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Calligramme
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On se croit S malin d’avoir choix O infini
Pour faire O un métier et pour se N marier
Lors on M est enfant, adolescent et N soudain
On nous M force à choisir, et, à nous I en tenir.
J’ai tou E jours rêvé de devenir pilote E pompier
On est là S en un rêve, en une société fan R tasmée
J’ai tou – jours rêvé d’épouser un garçon S blond,
On est là N en rêve de Poupée Barbie et sans * raison.
Ou alors O la raison est, ailleurs : en manipu D lation.
Pour fai U re accepter son idée à son chef, qui E ne sait
Ce qu’il S faut faire mais qui croit qu’elle vient * de lui.
En autre * il nous faut croire, ça marche autant C aussi.
La situa P tion se renverse dès que l’on est en H échec.
Ce n’est R pas moi qui serais drogué, c’est la O société.
Personne I ne vous force à boire ni fumer ni I jointer,
Personne S ne creuse de fossé, entre vous X société.
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¤¤¤ De toute évidence et depuis notre … enfance, ¤¤¤
¤¤¤ Nous sommes bien prisonniers de nos… choix ¤¤¤
¤¤¤ Choix, d’un métier, d’un conjoint… résidence, ¤¤¤
¤¤¤ Lieux : de voyages, des séjours, des vacances ¤¤¤
¤¤¤ Et même, du moyen : voiture, bateau, avion, ¤¤¤
¤¤¤ Bien qu’il y ait choix, bien plus. .. impliquants ¤¤¤
¤¤¤ Comme de choisir, ou, non, d’avoir un enfant. ¤¤¤
¤¤¤ Le manque, ou la restriction, de notre liberté, ¤¤¤
¤¤¤ Est parfois à autrui, par contingences, attribué ¤¤¤
¤¤¤ Et l’on s’acharne à le quitter pour délivrance ! ¤¤¤
¤¤¤ Il en est ainsi de divorces, changement métier, ¤¤¤
¤¤¤ Changer devient le remède pour tous les maux ¤¤¤
¤¤¤ Quand on fait sa valise : avec soi, on emmène, ¤¤¤
¤¤¤ Ses problèmes, à l’intérieur, ou, on les diffère : ¤¤¤
¤¤¤ Et on se retrouve avec sa toute nouvelle liberté ¤¤¤
¤¤¤ Nous apparaissant vraie, avant d’être fausseté. ¤¤¤
¤¤¤ De l’alcool, de la drogue, du tabac, prisonniers, ¤¤¤
¤¤¤ Ou de ses petites habitudes, ou petites manies, ¤¤¤
¤¤¤ D’un objet, auquel on tient, comme à ses yeux, ¤¤¤
¤¤¤ Et qui s’il manquait, nous rendrait … envieux. ¤¤¤
¤¤¤ Moi, je suis prisonnier, d’écriture, qui me colle ¤¤¤
¤¤¤ A la peau, mais la seule façon de m’en libérer, ¤¤¤
¤¤¤ C’est de la pratiquer et qui plus est à outrance ¤¤¤
¤¤¤ Jusqu’à ce qu’elle me lâche sacrément saturé. ¤¤¤
¤¤¤ Fossé entre nous, et nous, non plus le monde : ¤¤¤
¤¤¤ On se considère, prisonnier, avant de réaliser, ¤¤¤
¤¤¤ Que c’est, nous seuls, qui avons jeté nos clefs, ¤¤¤
¤¤¤ Et non quelqu’un d’autre qui nous les a volés ! ¤¤¤
¤¤¤ Il y a tant et tant à dire et d’aptitudes à choisir. ¤¤¤
¤¤¤ Mais ne pas choisir est laisser à l’autre le choix ¤¤¤
¤¤¤ De ce qu’il veut, non que l’on veut faire, de soi ¤¤¤
¤¤¤ On comprend alors, ou pas et c’est comme ça ! ¤¤¤
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Textuel
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On se croit malin d’avoir un choix infini pour
métier, pour se marier, lors on est enfant,
adolescent, et soudain on nous force à choisir
et à nous en tenir ! « J’ai toujours rêvé de
devenir pilote, pompier » : on est là dans un
rêve, une société fantasmée. « J’ai toujours
rêvée d’épouser un blond » : on est là en rêve
de poupée Barbie, sans raison ou sous
manipulation, comme faire accepter une idée
à son chef en faisant en sorte qu’il croit qu’elle
vient de lui. La situation se renverse si on est
en échec : ce n’est pas moi qui suis drogué,
c’est la société ! Personne ne vous force à
boire, fumer, jointer, creuser fossé entre vous
et la société. De toute évidence depuis notre
enfance, nous sommes prisonniers de nos
choix : choix d’un métier, conjoint, résidence,
lieux de voyages, séjours, vacances, des
moyens : voiture, bateau, avion, bien que des
choix soient plus impliquant : choisir ou non
d’avoir un enfant impacte notre vie, sans
retour en arrière possible. Le manque, la
restriction de notre liberté sont souvent
attribués à autrui, par contingence, et l’on
s’acharne à les quitter pour délivrance. Il en
est ainsi du divorce, changement de métier :
changer devient remède à tous ses maux.
