.
Belle comme le jour
Belle comme l’amour :
Tel semble être le refrain,
De celles qui plaisent bien.
.
La beauté … pour la publicité,
Est «parce que je le vaux bien»
Telle beauté sera marchandisée,
Pour choisir celle qui convient !
.
S’il suffirait, d’y mettre le prix,
Pour que résultat soit garanti
Cela suffirait, en différences,
Amplifiant traits d’attirance.
.
Ne leur voilons pas la face,
Leur beauté… aux femmes
Reste leur principal atout
Elle peut être naturelle,
.
Quand, jeune et pucelle,
Mais déjà bien apprêtée
Après que s’être mariée
L’enfant la déforme,
Changent ses formes :
Si elle ne prend garde,
.
Ses kilos elle les garde
Jusqu’à quarante ans,
Elles sont au parterre,
Si leurs murissements
Affirme leur caractère !
.
Après cinquante années
Si elles s’entretiennent,
Ça passe encore … sinon
Des différences notoires,
.
Font que leur ménopause,
Survenant : leur plastique,
S’affaisse, ou, ne s’impose,
Qu’aux regards, lubriques.
.
Soins, coiffure, manucure,
Sinon, c’est la déconfiture,
Et un régime toute l’année
Sinon, c’est emmagasiné !
.
Elle ne sera plus regardée
Ni par plaisir ni par désir
Lors se plaire à elle-même
Serait la dernière volonté,
Qu’elle souhaitera s’offrir.
.
Et même si, de l’intérieur
Elle se saura supérieure,
De vieillir, et de s’enlaidir
Chez la femme serait pire
Que l’homme même étant
Quelque peu…bedonnant !
.
.
Extension
.
Cela, elles le savent bien dès leur prime jeunesse
Mais elles savent très bien aussi qu’aucune femme
Ne peut remonter le temps rien qu’en se maquillant.
.
Ne leur voilons pas la face, tant la beauté, aux femmes,
Est leur destinée si elles veulent attirer le regard sur elles.
.
Elles n’ont pas le choix, elles y sont obligées, conditionnées.
Il suffit de feuilleter un magazine consacré au monde féminin.
.
Ce qui fait la beauté n’est pas sa plastique, plaisante, attirante
Mais le regard porté sur elles, on pourra dire par les hommes,
Mais par les femmes aussi, et parfois encore bien plus cruel,
Quand elles se montrent des plus jalouses ou dégoutées.
.
La femme que vous mettez en votre lit, ou qui vous entraine en le sien,
Est-elle bien même en tous points le lendemain matin, démaquillée ?
C’est possible après tout, l’amour est aveugle, pas certain, probable
Sans porter de jugement quelconque, de quel droit, ni souhaitable,
Celle qu’on aime sera celle de tous les jours, non d’artifice du jour.
Arrive même parfois, dans le cas d’une beauté naturelle sans fard
Que maquillée à outrance, la change, au point de la peinturlurer
Attention que sous la pression d’un dictat, trop ajouté, surjoué
On laisserait tomber la proie pour l’ombre, par trop de clarté.
.
Selon certaines femmes, la beauté,
N’est pas une option : une injonction !
Leur corps est pour être vue, être désiré
Alors que d’autres le voudront à égalité,
Avec les hommes et les autres femmes.
.
Attention à ne pas commettre d’excès
Vous menant tout droit à des impairs.
Quand trop c’est trop : effet contraire,
Comme parfum virant et lors n’attrait
Pot de peinture loin de tableau vivant.
.
.
482 – Calligramme
.
Belle comme le jour
Belle comme l’amour :
Tel semble être le refrain,
De celles qui plaisent bien.
La beauté … pour la publicité,
Est «parce que je le vaux bien»
Telle beauté sera marchandisée,
Pour choisir celle qui convient !
S’il suffirait, d’y mettre le prix,
Pour que résultat soit garanti
Cela suffirait, en différences,
Amplifiant traits d’attirance.
LE DICTAT
Ne leur voilons pas la face,
Leur beauté… aux femmes
Reste leur principal atout
Elle peut être naturelle,
Quand, jeune et pucelle,
Mais déjà bien apprêtée
Après que s’être mariée
L’enfant la déforme,
Changent ses formes :
Si elle ne prend garde,
Ses kilos elle les garde
Jusqu’à quarante ans,
Elles sont au parterre,
Si leurs murissements
Affirme leur caractère !
