816 – Prisonniers de nos choix ?

Visuels et textuels >>

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Calligramme

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On se croit  S  malin d’avoir choix  O    infini

Pour faire   O    un métier et pour se   N   marier

Lors on     M    est enfant, adolescent et N  soudain

On nous   M    force à choisir, et, à nous   I  en tenir.

J’ai tou     E    jours rêvé de devenir pilote   E  pompier

On est là   S   en un rêve,   en une société fan  R   tasmée

J’ai tou        jours rêvé  d’épouser un garçon    S     blond,

On est là  N   en rêve de Poupée Barbie et sans   *   raison.

Ou alors  O   la raison  est, ailleurs : en manipu   D   lation.

Pour fai  U   re accepter son idée  à son chef, qui  E  ne sait

Ce qu’il   S  faut faire mais qui croit qu’elle vient   *   de lui.

En autre  *   il nous faut croire, ça marche autant  C   aussi.

La situa   P   tion se renverse  dès que  l’on est en  H  échec.

Ce n’est    R    pas moi qui serais drogué, c’est la  O  société.

Personne  I     ne vous force à boire ni fumer ni   I    jointer,

Personne    S    ne creuse de fossé, entre vous   X      société.

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¤¤¤    De toute évidence et depuis notre …  enfance,   ¤¤¤

¤¤¤     Nous sommes bien prisonniers de nos… choix    ¤¤¤

¤¤¤    Choix, d’un métier, d’un conjoint… résidence,    ¤¤¤

¤¤¤    Lieux : de voyages,  des séjours,  des vacances    ¤¤¤

¤¤¤    Et même,  du moyen : voiture,  bateau,  avion,   ¤¤¤

¤¤¤    Bien qu’il y ait choix, bien plus. .. impliquants    ¤¤¤

¤¤¤    Comme  de choisir, ou, non, d’avoir un enfant.   ¤¤¤

¤¤¤    Le manque, ou la  restriction, de notre  liberté,   ¤¤¤

¤¤¤    Est parfois à autrui, par contingences, attribué  ¤¤¤

¤¤¤    Et l’on s’acharne à le quitter pour délivrance !    ¤¤¤

¤¤¤    Il en est ainsi de divorces, changement métier,   ¤¤¤

¤¤¤   Changer devient le remède pour tous les maux    ¤¤¤

¤¤¤   Quand on fait sa valise : avec soi, on emmène,     ¤¤¤

¤¤¤   Ses problèmes, à l’intérieur, ou, on les diffère :    ¤¤¤

¤¤¤   Et on se retrouve avec sa toute nouvelle liberté   ¤¤¤

¤¤¤   Nous apparaissant vraie, avant d’être fausseté.   ¤¤¤

¤¤¤   De l’alcool, de la drogue, du tabac, prisonniers,   ¤¤¤

¤¤¤   Ou de ses petites habitudes, ou petites manies,   ¤¤¤

¤¤¤   D’un objet, auquel on tient, comme à ses yeux,   ¤¤¤

¤¤¤   Et qui s’il manquait, nous rendrait …  envieux.   ¤¤¤

¤¤¤   Moi, je suis prisonnier, d’écriture, qui me colle   ¤¤¤

¤¤¤   A la peau, mais la seule façon de m’en libérer,     ¤¤¤

¤¤¤   C’est de la pratiquer et qui plus est à outrance    ¤¤¤

¤¤¤   Jusqu’à ce qu’elle me lâche sacrément saturé.     ¤¤¤

¤¤¤   Fossé entre nous, et nous, non plus le monde :    ¤¤¤

¤¤¤   On se considère, prisonnier, avant de réaliser,     ¤¤¤

¤¤¤   Que c’est, nous seuls, qui  avons jeté nos clefs,     ¤¤¤

¤¤¤   Et non quelqu’un d’autre qui nous les a volés !     ¤¤¤

¤¤¤   Il y a tant et tant à dire et d’aptitudes à choisir.  ¤¤¤

¤¤¤   Mais ne pas choisir est laisser à l’autre le choix   ¤¤¤

¤¤¤   De ce qu’il veut, non que l’on veut faire, de soi     ¤¤¤

¤¤¤   On comprend alors, ou pas  et c’est comme ça !   ¤¤¤

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Textuel

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On se croit malin d’avoir un choix infini pour

métier, pour se marier, lors on est enfant,

adolescent, et soudain on nous force à choisir

et à nous en tenir ! « J’ai toujours rêvé de

devenir pilote, pompier » : on est là dans un

rêve, une société fantasmée. « J’ai toujours

rêvée d’épouser un blond » : on est là en rêve

de poupée Barbie, sans raison ou sous

manipulation, comme faire accepter une idée

à son chef en faisant en sorte qu’il croit qu’elle

vient de lui. La situation se renverse si on est

en échec : ce n’est pas moi qui suis drogué,

c’est la société ! Personne ne vous force à

boire, fumer, jointer, creuser fossé entre vous

et la société. De toute évidence depuis notre

enfance, nous sommes prisonniers de nos

choix : choix d’un métier, conjoint, résidence,

lieux de voyages, séjours, vacances, des

moyens : voiture, bateau, avion, bien que des

choix soient plus impliquant : choisir ou non

d’avoir un enfant impacte notre vie, sans

retour en arrière possible. Le manque, la

restriction de notre liberté sont souvent

attribués à autrui, par contingence, et l’on

s’acharne à les quitter pour délivrance. Il en

est ainsi du divorce, changement de métier :

changer devient remède à tous ses maux.