Quand on fait sa valise, on emmène avec soi,
ses problèmes, à l’intérieur ou on les diffère en
les laissant derrière. On retrouve une liberté
nous apparaissant « vraie » avant d’être
fausseté. Nous nous rendons prisonniers
d’alcool drogue, tabac, petite manie, objet
auquel on tient, comme à ses yeux, qui, s’il
manquait, nous rendrait nerveux, envieux. Je
suis prisonnier d’écriture qui me colle à la
peau. La seule façon de m’en libérer est de la
pratiquer jusqu’à ce qu’elle me lâche, rendu
saturé. Nous creusons le fossé entre nous
autant qu’avec le monde !
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Poème
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On se croit malin d’avoir choix infini
Pour faire un métier et pour se marier
Lors on est enfant, adolescent et soudain
On nous force à choisir, et, à nous en tenir.
J’ai toujours rêvé de devenir pilote pompier
On est là en un rêve en une société fantasmée
J’ai, toujours, rêvé d’épouser un garçon blond,
On est là en rêve de Poupée Barbie et sans raison,
Ou alors la raison est, ailleurs : en manipulation.
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Pour faire accepter son idée à son chef, qui ne sait
Ce qu’il faut faire mais qui croit qu’elle vient de lui.
En autre il nous faut croire, ça marche autant aussi.
La situation se renverse dès que l’on est en échec.
Ce n’est pas moi qui serais drogué : c’est la société.
Personne ne vous force à boire ni fumer ni jointer,
Personne ne creuse de fossé, entre vous, société.
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De toute évidence et depuis notre … enfance,
Nous sommes bien prisonniers de nos… choix
Choix, d’un métier, d’un conjoint… résidence,
Lieux : de voyages, des séjours, des vacances
Et même, du moyen : voiture, bateau, avion,
Bien qu’il y ait choix, bien plus. .. impliquants
Comme de choisir, ou, non, d’avoir un enfant.
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Le manque, ou la restriction, de notre liberté,
Est parfois à autrui, par contingences, attribué
Et l’on s’acharne à le quitter pour délivrance !
Il en est ainsi de divorces, changement métier,
Changer devient le remède pour tous les maux
Quand on fait sa valise : avec soi, on emmène,
Ses problèmes, à l’intérieur, ou, on les diffère :
Et on se retrouve avec sa toute nouvelle liberté
Nous apparaissant vraie, avant d’être fausseté.
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De l’alcool, de la drogue, du tabac, prisonniers,
Ou de ses petites habitudes, ou petites manies,
D’un objet, auquel on tient, comme à ses yeux,
Et qui s’il manquait, nous rendrait … envieux.
Moi, je suis prisonnier, d’écriture, qui me colle
A la peau, mais la seule façon de m’en libérer,
C’est de la pratiquer et qui plus est à outrance
Jusqu’à ce qu’elle me lâche, sacrément saturé.
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Fossé entre nous, et nous, non plus le Monde :
On se considère, prisonnier, avant de réaliser,
Que c’est, nous seuls, qui avons jeté nos clefs,
Et non quelqu’un d’autre qui nous les a volés !
Il y a tant et tant, à dire, d’aptitudes à choisir.
Mais ne pas choisir est laisser à l’autre le choix
De ce qu’il veut, non que l’on veut faire, de soi
On comprend alors, ou pas et c’est comme ça !
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Extension
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Nous nous considérons prisonnier avant de réaliser
Que c’est, nous seuls, qui aurions jeté … nos clefs
Non quelqu’un d’autre qui nous les aurait volés.
Ne pas choisir, serait laisser, à l’autre, le choix
De ce qu’il veut, ou que l’on veut faire, de soi :
On le comprend ou pas, mais c’est comme çà.
Choisir c’est assumer le risque de ne pouvoir
Accuser personne d’autre ni rien à sa place.
C’est dire à quel point… nous construisons
Notre prison par nos engagements, tenus,
Nous limitons ainsi notre rayon d’action
Lors on définit et souscrit ce à quoi seul
En priorité, nous tenons, et défendons !
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La prison évoque, impose quelque privation
Autant d’ordre physique que d’ordre moral,
Mais être le prisonnier de ses propres choix
N’a rien à voir avec quelque incarcération !
Prison, sens métaphorique, est enfermement
Un repli sur soi, persistance dans son erreur,
Que seul parvient à briser quelqu’un extérieur,
Tour d’ivoire, sans fenêtres, pour ne plus voir :
La prison rassure lors on peut toucher ses murs !