DE LA BEAUTÉ
Après cinquante années
Si elles s’entretiennent,
Ça passe encore … sinon
Des différences notoires,
Font que leur ménopause,
Survenant : leur plastique,
S’affaisse, ou, ne s’impose,
Qu’aux regards, lubriques.
Soins, coiffure, manucure,
Sinon, c’est la déconfiture,
Et un régime toute l’année
Sinon, c’est emmagasiné !
POUR LES FEMMES
Elle ne sera plus regardée
Ni par plaisir ni par désir
Lors se plaire à elle-même
Serait la dernière volonté,
Qu’elle souhaitera s’offrir.
Et même si, de l’intérieur
Elle se saura supérieure,
De vieillir, et de s’enlaidir
Chez la femme serait pire
Que l’homme même étant
Quelque peu…bedonnant !
.
.
Forme
.
Réduction
.
.
.
Évocation
Bâton pour marcher,
Pinceau pour peindre:
Finalement, j’aurai choisi
Un coffret de maquillage.
.
Pinceau à fard estompeur,
Sont des pinceaux trompeurs,
Maquillage joues et paupières
Pour attirer tous les regards.
.
Symbolique
.
Un pinceau
Latin peniculus
Ou petite queue
Est une variété
De brosse à poils
Souples terminée
En pointe, destiné
À enduire surfaces
D’une couche mince
Matière de peinture,
Encre, vernis, fard.
Un pinceau sert
En calligraphie,
En illustration,
En décoration,
En bâtiment,
En peinture,
Artistique,
Et dessin.
Wikipédia
.
Descriptif
.
482 – Le dictat de la beauté pour les femmes
Alignement central / Titre intercalé / Thème image
Forme cône courbe / Rimes égales / Fond accordé à forme
Symbole de forme : pinceau / Symbole de fond : maquillage
.
.
Fond
.
Évocation
.
.
Le coffret à maquillage
Pour joues yeux, cils, paupières
Permet d’attirer tous les regards,
Sur soi, comme un «faux phare » !
.
Symbolique
.
Le maquillage est logiquement porteur
Du paradoxe dont le féminin est porteur :
Il sera critiqué sur toute femme ordinaire,
S’il est autre chose que … des plus discrets,
Obligatoire sur actrice, femme d’exception
Tant considéré comme malade, ou en crise
Si le fard reste absent de leur visage
Ou insuffisamment criard.
echodecythere.com
.
.
Corrélations
Fond/forme
.
Maquillage, comme son nom l’indique,
Consiste à embellir d’avantage par artifice
Il rime avec poudre, crème, lotion, rimmel.
La plupart du temps, nécessite un pinceau
Et il s’applique pour la gent féminine
Si bien fond de teint rejoint forme
Comme double peau de crème
Peut-on leur en vouloir : non,
C’est leur liberté, notre attente.
.
Tout est une question d’application et de degré
Pas assez ne sert à rien, trop trompe pour rien
Dessous le maquillage, on percevra la personne
Qui en rajouterait de trop et ne devient crédible
Un maquillage, léger, donnerait plus d’éclats
À celle qui en aurait assez, naturellement :
S’agit de souligner non surligner le trait.
.
Visuel
.
.
Canons de beauté
.
Beauté
.
Agréable à voir ou à entendre.
Qui fait éprouver une émotion esthétique
Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.
Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.
.
On le qualifie de : joli, magnifique, superbe, admirable,
Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux
.
Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.
Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.
Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.
.
La beauté ferait naître un sentiment d’admiration,
Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.
.
Quel joli grain de beauté, vous avez, là, ma chère !
.
« Edmund Burke, dans Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1757), distingue le beau du sublime. Pour lui, le beau est harmonieux, attirant, le sublime disproportionné et terrible. Cette distinction sera reprise par Emmanuel Kant dans sa Critique de la faculté de juger (1790). » Wikipédia/beau
.
BEAU, JOLI. Le joli n’est qu’un diminutif du beau ; il n’en a ni la grandeur, ni la régularité, ni la généralité, ni l’idéal. La chaîne des Pyrénées vue du haut du pic du Midi est un beau spectacle ; un joli paysage est quelque chose de bien plus restreint. Un vieillard peut avoir une belle tête, n’a jamais joli visage.
.