Quand on fait sa valise, on emmène avec soi,

ses problèmes, à l’intérieur ou on les diffère en

les laissant derrière. On retrouve une liberté

nous apparaissant « vraie »  avant d’être

fausseté. Nous nous rendons prisonniers

d’alcool drogue, tabac, petite manie, objet

auquel on tient, comme à ses yeux, qui, s’il

manquait, nous rendrait nerveux, envieux. Je

suis prisonnier d’écriture qui me colle à la

peau. La seule façon de m’en libérer est de la

pratiquer jusqu’à ce qu’elle me lâche, rendu

saturé. Nous creusons le fossé entre nous

autant qu’avec le monde !

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Poème

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On se croit malin d’avoir choix infini

Pour faire un métier et pour se marier

Lors on est enfant, adolescent et soudain

On nous force à choisir, et, à nous en tenir.

J’ai toujours rêvé de devenir pilote pompier

On est là en un rêve  en une société fantasmée

J’ai, toujours, rêvé  d’épouser  un  garçon blond,

On est là en rêve de Poupée Barbie et sans raison,

Ou alors la raison  est, ailleurs : en manipulation.

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Pour faire accepter son idée  à son chef, qui ne sait

Ce qu’il faut faire mais qui croit qu’elle vient de lui.

En autre il nous faut croire, ça marche autant aussi.

La situation  se renverse  dès que  l’on est en échec.

Ce n’est pas moi qui serais drogué : c’est la société.

Personne ne vous force à boire ni fumer ni jointer,

Personne  ne creuse de fossé, entre vous,  société.

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De toute évidence  et depuis notre …  enfance,

Nous sommes bien prisonniers de nos… choix

Choix, d’un métier, d’un conjoint… résidence,

Lieux : de voyages,  des séjours,  des vacances

Et même,  du moyen : voiture,  bateau,  avion,

Bien qu’il y ait choix, bien plus. .. impliquants

Comme  de choisir, ou, non, d’avoir un enfant.

.

Le manque, ou la  restriction, de notre  liberté,

Est parfois à autrui, par contingences, attribué

Et l’on s’acharne  à le quitter  pour délivrance !

Il en est ainsi de divorces, changement métier,

Changer devient le remède pour tous les maux

Quand  on fait sa valise : avec soi, on emmène,

Ses problèmes, à l’intérieur, ou, on les diffère :

Et on se retrouve avec sa toute nouvelle liberté

Nous apparaissant vraie, avant d’être fausseté.

.

De l’alcool, de la drogue, du tabac, prisonniers,

Ou de ses petites habitudes, ou petites manies,

D’un objet, auquel on tient, comme à ses yeux,

Et qui s’il manquait, nous rendrait …  envieux.

Moi, je suis prisonnier, d’écriture, qui me colle

A la peau, mais la seule façon  de m’en libérer,

C’est de la pratiquer et qui plus est à outrance

Jusqu’à ce qu’elle me lâche, sacrément saturé.

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Fossé entre nous, et nous, non plus le Monde :

On se considère, prisonnier, avant de réaliser,

Que c’est, nous seuls, qui  avons jeté nos clefs,

Et non quelqu’un d’autre  qui nous les a volés !

Il y a tant et tant, à dire,  d’aptitudes  à choisir.

Mais ne pas choisir est laisser à l’autre le choix

De  ce qu’il veut, non que  l’on veut faire, de soi

On comprend alors, ou pas  et c’est comme ça !

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Extension

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Nous nous considérons prisonnier avant de réaliser

Que c’est, nous seuls, qui aurions jeté …   nos clefs

Non quelqu’un d’autre qui nous les aurait volés.

Ne pas choisir, serait laisser, à l’autre, le choix

De ce qu’il veut, ou que l’on veut faire, de soi :

On le comprend ou pas, mais c’est comme çà.

Choisir c’est assumer le risque de ne pouvoir

Accuser personne d’autre ni rien à sa place.

C’est dire à quel point… nous construisons

Notre prison par nos engagements, tenus,

Nous limitons ainsi notre rayon d’action

Lors on définit et souscrit ce à quoi seul

En priorité, nous tenons, et défendons !

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La prison évoque, impose quelque privation

Autant d’ordre physique que d’ordre moral,

Mais être le prisonnier de ses propres choix

N’a rien à voir avec quelque  incarcération !

Prison, sens métaphorique, est enfermement

Un repli sur soi, persistance dans  son  erreur,

Que seul parvient à briser quelqu’un extérieur,

Tour  d’ivoire, sans  fenêtres, pour ne plus voir :

La prison rassure lors on peut toucher ses murs !

