53 – Randonnées sur Tenerife

Visuels et textuels >>

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Deux croisières,  deux randos,

Ne seront, jamais, pareilles :

Mais, tous, nous évaderont

Des vrais faux problèmes,

Et qui nous encombrent

Font voir autre monde

Ou tout autre univers,

Aux brins  de poésies,

Tantôt bleus  ou verts.

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Randonner  sur le plat,

Cela  nous parait facile !

Mais, lors … on grimpera,

Marche deviendra difficile.

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Mettre un pied devant autre

Et recommencer… c’est l’idée

Mais loin de réalité sous soleil

Cherchant coin ombre sombre,

L’on trouvera un coin  de  soleil.

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On ne la connait pas bien, encore,

Mais tous nos renseignements pris

Nous poussent à découvrir le nord,

Pour grimper au plus haut, permis.

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On imagine  notre  arrivée  facile,

À Santa-Cruz, la capitale de l’ile,

Des nuits très calmes au ponton

Sommeils profonds à l’unisson.

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Nos randonnées par dizaines,

Pour l’explorer, une semaine,

À chaque fois, bien employée,

Avec surprise à chaque sentier.

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Soleil garanti, durant journée,

Forêts de pins, offrant ombre,

Nuage de fraicheur humidités,

Avec plaisirs variés en nombre.

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Il nous faudrait  tout arpenter,

Ses collines ses monts ses pics

Afin de bien savourer admirer

Ses falaises, plages et criques.

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Et bien sûr, grimper  le  Teidé,

Culminant   vers   3720 mètres,

Pour monter, on n’en a pas idée,

D’aller jusqu’à son dernier mètre.

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Il nous restera, après, faire musées,

Prochains  jours bien  trop, fatigués,

Esprits ou autres grâces ou beautés,

Se rafraîchiront, autant, émerveillés.

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Extension

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Arriver par la mer, sans connaitre le port,

Est une source de stress, et parfois voire un sport.

Il n’y aura qu’une fois  arrimé au ponton,

Qu’on souffle avec le rhum et les glaçons.

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Le programme de notre séjour aux iles canariennes

Est fait, pour moitié, croisières en voilier

Et, l’autre moitié, de randonnées  à pied.

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Comme le bateau avance à la vitesse d’un bon coureur,

On peut dire qu’on marche vite sur l’eau,

Ou que l’on court lentement, sur la terre.

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Ce qui fait qu’on avance, toujours, à la même moyenne.

C’est surtout centre de l’ile qui nous attire

Qui nous promet comme pour la Bretagne.

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Et la France en général, trésors de beauté, découvertes

Et, comme les touristes ont pour habitudes

De se tasser le long des côtes ou à l’intérieur.

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Il n’y a presque personne, à part bien sûr les résidents

Qui sont très courtois, et même, très aimables

Avec tout le monde et surtout les randonneurs.

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Tenerife a une forme d’instrument de musique entre mandoline/balalaïka

Mais, la comparaison, compte tenu de son relief, et sa hauteur, s’arrête là !

Tant  y randonner, vers son centre, est comme grimper sur une montagne.

Nombre de chaos, tohu-bohu de roches, pêle-mêle témoignent de volcans

Qui auront façonnés l’ile à coup d’explosions de laves et de soulèvements

Dieu merci, depuis la végétation a bien poussé, et forêts sont apparues.

Contraste de ce paysage rude, les résidents sont des plus accueillants.

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Balade, course, marche, tour, promenade,

Randonnée aurait cinq façons de s’exécuter

Dépendant de son projet, sa durée, difficulté,

En campagne, bord de mer, montagne,  triade

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En général, iles volcaniques sont très escarpées

Sans avoir, toutefois, des parcours d’escalades,

Chemins  sont  bien tracés, balisés, entretenus,

En plus des cartes et GPS pour les  …  anxieux.

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Les paysages changent, au fil de notre avancée,

À un tournant  ou col, l’on découvre panoramas,

Pause boisson est bienvenue, repas, encore plus,

Au bout de six à huit heures on est bien fatigués.

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Pas la peine de se prémunir contre vent ou pluie,

Il fait toujours beau, et chaud, aux Iles Canaries,

Peut-être même trop aux heures autour de midi,

Si on ne boit pas d’eau, on se déshydrate, faiblit.

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Épilogue

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Balalaïka ou mandoline, au choix

Premier, la forme, second, le son,

Tant on est partant pour les deux,

Du nord au sud, même au centre.

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Si le parc d’Anaga n’est pas grand

Celui autour du Teide est immense

Avec crête au milieu, le long de l’ile

Et son sommet culminant  à 3 700

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Elle est en fait la plus grande, haute

Ile de l’ensemble d’archipel canarien

5 millions touristes pour 1, résidents

Venant du monde entier, ou presque.

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Nous louons voiture pour faire le tour,

Déjà Santa-Cruz nous prendra 2 jours,

L’Anaga autant du fait que notre voisin

Est restaurateur dans un village perché.