Hegel affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique. Pour lui, le beau artistique est « très au-dessus de la nature », parce qu’il est œuvre de l’esprit. Il a pour but « la présentation de la vérité » sous sa forme sensible et permet à l’homme d’accéder à la conscience de soi.
.
Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire
Et découvre des choses de plus en plus belles
Beauté est à la fois un concept et une réalité
Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute
Autant que de la chose regardée, entendue.
.
Mais dans la beauté il y a une dimension
Supérieure, sublime, parfois intérieure,
Qui en étant cachée demeure invisible
Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !
.
Le beau, pour l’un, peut être laid
Pour l’autre … subjectivement !
Et, ce qui n’est ni l’un ni l’autre,
Est souvent qualifié de commun.
.
Ce que j’en dis vous parait-il commun ?
.
.
. à mettre dans la page et non dans cet l’article
.
Visuels scénario
.
.
Le fait de sur-maquiller ses yeux,
ses paupières, sourcils, et joues,
.
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afin de leur donner plus d’éclats,
plus de présence, ou de couleurs,
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peut aboutir à l’effet contraire :
perdre l’attrait beauté naturelle.
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Textuel calligramme
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- Belle comme le jour, belle comme l’amour : tel semble être le refrain de celles qui plaisent bien ! La beauté, pour la publicité, est parce que, je le vaux bien : telle beauté est marchandisée pour choisir celle qui convient. Il suffira d’y mettre le prix et le résultat sera garanti : cela fera la belle différence, amplifiant ses traits d’attirance ! Ne leur voilons pas la face, leur beauté, aux femmes, est leur principal atout : elle peut être naturelle, quand jeune, pucelle, quand, déjà apprêtée, après s’être mariée. L’enfant la déforme, changent ses formes et, si elle n’y prend garde, ses kilos, elle les garde. Elle a moins le temps et l’envie de s’occuper d’elle, consacre son énergie à l’éducation et à l’économie de son foyer. Jusqu’à quarante ans, elles sont au parterre, si leurs murissements affirment leur caractère, elles n’ont besoin de rien faire ou presque quand leur personnalité compense leur manque de fraicheur et de jeunesse naturelle. Après cinquante années, si elles s’entretiennent, ça passe encore, sinon des différences notoires font que leur ménopause survenant, leur plastique s’affaisse, ne s’impose qu’aux regards lubriques. Il leur faudrait quantité de soins, coiffure, manucure, sinon c’est la déconfiture et le régime toute l’année, sinon c’est emmagasiné et les vacances en thalasso pour massage, soins au visage, pour continuer à plaire à l’entourage. Elle n’est plus regardée par plaisir ni par désir et se plaire, à elle-même, est la dernière beauté qu’elle peut s’offrir même si l’intérieure est bien supérieure ! Oui, pour ceux qui peuvent la détecter et l’apprécier, non, pour tous les autres. De vieillir, s’enlaidir, pour la femme, est pire que pour l’homme, même étant bedonnant.
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Textuel extension
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- + Cela, elles le savent bien dès leur prime jeunesse mais elles savent très bien aussi qu’aucune femme ne peut remonter le temps rien qu’en se maquillant. Ne leur voilons pas la face, tant la beauté, aux femmes, est leur destinée, si elles veulent attirer le regard sur elles. Elles n’ont pas le choix, elles y sont obligées, conditionnées. Il suffit de feuilleter un magazine consacré au monde féminin. Ce qui fait la beauté n’est pas sa plastique, plaisante, attirante mais le regard porté sur elles, on pourra dire par les hommes, mais par les femmes aussi, et parfois encore bien plus cruel, quand elles sont jalouses, dégoutées. La femme que vous mettez en votre lit, ou qui vous entraine en le sien, est-elle bien la même en tous points le lendemain matin, démaquillée ? C’est possible après tout, l’amour est aveugle : pas certain ni probable ! Sans porter de jugements quelconques, et de quel droit, ni souhaitables, celle qu’on aimera sera celle de tous les jours et non d’artifices du jour. Il arrive même parfois, dans le cas d’une beauté naturelle et sans fard, que le maquillage, à outrance, la change au point de la peinturlurer. Attention alors que sous la pression d’un dictat, on rajoute, surjoué au point de laisser tomber proie pour l’ombre, par trop de clarté. Selon certaines femmes, la beauté, n’est pas une option : une injonction ! Leur corps est pour être vue, être désiré alors que d’autres le voudront à égalité, avec les hommes et les autres femmes. Attention à ne pas commettre d’excès vous menant tout droit à des impairs. Quand trop c’est trop : effet contraire, comme parfum virant et lors n’attrait, pot de peinture loin de tableau vivant.
