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La vie d’un homme lui appartient,
Son temps aussi, du moins en partie
Car si, enfant, il n’a pas trop le choix,
Adulte, il en fait ce qu’il veut ou peut !
Car événement marquant, fait rupture,
En sa vie, belle ou laide, molle ou dure,
Qu’il ne fasse rien ou en fasse de trop :
L’important est ce qu’il fera de beau !
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Chaque heure, chaque jour et semaine,
Consacrées à ce qu’il a choisi de faire,
Apporte une joie, dont il est bénéficiaire
En dehors de période tristesses, misères.
Lors, de vieillir ne ferait plus problème,
Si son cœur, son esprit s’ouvrent encore,
Si, de son corps, prend soin, chaque jour
Il demeurerait jeune et ce jusqu’au bout.
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Dans la vie d’un homme, dans son temps
Seules choses comptant sont événements
Qui ont créé des ruptures comportements
Qui jusque-là sur temps restaient flottants
On prétend que, dans la vie, d’un homme,
Parlant de durée vécue … subjectivement.
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Le temps est ralenti, quand on est enfant,
Se stabilise sur la moyenne, à l’âge adulte,
Et s’accélèrerait, quand on devient vieux !
Est-ce loi générale qui nous conditionne
Ou on peut-on y échapper si on la somme
De s’inverser, par simple cours de pensée
Entre «déjà» et «il n’est que» en durées.
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Identique, objectivement, l’heure sonne
Et ce que j’en fais, qu’on me pardonne
Ne dépend que de moi et de personne.
Je la vis longue ou courte, ou comme
Il me plaira, qu’elle soit, ne soit pas,
En tout état de cause : j’ai le choix
De maitriser le temps, librement,
Jusqu’à ce que je sois mourant !
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Pour ça, il faut vivre en marge,
De ce qu’on vous dit sur l’âge
Sinon vous obéirez aux lois,
Selon, vous, croyance, foi.
On a l’âge de ses artères,
Qui me dira le contraire
Et pas celui de l’esprit
Qui jamais ne vieillit
Esprit lui rajeunit
Corps, vieillit :
Sénescence
Aisance
V
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Extensions
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La vie d’un corps d’homme ne comportera que quatre
Temps : enfance, adolescence, maturité, vieillissement.
La vie de son esprit n’en comportera qu’un :
Le même, celui de l’adolescent, pour peu
Qu’il soit curieux, ouvert, sans préjugé :
Et si cela fait dix ans que j’ai dix ans,
Ça fait vingt ans que j’ai quinze ans,
Quarante, que j’en ai vingt, etc…
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Tout ce qui a un début aura, fatalement, logiquement, une fin
C’est la loi du genre et l’humain n’échappe pas à la règle !
Mais chaque homme vit à un moment de l’Humanité,
C’est le seul qu’il connaîtra, mais pas les suivants
S’il a laissé son témoignage, sa survivance !
La seule chose qui se transmet, hérédité
Est sa chaîne et programme ADN :
Tout le reste est appris en société
Et se perd en nuit des temps.
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La vie d’un homme est–elle un beau cadeau ou mal venu
Et si l’on fait abstraction de la fin, vaut-elle d’être vécue.
C’est bien évidemment à chacun de résoudre la question
Qui fera suite, engendrera bon nombre d’interrogations.
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S’il n’est tourné que vers lui, sa personne, son ego, profit
Je crains qu’à la fin, il ne meurt peu regretté, vite oublié
L’on ne peut vivre pour soi, que pour des communautés,
D’autant plus qu’on vient de loin, d’ailleurs, d’avant nous.
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C’est une raison pour laquelle, en dehors de se reproduire
Il faut transférer ce qu’on a reçu des précédents et acquis
À qui, c’est bien là tout le problème, à ses enfants d’abord
Mais au-delà de sa communauté, une part de l’humanité.
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865 – Calligramme
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La vie d’un hom me lui appartient,
Son temps aussi, du moins en partie
Car si, enfant, il n’ a pas trop le choix,
Adulte, il en fait ce qu’il veut ou peut !
Car événement mar quant, fait rupture,
En sa vie, belle ou laide, molle ou dure,
Qu’il ne fasse rien ou en fasse de trop :
L’important est ce qu’il fera de beau !