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Le choix, en philosophie, renvoie

À l’existence ou non de libre arbitre

Pour une volonté libre, non contrainte

Opposé au déterminisme et au fatalisme

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Certains disent que nos choix sont prédéfinis

Par notre éducation, notre société, civilisation,

Tandis qu’autres invoquent une force supérieure

Qui nous guide, par la morale, la croyance, la foi !

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Choisir est acte quasi quotidien : la vie est en faite,

Et de même que de demander conseil pour certains,

Toutefois, de fréquents manques et erreurs de choix,

Indiqueront partie perte d’autonomie de ses libertés.

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Choix forcé, choix risqué, choix en toute connaissance,

Constitueront trois degrés de contrôle de sa propre vie :

Le choix d’une profession, d’un conjoint, enfant, maison

Les principaux, non obligés mais regret si on les a ratés.

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Forme  

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Évocation

 .

En haut, une  sorte  d’imposte …  vitreuse

En bas fenêtre condamnée par panneau

Voire une porte de prison, cadenassée, 

 .

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Une fenêtre, ouverture condamnée

Où l’on s’enferme,

Sa différence avec une libre serait

Qu’on en possède la clef.

Il n’y a rien de plus fort qu’une porte de prison :

Dieu sait si le fond  de la prison reflète  sa forme 

 .

Symbolique 

 .

Fenêtre considérée condamnée

Ou  fenêtre  impossible  à  ouvrir

Parce que rouillée par suite de la

Poignée manquante   ou obstruée

 Par des volets, constitue  un signe

Qu’esprit du rêveur s’est enfermé

Dans le quotidien bien trop lourd

D’où qu’il ne peut jamais s’évader

Pour participer à la construction

De vie beaucoup plus ouverte sur

Les aspirations profondes de tout

Être humain, de celles qui en font

Sa particularité,   son originalité.

signification-reves.fr/Fenetre

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Descriptif

 .

816 – Sommes-nous prisonniers de choix !  

Alignement central / Titre  dédoublé / Thème  ouverture

Forme droite/ Rimes variées / Fond accordé à forme

Symbole forme : fenêtre/ Symbole fond : porte

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Fond  

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Évocation

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Une porte, ressemblant à la porte de prison,

Où l’on s’enferme,

Sa principale différence avec la vraie serait

Qu’on en possède la clef.

 .

Symbolique

 .

Bien des rêves de prison  seraient liés

À des sortes d’enfermements mentaux,

Un sentiment de liberté restreinte dans

La réalité vie échappe à notre contrôle.

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Cet enfermement serait, parfois, généré

Par  un long  sentiment  de  culpabilité ;

Faute commise, dont la raison échappe,

Mais  dont  la prison  serait  la sanction.

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Solitude est une sorte d’emprisonnement

Ou un sentiment symbolisé par la prison

Familière où nous sommes enfermé seul.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Prison

 .

Fond/forme

 .

On peut se livrer, certes, à la médiation, la poésie,

Mais,   la plupart du temps,  c’est un grand  l’ennui

On se sentira aussi prisonnier si l’on a des attaches,

Voire un attachement choisi librement ou … imposé,

Et qu’on ne trouve pas de porte de sortie labyrinthe

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On prend moindre privation liberté pour contrainte

Lors même il n’y aurait d’enfermement, que virtuel :

Comme dans une secte, famille, religion, parti … etc.

Porte de notre prison, c’est nous qui l’aurions fermé,

Fenêtre idem, condamnée de l’intérieur, extérieur.

La prison est souvent illustrée par sa porte d’entrée.

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Visuel 

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Choix ne seraient pas  équivalents

si nous avons routes divergentes,

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comme le choix d’avoir un bébé,

 seule,  assumé, et désiré, ou non,

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comme le choix de nos études, métiers,

voire d’une branche professionnelle:

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choix entre vérité ou mensonge :

déjà ne pas se mentir à soi-même !

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Épilogue

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Le mensonge ne serait pas le contraire

De la vérité, ni sa fausseté, arbitraires.

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Il n’y aurait rien de proprement binaire

On navigue avec un curseur non linéaire

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Entre les deux, il y a preuve et croyance

Définissant représentation d’existences.

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Ce n’est pas un problème de conscience :

En vôtre âme, conscience, jurisprudence

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L’erreur provient souvent de l’ignorance

En donnant, à une réalité, de faux sens.

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L’on passera  un mensonge, pour vérité,

Dès lors qu’il parait persuasif, crédible.

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On passe alors du probable au possible

Du possible au certain et alors, adopté.

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Quand le mensonge tient lieu de vérité,

On parle mythomane déviant, dérangé.

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Dans tout ce qu’on prend comme vérité,

Il y aura une face cachée, voire réfutée.

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C’est ce que la Science nous démontre :

Hypothèse est réfutable, sinon erronée.

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Apprendre à distinguer le vrai du faux,

Est tâche permanente d’une vie durant

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Pour finir, vérifier ses sources : capital

Sur internet on trouve n’importe quoi !

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Visuels et textuels >>


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