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Textuels symboliques
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Pinceau
- Symbolique de forme : Un pinceau, du Latin peniculus ou petite queue, est une variété de brosse à poils souples terminée en pointe, destinée à enduire, des surfaces, d’une couche de mince matière de peinture, d’encre, de vernis, de fard. Un pinceau sert en calligraphie, en illustration, en décoration, en bâtiment, en peinture artistique et en dessin. Wikipédia
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Maquillage
- Symbolique de fond : Le maquillage est logiquement lié au paradoxe dont le féminin est porteur : il sera critiqué sur toute femme ordinaire, s’il est autre chose que … des plus discrets. Il est obligatoire sur une actrice, ou une femme d’exception, tant considéré comme malade, ou en crise si le fard reste absent de leurs visages ou insuffisamment criard. Modifié, source : echodecythere.com
Maquillage >
- Liens fond/forme : Le maquillage, comme son nom l’indique, consiste à embellir d’avantage, par un artifice. Il rime avec poudre, crème, lotion, rimmel. La plupart du temps, il nécessite un pinceau et il s’applique pour la gent féminine. Si bien que le fond de teint rejoint la forme comme double peau de crème. Peut-on leur en vouloir : non, c’est leur liberté, c’est notre attente. Tout est une question d’application et de degré : pas assez ne sert à rien, et trop, trompera pour rien. Sous le maquillage, on perçoit la personne qui en rajouterait de trop et ne devient plus crédible. Un maquillage, léger, donnera plus d’éclats à celle qui en aurait assez, naturellement : il s’agit de souligner et non de surligner les traits.
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Beauté
.
Agréable à voir ou à entendre.
Qui fait éprouver une émotion esthétique
Qui plaît beaucoup à l’œil en étant opposé à laid.
Dont physique, visage, répond aux canons de beauté.
.
On le qualifie de : joli, magnifique, superbe, admirable,
Quand ce n’est charmant, gracieux, éclatant, harmonieux
.
Quand il s’agit de vêtement on dit : bien habillé, apprêté.
Il, elle, est parvenu à se faire beau, belle, chic, élégante.
Dans le « beau monde », la société élégante, brillante.
.
La beauté ferait naître un sentiment d’admiration,
Ou de satisfaction en opposé à mauvais, médiocre.
.
Quel joli grain de beauté, vous avez, là, ma chère !
.
« Edmund Burke, dans Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau (1757), distingue le beau du sublime. Pour lui, le beau est harmonieux, attirant, le sublime disproportionné et terrible. Cette distinction sera reprise par Emmanuel Kant dans sa Critique de la faculté de juger (1790). » Wikipédia/beau
.
BEAU, JOLI. Le joli n’est qu’un diminutif du beau ; il n’en a ni la grandeur, ni la régularité, ni la généralité, ni l’idéal. La chaîne des Pyrénées vue du haut du pic du Midi est un beau spectacle ; un joli paysage est quelque chose de bien plus restreint. Un vieillard peut avoir une belle tête, n’a jamais joli visage.
.
Hegel affirme une différence conceptuelle entre le beau de nature et le beau artistique. Pour lui, le beau artistique est « très au-dessus de la nature », parce qu’il est œuvre de l’esprit. Il a pour but « la présentation de la vérité » sous sa forme sensible et permet à l’homme d’accéder à la conscience de soi.
.
Pour Platon, c’est par l’amour que l’on désire
Et découvre des choses de plus en plus belles
Beauté est à la fois un concept et une réalité
Qui dépend de celui qui regarde, qui écoute
Autant que de la chose regardée, entendue.
.
Mais dans la beauté il y a une dimension
Supérieure, sublime, parfois intérieure,
Qui en étant cachée demeure invisible
Aux yeux qui ne pénètrent l’intime !
.
Le beau, pour l’un, peut être laid
Pour l’autre … subjectivement !
Et, ce qui n’est ni l’un ni l’autre,
Est souvent qualifié de commun.
.
Ce que j’en dis vous parait-il commun ?
.