fort.

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La plage Ferragudo…  sise dans la rade de Portimao

Ses eaux chaudes, les garderai toujours sur ma peau,

Une plage déserte et livrée aux flots, ou, à elle-même.

En bas, on voit rangées parasols, abandonnés çà et là,

Elle est dominée par falaise à pic qui arbore des villas

Entourées palmiers se détachant en contre-jour blême.

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Privilégiés, méritants, y ont placé partie de leur argent,

Pour bien le mettre en vue : vue sur mer de braves gens.

Rideaux de verdure en haut, herbe en bas, touffe bruyère

Augmentent tous contrastes, très forts, entre terre et mer.

Quelques émotions brutales m’envahissent lors soleil gagne

Sur la nuit alentour lors effaçant ombre noire, blanchissante.

On lève l’ancre, sort vers le large bien plus tard, bien plus loin,

Vent nous pousse à longer autre plage, sise dans un autre coin.

 .

Nos yeux deviendront captivés par gruyères de grottes et rochers

Dans lequel une grande arche est parvenue, comme un pont, jeter,

Bien que personne n’y habiterait, hormis la horde goélands, furieux,

Eux, qui se chamailleraient toujours entre eux, et à qui mieux mieux.

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Ici, un beau creux dans la falaise, au niveau de l’eau, là en plein milieu

Rien n’est plus coloré, rien n’est plus grandiose ou ne serait aussi beau,

Tant l’intensité de chaque instant s’accorde harmonieusement aux lieux

Rien qu’à entendre, restant immobile, l’écume fraiche, noble du courant

Glisser jusque sur plage, jusqu’au pied d’un rocher, jusque hors de l’eau,

Lors joignant la terre et la mer, et l’air le feu, comme en même élément !

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Extension

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x

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Portimao au fond de rade, mouillage face à la plage de Ferragudo

Sur la photo, on aperçoit les deux couleurs, verte et bleu, de l’eau.

Plus bas, le mouillage des voiliers, qui font halte, pour en profiter.

En un tour d’annexe nous traversons pour rejoindre plage ou ville,

Nous avons visité la ville toute blanche, toits rouges, comme midi

Côté rade, c’est super, mer, ne l’est pas moins, falaises, escarpées.

Kilomètres de plages sable fin et doré et de l’eau bien tempérée.

L’envie nous prend d’y rester : le voyage nous appelle ailleurs !

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Portimao, Ferragudo, autre rade, autre plage,

Que nous empruntons pour autre mouillage :

L’endroit est bien plus grand, bien plus sage,

Convient mieux à notre ramage et plumage !

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La tourelle, en entrée, de rade  sert  de phare

Et elle nous sert de repère entre terre et mer

Portimao est à un quart d’heure, en annexe

Allons y faire un tour, pour voir sa marina.

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Lendemain : randonnons, côté Ferragudo,

Un gros village balnéaire plus qu’une ville,

Avons découvert son château, bord d’eau

Vrai bastion construit comme un joyau.

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Bien sûr un bain, avant le restaurant

Cette fois plus de sardine, du poulet

Ou du porc, cuisiné façon Alentejo,

Qui nous a ravi les papilles, autant.

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La nuit fut calme, presque de trop,

Une houle nous a bercé pour dodo

Avons été réveillés par cris oiseaux

Avons déjeunés levés l’ancre, tchao.

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 Calligramme

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Portimao, en fond de rade,

Avec son port de plaisance

Est une ville … industrielle

Bien plus  que touristique.

Elle offre  l’immense plage

En face … sise à Ferragudo

Respirant  la  nature, loisir,

Voire  farniente, à plein nez.

Toute nuit est calme, propice

À observer étoiles miroitantes.

Mes yeux se ferment, s’ouvrent,

Sur un pur diamant  d’une Lune,

Qui réfléchit, parfois, Soleil levant !

 .

Je me crois ou bien je me vois dans quelques iles tropicales,

Comme surgissant, là, devant, Tahiti, Tobago … Bora-Bora,

En tous cas loin de Portimao, de sa baie, sa plage, son port.

P

Aurore, matin, debout  O  sur le pont du bateau,

Spectacle féérique de     R   lutte entre jour et nuit

S’offre à moi au pied       T     rocher, au raz de l’eau

Pas une ride, un souffle    I    pas même  signe de vie.

Mais les feux de la belle    M  endormie brillent encore

Préparant nouvelle jour     A    née, avec son soleil  fort.

La plage Ferragudo, sise    O   dans la rade de Portimao

Ses eaux chaudes les garde *   rai toujours sur ma peau ;

Une plage déserte et livrée   S    aux flots, ou à elle-même.

En bas, on voit rangées pa    A   rasols abandonnés çà et là

Elle est dominée par falaise   *      à pic qui arbore les villas

Entourées palmiers se déta    R      chant contre-jour blême.

Privilégiés, méritants, y ont    A   placé partie de leur argent,

Pour mieux le mettre en vue   D   vue sur mer de braves gens.

Rideaux de verdure en haut    E  herbe en bas, touffe bruyère,

Augmentent tous contrastes     *    très forts entre terre et mer.