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Santa Cruz reste différent  de Las Palma,

Sa marina est en plein cœur et avons opté

Pour celle des pêcheurs,  plus authentique,

Arrivons pour carnaval, concurrençant Rio.

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Il y a tant à faire, tant à dire, tant à retenir,

Qu’on ne peut y passer moins d’une semaine

Frustré de ne pas tout explorer, lors y revenir

C’est ce que nous avons fait, l’année suivante.

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En résumé, Tenerife est pour nous destination,

Voyage, croisière, vacances, séjour, distraction,

Idéal, soleil tempéré, garanti durant tout l’été,

Qui plus est, en voilier, marinas modernisés.

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53 – Calligramme

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Deux croisières,  deux randos,

Ne seront, jamais, pareilles :

Mais, tous, nous évaderont

Des vrais faux problèmes,

Et qui nous encombrent

Font voir autre monde

Ou tout autre univers,

Aux brins  de poésies,

Tantôt bleus  ou verts.

Randonner  sur le plat,

Cela  nous parait facile !

.

Mais, lors … on grimpera,

Marche deviendra difficile.

Mettre un pied devant autre

Et recommencer… c’est l’idée

Mais loin de réalité sous soleil

Cherchant coin ombre sombre,

L’on trouvera un coin  de  soleil.

.

On ne la connait pas bien, encore,

Mais tous nos renseignements pris

Nous poussent  à découvrir le nord,

Pour  grimper, au plus haut, permis.

.

On imagine notre arrivée      R   facile,

À Santa-Cruz, la capitale    A      de l’ile,

Des nuits très calmes       N     au ponton

Sommeils profonds        D       à l’unisson.

Nos randonnées          O         par dizaines,

Pour l’explorer           N           une semaine,

À chaque fois             N           bien employée,

Avec surprises           É         à chaque sentier.

Soleil garanti,             E            durant journée,

Forêts de pins,              S             offrant ombre,

Nuage fraicheur              *                   humidités,

Plaisirs variés en                 S                   nombre.

Il nous faudrait tout               U                arpenter

Ses collines ses monts             R                 ses pics

Afin de bien savourer              *                  admirer

Ses falaises, plages                T               et criques.

Et bien sûr, grim                E              per le Teidé,

Culminant vers                N              3720 mètres,

Pour monter on            E            n’en a pas idée,

Aller jusqu’à               R       son dernier mètre.

Il nous restera          I       après faire musées,

Prochains  jours     F     bien  trop, fatigués,

Esprits ou autres   E      grâces ou beautés,

Se rafraîchiront, tous autant, émerveillés.

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Forme

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Réduction

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Évocation

 .

Simplement un grand et haut vase,

Deux lignes tracées comme repères :

On peut y mettre bouquet de fleurs !

 .

Ce n’est pas vase qui évoque un chemin

Que son tracé sinueux, en son intérieur

Et impression générale de perspective.

 .

Ce vase pourrait servir comme repère

Pour les randonneurs :

Tant il ressemble assez à une gourde

À porter en réserve d’eau.

 .

 Symbolique 

 .

Voir

 Un vase

Dans un rêve

Restera toujours

 Intéressant à relever.

Il s’impose  comme  objet

Essentiel du rêve, contenant

Où un rêveur trouvera refuge.

Dans le vase, on mettra de l’eau

Comme un pur symbole de la vie,

De la terre aussi, voire une plante,

Qui pourra très bien s’y développer

Ou des fleurs qui pourront durer.

signification-reves.fr/Vase

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Descriptif

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53 – Randonnées sur Tenerife

Alignement central / Titre  serpentin / Thème  rando

Forme  courbe / Rimes égales/ Fond approché de forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : repère

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Fond

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Évocation 

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53 6

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En voici un bon, fabriqué, posé, de repère

Facile à distinguer

Même dans un brume de terre ou la nuit

Par sa forme conique.

 .

 Symbolique

 .

À quoi correspondront les tas de pierres sur les sentiers ?

Ce sont des repères laissés par précédents randonneurs,

Permettant de baliser le chemin ou matérialiser un pic,

Et ainsi, permettre d’identifier clairement le chemin.

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Ils prennent la forme d’une pyramide de pierres

Et sont le plus souvent situés à des endroits

Où il est difficile d’entretenir un sentier

Délimité ou un balisage peinture.

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Corrélations

Fond/forme 

 .

Si l’objet choisi reflète bien la forme du poème

Le fond ne lui correspond en rien à part le tracé

Donnant comme représentation d’une randonnée

Qui rime avec la cadence, et le rythme de nos pas !

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La mer  aura  constitué  ses  propres  repères

Ayant peu en commun avec ceux de la terre

Il s’agirait bien là des deux grands univers,

Qui s’ignorent, symbolisant déplacements,

Aventures, efforts  jusqu’à risques divers.

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Ce pourrait être une forme de gourde pour la soif.

À chacun ses projections et ses propres repères.

 .

Visuel 

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Randonnée tenerife, ile volcanique

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