804 – Permanence de notre identité ?

Visuels et textuels >>

Identité de soi-même,  autre,

De peuple, culture, civilisation,

Autant de questions et réponses

Très floues sinon approximatives.

.

On peut endosser   plusieurs rôles,

Personnages, changer  d’état  civil,

Et, malgré tout,  rester  identiques,

Comme les acteurs,   en un théâtre.

.

Quand notre histoire  nous façonne,

Les événements  nous transforment.

La différence entre  enfant, vieillard,

Est tellement grande  qu’elle  étonne.

.

Sommes-nous maitres notre identité

Ou en partie, manipulés  par autres :

Il faudra  se pencher  sur la question,

Si on ne veut pas   qu’on nous la vole.

.

Toute permanence   de notre identité

Est-elle de notre fait de choix décidé

Ou simplement sur des opportunités

Avoir sauté pour mieux en profiter.

.

Comment prétendre être le même,

À six ans …  qu’à soixante-six ans,

Tant le monde, autour, a changé,

Nous forçant  à  nous  y adapter.

.

Deviens  ce que tu es : aphorisme,

Que Nietzsche emprunte à Pindare

En y mêlant l’altruisme à l’égoïsme

Y parvient-on, un jour tôt ou tard !

.

Sommes-nous sûr de faire bon choix ?

Son moi est-il le même identique en tout

Ou son moi se dilue ou se dissous partout

En faisant mille et une expériences de foi.

.

De foi  en ce non-sens, de propre   réalité,

N’ayant pas lieu d’être  ne menant  à rien,

Quel que soit la raison, l’issue,  le chemin

Tout étant égal : animal, social,  mort-né.

.

L’identité, notion, à la fois, claire et floue,

Égalité et différence  en font fourre-tout.

Je serais  égal,  à moi-même,  surement,

Différent aussi des autres  assurément.

J’étais, je suis et je serai : conjugués,

Peuvent accentuer des  différences.

.

Lors toujours égal  à lui-même,

Ajoute à  ma  ressemblance

Au moins … physique,

Sinon  psychique

Une  humeur

Pareille

V

.

.

Extension

.

La permanence de l’identité

Est liée aux souvenirs plus qu’apparences.

Je peux me forcer à ressembler à quelqu’un d’autre,

Je ne peux pas capter ses souvenirs, son histoire, son passé.

Elle est aussi et encore celle qui demeure au-delà de ma mort,

Sur une tombe ou une urne et puis ans la mémoire de

Ceux qui restent, se souviennent de vous

Comme être unique et aimé.

.

L’identité demeure une chose fragile, du moins fragilisée

Par suite de diverses manipulations possibles en cerveaux !

Si l’on peut modifier, ou remplacer, son logiciel par un autre !

Et même sans cela, un peu comme un acteur multipersonnages,

Qu’en est-il de mon identité après dix métiers, mariages ou pays ?

Mon identité, est-ce moi, mon passé qui le défini, l’administration ?

Est-ce que tout le monde, dans tous les pays, aura même définition ?

.

Mon identité n’appartient qu’à moi-même

Par définition, personne ne peut l’usurper,

Pour autant, c’est bien à moi de la prouver

Dès que l’on sentira le besoin de la vérifier.

.

Il ne s’agit là que de mon identité physique,

Identité psychique, ethnique, professionnelle,

Contiendra d’autres caractères que génétiques

Il s’agit de ce que contient, soutient, le cerveau.

.

Les catégories  socioculturelles, voire spirituelles,

Auxquelles j’appartiens, voire auxquelles j’adhère ,

Sont répertoriées comme attachées à mon identité,

Si j’en change est-ce noté, est-ce crédible, cohérent ?

.

C’est bien là  que le bât blesse : chacun a  son histoire,

On tient compte d’où je viens, où j’en suis aujourd’hui,

Mais pas toujours prédire où je vais, ce que je deviens.

.

Et mon identité est souvent liée, modifiée, par conjoint,

Si ce n’est  par les enfants, les accidents, aléas de la vie :

En définitive je n’ai pas qu’une mais plusieurs identités.

.

Tant et si bien  que, de faire la part du feu, entre ce qui

Provient  du fond  de ma personne, famille, entourage,

Société, manipulations, influences, conditionnements

Est une gageure qui tient de la sortie d’un labyrinthe.

.

De dire mon identité, c’est moi, elle est permanente

Est un vœu de l’esprit qui, certes, me tient au corps

Mais qui en aucun cas ne me définira entièrement.

.

.

Épilogue    

.

Toutes les cellules issues de la segmentation

D’une même cellule-œuf, conservent la même

Information génétique donc même patrimoine

Héréditaire, c’est ce qui fait identité biologique

De chaque organisme d’une nature universelle !

camerecole.org/classes/440-l-identite

-biologique-des-organismes-

 

***

 

Voilà qui aura le mérite d’être simple et clair

De ce côté-là on ne cherche poux dans la tête,

Mais l’identité : psychique, sociale, culturelle

Qu’en dit-on qu’en fait-on, et modéliste-ton ?

 

***

La psychologie, la sociologie et la philosophie

S’emmêlent pinceaux  dans ce grand tableau,

Qui juxtapose, croise, voire même  superpose,

Nos caractéristiques individuelles, collectives.

 

***

Cette identité pour moi est faite de ce que j’ai

Vécu, échoué, surmonté, réussi, expérimenté,

Ou encore histoire, développement personnel.