Quelques émotions brutales m’ S    envahissent lors soleil gagne

Sur nuit alentour lors effaçant   A     ombre noire blanchissante ;

On lève l’ancre, sort vers le large *  bien  plus tard, bien plus loin,

Vent nous pousse à longer autre P   plage, sise dans un autre coin.

 L

Yeux deviendront captivés par    A   le gruyère de grottes et rochers

En lequel une grande arche est     G       parvenue, comme pont, jeter,

Bien que personne n’y habiterait   E    hormis horde goélands, furieux,

Eux, qui se chamaillent, toujours    *    entre eux, et à qui mieux mieux.

Ici, un beau creux dans la falaise     E   niveau de l’eau, là en plein milieu

Rien n’est plus coloré, plus gran       T    diose et rien ne serait aussi beau,

Tant l’intensité de chaque instant     *      s’accorde harmonieuse aux lieux

À en  entendre, restant immobile      P     l’écume fraiche, noble du courant

Glisser jusque sur plage jusqu’au       O      pied de rocher, jusque hors d’eau

Joignant la terre et la mer, et l’air      R        le feu, en seul et même élément !

T

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Forme

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Évocation

 .

Grande  tourelle ou un phare,

Un balai pour grosses poussières

Un fanal signalant un mouillage

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Une  tourelle pour une entrée de port,

Plutôt, ici,  d’une rade

Nous offre protection très assurée au

Mouillage, près de plage.

 .

 Symbolique 

 .

Le balisage est constitué

Des tourelles fixes situées

À terre ou mer : amers, bouées flottantes,

Ces balises indiqueront les dangers en mer

Et délimitent les chenaux  d’accès aux ports.

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Les tourelles  et  les  bouées  peuvent  émettre

Un signal lumineux de nuit, de portée réduite,

En permettant ainsi leur bonne  identification.

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Les balises, tout comme les feux  et  les phares,

Peuvent être équipées avec émetteurs sonores

Afin de permettre leur  meilleure localisation

Par temps de brume ou d’orage, tempête.

wikipedia.org/wiki/Signalisation_

maritime#Le_balisage

 .

Descriptif

 .

Alignement droit   /  Titre droit  /     Thème Port

Forme élargie/ Rimes égales / Fond approché de la forme

Symbole de forme : Tourelle/ Symbole du fond : Mouillage.

M C : Rade, ville, bateaux, abri/tempêtes, plages, restaurants

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Fond

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Évocation 

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Une zone de mouillage est signalée sur carte

Pour jeter l’ancre en toute sécurité

Elle est souvent abritée des vents dominants

Avec peu de courant, profondeur.

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Symbolique

 .

Un mouillage  est un lieu  abrité du vent

Et des vagues, situé souvent le long de la côte

Dans lequel un bateau peut s’arrêter en sécurité

En s’amarrant sur son ancre, ou bouée, ou coffre.

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Il est relié au fonds, par un cordage ou une chaîne,

Maintenu par crapaud ou corps-morts empennelés.

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Il arrive que l’ancre dérape  sur le fond, les algues,

Qu’elle ne parvient pas à s’accrocher sur le sable

Ou que les autres bateaux sont trop prés

 en somme, mouiller reste tout un art

Il y a des consignes à respecter

Pour bien dormir la nuit

 Source : Wikipédia.

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Fond/forme 

 .

Portimao, ville en rade dans laquelle navigue

Bon nombre de bateaux qui se croisent en haut,

Lors peu près de la plage, en face, de Ferragudo.

Mouillage en paix s’il en est, à l’abri de tempêtes

Avec possibilité de traverser avec l’annexe bateau,

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Sinon prendre la navette juste au bout de la plage,

Où un bon restaurant nous a accueillis à sa table

Pour manger crustacés et poissons frais pêchés

En bref, on pourrait y passer toute la semaine.

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Ici, il est question d’une tourelle à petit feu,

D’un style massif et  panaché, noir blanc.

On a comme l’impression d’être dedans,

Et d’admirer le paysage, tout alentour.

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Épilogue

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Un grand port reste tout autre chose

Qu’un petit, cela avec ou sans marina :

La grande rade de Portimao Ferragudo

S’enfonce assez profondément en terre.

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Nous avons choisi un bon mouillage,

Tout près de la sortie  et d’une plage,

Et le spectacle qui s’offre à nos yeux,

Le matin reste des plus merveilleux !

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Falaise derrière nous abrite des villas

Avec jardins comme oasis de verdure

Il faut prendre son chevalet peinture

Et dessiner atmosphères en captures.

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En sortant de la rade, nous entrerons

En sorte  de grande arche,  en  grotte

Comme une cathédrale, haut plafond

Haut  mât  de notre voilier, s’y frotte.

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La tourelle phare d’entrée en sa rade

Est visible de très loin sur long môle

On y voit  nombre bateaux de pèche

Et voiliers entrer et sortir à volonté.

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On peut aussi mouiller à l’extérieur

La houle nous aurait  bien  balancé,

Rien ne vaut d’être à l’abri, en anse,

Accroché à une bouée qui ne danse.

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Une randonnée, un bain, un restau :

Un jour à Portimao, autre Ferragudo

Que vouloir de mieux en soleil ardent

Qui semble vouloir arrêter le temps !

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Visuels et textuels  >>


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