DANS LA
Chaque heure, chaque jour et semaine,
Consacrées à ce qu’il a choisi de faire,
Apporte une joie, dont il est bénéficiaire
En dehors de période tristesses, misères.
Lors, de vieillir ne ferait plus problème,
Si son cœur, son esprit s’ouvrent encore,
Si, de son corps, prend soin, chaque jour
Il demeurerait jeune et ce jusqu’au bout.
VIE D’UN
Dans la vie d’un homme, dans son temps
Seules choses comptant sont événements
Qui ont créé des ruptures comportements
Qui jusque-là sur temps restaient flottants
On prétend que, dans la vie, d’un homme,
Parlant de durée vécue … subjectivement.
HOMME,
Le temps est ralenti, quand on est enfant,
Se stabilise sur la moyenne, à l’âge adulte,
Et s’accélèrerait, quand on devient vieux !
Est-ce loi générale qui nous conditionne
Ou on peut-on y échapper si on la somme
De s’inverser, par simple cours de pensée
Entre «déjà» et «il n’est que» en durées.
EN SON
Identique, objectivement, l’heure sonne
Et ce que j’en fais, qu’on me pardonne
Ne dépend que de moi et de personne.
Je la vis longue ou courte, ou comme
Il me plaira, qu’elle soit, ne soit pas,
En tout état de cause : j’ai le choix
De maitriser le temps, librement,
Jusqu’à ce que je sois mourant !
TEMPS !
Pour ça, il faut vivre en marge,
De ce qu’on vous dit sur l’âge
Sinon vous obéirez aux lois,
Selon, vous, croyance, foi.
On a l’âge de ses artères,
Qui me dira le contraire
Et pas celui de l’esprit
Qui jamais ne vieillit
Esprit lui rajeunit
Corps, vieillit :
Sénescence
Aisance
V
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Une pointe quelconque,
Ou bien d’un fer de lance
Ou bien mieux, de flèche,
Sinon une vis sans fin ?
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Persévérance et performance,
Cousins phonétiques, sémantiques :
Le temps est comme une vis sans fin,
Et qui nous tarauderait le cerveau !
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Symbolique
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Une vis vue en rêve symbolise des privations.
La vis que l’on tourne dans son écrou
Peut, également, représenter relation sexuelle.
Rêver de serrer une vis signifie que
Vous devez faire plus attention à vos dépenses.
Une période de privations semble
Nécessaire si vous voulez éviter des dettes.
Rêver de voir une vis desserrée
Ou de desserrer la vis signifie que vous
Traversez période de laisser aller.
Reprenez-vous, faut
Davantage de
Discipline
Ici.
reve-interprete.com/dictionnaire-
des-reves/reve-de-vis
Descriptif
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865 – Dans la vie d’un homme, en son temps
Alignement central / Titre intercalé / Thème vie
Forme conique /Rimes variées /Fond approché de forme
Symbole de forme : vis-sans-fin / Symbole de fond : fin
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Fond
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Évocation
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Persévérance et performance,
Cousins phonétiques, sémantiques :
Le temps est comme une vis sans fin,
Et qui nous tarauderait le cerveau !
Symbolique
Symbole du bouddhisme tibétain.
Dans le bouddhisme tibétain,
il est à l’origine un symbole d’amour
et de l’interdépendance des phénomènes.
Sans début ni fin, il représente également
la sagesse infinie du Bouddha, l’union de
la sagesse et de la compassion.
Source : Wiki Nœud sans fin
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Corrélations
Fond/forme
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Début et fin sont pures inventions occidentales,
On ne les sent pas chez les orientaux, bouddhistes
Pour qui les vies se fondent dans un tout en cycles
Et lors on est jeune ou vieux d’apparence seulement
Car ce qui compte ce sont les âmes qui se réincarnent
Dieu sait si une âme n’a pas d’âge et dépasse temps !
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En occident, la pensé se dissocie : l’esprit peut rester
Jeune tandis que l’enveloppe corporelle se délite.
Que penser de cent ans de corps, vingt d’esprit.
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Le mot fin s’emploie à toutes fins utiles
Jusqu’à ce qu’on avance le mot de la fin
Avec double impression, butée et cercle,
Tant la fin débouche sur un autre début,
Perpétuel mouvement recommencement
Elle peut être tantôt contrainte ou libre
Ses formes n’épuiseront pas son fond.
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Visuel
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Toute une série d’événements dans la vie
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