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Le choix, en philosophie, renvoie
À l’existence ou non de libre arbitre
Pour une volonté libre, non contrainte
Opposé au déterminisme et au fatalisme
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Certains disent que nos choix sont prédéfinis
Par notre éducation, notre société, civilisation,
Tandis qu’autres invoquent une force supérieure
Qui nous guide, par la morale, la croyance, la foi !
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Choisir est acte quasi quotidien : la vie est en faite,
Et de même que de demander conseil pour certains,
Toutefois, de fréquents manques et erreurs de choix,
Indiqueront partie perte d’autonomie de ses libertés.
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Choix forcé, choix risqué, choix en toute connaissance,
Constitueront trois degrés de contrôle de sa propre vie :
Le choix d’une profession, d’un conjoint, enfant, maison
Les principaux, non obligés mais regret si on les a ratés.
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Forme
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Évocation
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En haut, une sorte d’imposte … vitreuse
En bas fenêtre condamnée par panneau
Voire une porte de prison, cadenassée,
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Une fenêtre, ouverture condamnée
Où l’on s’enferme,
Sa différence avec une libre serait
Qu’on en possède la clef.
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Il n’y a rien de plus fort qu’une porte de prison :
Dieu sait si le fond de la prison reflète sa forme
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Symbolique
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Fenêtre considérée condamnée
Ou fenêtre impossible à ouvrir
Parce que rouillée par suite de la
Poignée manquante ou obstruée
Par des volets, constitue un signe
Qu’esprit du rêveur s’est enfermé
Dans le quotidien bien trop lourd
D’où qu’il ne peut jamais s’évader
Pour participer à la construction
De vie beaucoup plus ouverte sur
Les aspirations profondes de tout
Être humain, de celles qui en font
Sa particularité, son originalité.
signification-reves.fr/Fenetre
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Descriptif
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816 – Sommes-nous prisonniers de choix !
Alignement central / Titre dédoublé / Thème ouverture
Forme droite/ Rimes variées / Fond accordé à forme
Symbole forme : fenêtre/ Symbole fond : porte
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Fond
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Évocation
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Une porte, ressemblant à la porte de prison,
Où l’on s’enferme,
Sa principale différence avec la vraie serait
Qu’on en possède la clef.
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Symbolique
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Bien des rêves de prison seraient liés
À des sortes d’enfermements mentaux,
Un sentiment de liberté restreinte dans
La réalité vie échappe à notre contrôle.
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Cet enfermement serait, parfois, généré
Par un long sentiment de culpabilité ;
Faute commise, dont la raison échappe,
Mais dont la prison serait la sanction.
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Solitude est une sorte d’emprisonnement
Ou un sentiment symbolisé par la prison
Familière où nous sommes enfermé seul.
psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/
Dictionnaire-des-reves/Prison
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Fond/forme
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On peut se livrer, certes, à la médiation, la poésie,
Mais, la plupart du temps, c’est un grand l’ennui
On se sentira aussi prisonnier si l’on a des attaches,
Voire un attachement choisi librement ou … imposé,
Et qu’on ne trouve pas de porte de sortie labyrinthe
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On prend moindre privation liberté pour contrainte
Lors même il n’y aurait d’enfermement, que virtuel :
Comme dans une secte, famille, religion, parti … etc.
Porte de notre prison, c’est nous qui l’aurions fermé,
Fenêtre idem, condamnée de l’intérieur, extérieur.
La prison est souvent illustrée par sa porte d’entrée.
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Visuel
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Choix ne seraient pas équivalents
si nous avons routes divergentes,
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comme le choix d’avoir un bébé,
seule, assumé, et désiré, ou non,
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comme le choix de nos études, métiers,
voire d’une branche professionnelle:
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choix entre vérité ou mensonge :
déjà ne pas se mentir à soi-même !
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Épilogue
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Le mensonge ne serait pas le contraire
De la vérité, ni sa fausseté, arbitraires.
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Il n’y aurait rien de proprement binaire
On navigue avec un curseur non linéaire
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Entre les deux, il y a preuve et croyance
Définissant représentation d’existences.
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Ce n’est pas un problème de conscience :
En vôtre âme, conscience, jurisprudence
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L’erreur provient souvent de l’ignorance
En donnant, à une réalité, de faux sens.
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L’on passera un mensonge, pour vérité,
Dès lors qu’il parait persuasif, crédible.
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On passe alors du probable au possible
Du possible au certain et alors, adopté.
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Quand le mensonge tient lieu de vérité,
On parle mythomane déviant, dérangé.
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Dans tout ce qu’on prend comme vérité,
Il y aura une face cachée, voire réfutée.
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C’est ce que la Science nous démontre :
Hypothèse est réfutable, sinon erronée.
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Apprendre à distinguer le vrai du faux,
Est tâche permanente d’une vie durant
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Pour finir, vérifier ses sources : capital
Sur internet on trouve n’importe quoi !
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