Sans omettre identité administrative officielle

 

***

Mon identité personnelle s’est construite avec

Le langage, la mémoire et la conscience de soi

Auxquels ajouter  l’existence de l’inconscient,

Nos relations aux autres, et nos choix de vie !

 

***

Célèbre  «Connais-toi toi-même» de Socrate

Est exhortation à comprendre,

Non seulement, nos capacités, nos limites,

Mais aussi  nos valeurs,

Nos désirs, notre place dans le monde :

 Y a du pain sur la planche.

reseaudiane.com/connais-toi-

toi-meme- –enseignements-de-socrate

.

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804 – Calligramme

.

Identité de soi-même,  autre,

De peuple, culture, civilisation,

Autant de questions et réponses

Très floues sinon approximatives.

On peut endosser   plusieurs rôles,

Personnages, changer  d’état  civil,

Et, malgré tout,  rester  identiques,

Comme les acteurs,   en un théâtre.

Quand notre histoire  nous façonne,

Les événements  nous transforment.

La différence entre  enfant, vieillard,

Est tellement grande  qu’elle  étonne.

Sommes-nous maitres notre identité

Ou en partie, manipulés  par autres :

Il faudra  se pencher  sur la question,

Si on ne veut pas   qu’on nous la vole.

Toute permanence   de notre identité

Est-elle de notre fait de choix décidé

Ou simplement sur des opportunités

Avoir sauté pour mieux en profiter.

Comment prétendre être le même,

À six ans …  qu’à soixante-six ans,

Tant le monde, autour, a changé,

Nous forçant  à  nous  y adapter.

LA PERMANENCE  DE

Deviens  ce que tu es : aphorisme,

Que Nietzsche emprunte à Pindare

En y mêlant l’altruisme  * à l’égoïsme

Y parvient-on, un jour   N     tôt ou tard !

Sommes-nous sûr de      O      faire bon choix

Son moi est-il le même     T       identique en tout

Ou son moi se dilue ou      R        se dissous partout

En faisant mille et une       E         expériences de foi.

De foi  en ce non-sens,        *          de propre   réalité,

N’ayant pas lieu d’être         I         ne menant  à rien,

Quel que soit la raison          D       l’issue  le chemin

Tout étant égal, animal,          E      social,  mort-né.

L’identité, notion, à la fois,     N      claire et floue,

Égalité et différence  en font   T       fourre-tout.

Je serais  égal à moi-même    I        surement,

Différent aussi des autres   T  assurément.

J’étais, je suis et je serai  É   conjugués,

Peuvent accentuer des  * différences.

Lors toujours égal   à lui-même,

Ajoute à  ma  ressemblance

Au moins … physique,

Sinon  psychique

Une  humeur

Pareille

V

.

.

Forme

.

Réduction

.

.

804 4

.

Évocation

.

On peut voir pointe de quelque chose

Et pourquoi pas  un spermatozoïde

Ou voire une pointe de stylo à encre !

 .

 Identité rime avec origine  ethnique et civique,

Identité, faisant correspondre fond et forme

Lors provenant de la fusion de deux ADN !

 .

Ça ressemble à un gamète de spermatozoïde

Même s’il n’est pas d’humain

S’il est, il contiendrait une part de notre identité

Et que personne ne peut renier.

 .

Symbolique 

  .

 » Dans   ce

Qu’on décrit

Comme     la

Fécondation,

La rencontre

Des   gamètes,

On rejoue le geste

Par lequel l’homme

Pénètre      la femme.

On s’est imaginé les

Gamètes   comme

Des    espèces

D’individus

En petit.»

.

.

Descriptif

.

804 –  Quelle permanence pour notre identité ?       

Alignement central / Titre analogue / Thème  cohérence

Forme courbe / Rimes égales / Fond accordé à  forme

Symbole forme : sperme / Symbole fond : identité

.

.

Fond

.

Évocation 

.

804 6

.

Notre identité est, pour grande partie,

Programmée par nos gènes

Mais l’histoire personnelle de chacun

Jouera aussi un rôle essentiel !

.

 Symbolique 

 .

L’identité de l’individu

Est, en  psychologie  sociale,

La reconnaissance de ce qu’il est,

Par lui-même, ou vu  par les autres.

.

La notion d’identité est au croisement

De la sociologie et de la psychologie,

Mais  intéressera aussi  la biologie,

La philosophie et la géographie.

.

En psychanalyse cette notion

Se retrouve dans le moi et

Dans …  l’identification,

Et en philosophie, dans

L’identité personnelle.

Source : Wikipédia

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

 .

Toute ma vie, et depuis ma conception je change

Et je resterai toujours le même, physiologiquement !

Apparence génétique, spermatozoïde ne constitue

Qu’une moitié de mon patrimoine, associé ovule.

.

Ce n’est pas moi qui reconnais mon identité sociale

Ce sont les autres et l’identité civique, les institutions,

Mais la permanence de mon identité tiendrait autant

De mon histoire personnelle, du vécu, ma personnalité

Suis-je pareil, ou différent entre trois et soixante ans,

Et si je me sens différent, qu’est-ce qui reste d’avant,

Auquel  je tiens, dont je ne peux me défaire, passer,

Que je crois avoir changé  alors qu’il n’en est rien.

.

Les autres le diront mais je le sens de l’intérieur.

 Si certains ne se reconnaissent plus comme avant

C’est en partie vrai, grande partie, vraisemblant,

Quoiqu’il en soit, en fut, personne  ne peut renier

Son passé, même l’oublier, par lui, conditionné.

.

Visuel

.

.

Impermanence de l’identité

.

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Visuels et textuels >>


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