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La voix, les mots, les vibrations,
Les résonnances, les consonances,
Tout cela crée une petite musique,
Qui s’orchestre, s’amplifie, en tête.
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Et l’envoutement par voix est fatal
Quand ce ne sont plus les paroles,
Que l’on entend mais des sons,
Nous charmant par leurs tons.
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On repère mots par ci, par-là,
Prenant sens qu’on ordonne
Que colimaçon coordonne,
Lors donnant son tempo.
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Ta voix, mots m’envoutent,
Ôtent, de ma bouche, doute,
Parfum de toilette de violette,
Me fait toujours tourner la tête,
Ton regard plongé dans mon âme,
De son essence en moi s’enflamme.
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Ta peau douce au toucher de pêche,
Que pas un grain malin n’empêche
De presser et de caresser à loisir,
Jusqu’au paroxysme
D’un désir
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Impressionne tous mes neurones
Tellement, elle est belle, est bonne.
Déliés ronds de ta courbe conjuguent
Des grammaires en perte de tous sens,
En périphrases ou en phrases denses,
Mouvements lascifs qui subjuguent
Nos corps communicant amour
Début de nuit jusqu’à
La fin du jour.
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Vibrations de ta voix douce
Jointes à une belle frimousse,
Captivent chacune mes attentions
À en attiser au plus haut ma passion,
Me poussant à franchir le Rubicond,
D’un fleuve qui a, amour pour nom.
Ta voix, tes mots qui m’envoutent,
Sont loin de ce que je redoute,
Confiante, tu me rassures
Sur route prise
Avec toi.
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Tes gestes, tes mouvements, souples,
Sont autant d’arabesques qui dessinent
Des danses où la pesanteur est… absente,
Où la grâce et charme sont constantes,
À tel point que je te repère de loin
Dans mon champ de vision.
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Extension
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Tes vibrations orales,
Vibrations hormonales sont capitales :
Tout en toi vibre d’ondes n’étant pas captées
Que par moi en ventres, nœuds, phases,
En superpositions quasi totales.
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Tes vibrations de voix, en mots,
Qui m’envoutent par ses tons, accords,
Harmoniques, interprètent en mon cerveau
Une symphonie diatonique et qui tire
Et pousse vers un hymne lyrique.
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Quand je suis point, tu es contrepoint,
Quand je suis basse tu es un grande soprane,
Quand je suis contrebasse, tu es picolo,
Quand je suis dièse, tu es bémol.
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Quand finira-t-on sur point d’orgue commun.
Que tu cries fort ou que tu murmures,
Les sons de ta voix me parviennent
Comme un chant qui résonne à mes oreilles
Comme des incantations me mettant
Aussitôt dans un état second, où l’amour,
Produit sortes de réverbérations.
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Dire que notre voix est une signature sonore est comme évidence
Elle est constituée d’un fondamental, harmoniques, résonances !
Et pas deux ne se superposent totalement, sauf en chant choral.
Mots Zic et Musiques s’associent, se confondent, se répondent,
Et ce doux mélange nous attirent et envoutent de leur mélodie
Et quand la chanteuse, à voix suave, se lance, seule, à capella,
Des frissons se mettent à parcourir votre corps, votre peau !
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Un seul mot sorti de sa bouche lors d’une danse
Peut parfois stopper bel élan vers l’attrait sensuel
Tout semblait si parfait tant qu’il ou elle ne parlait
Et voilà que le seul son de sa voix, écorce l’oreille.
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Il y a ce que l’on dit et la manière dont on le dit
Le charme d’une voix peut créer sorte de musique
On ne sait ce qu’il a dit que déjà d’accord avec lui
Tout comme si c’était des harmoniques de sons.
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On dit qu’on est sur la même longueur d’ondes
Et on sait que des ondes inverses se contrarient
D’où vient cette harmonie ou bien cacophonie :
De la bouche, du palais ou de gorge profonde !
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Épilogue
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Voix des sirènes, sont, parait-il, envoutantes,
Voix célestes d’oiseaux de proie dans les airs,
Voix lointaine des profondeurs d’océan d’eau,
On ne peut leur résister et d’aucune manière.
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On sait que la voix suave chuchotée à l’oreille,
Quelque part en notre esprit, l’amour réveille,
Comme si un ange, en nous, soudain, pénètre,
Utilisant son timbre de voix en notre fenêtre !
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Son onde se superpose sur la même longueur,
Nous plongeant dans une humeur de langueur,
Qui se répandra en antichambre d’un bonheur,
Qui ne peut que m’être bénéfique à cette heure.
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J’arrête là mon délire d’un monologue intérieur
Sinon l’on va me rappeler que j’entends des voix
Mais mes yeux ne me trompent, tu es sur scène,
Et j’écoute ta chanson qui me berce les tympans.
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477 – Calligramme
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La voix, les mots V les vibrations,
Les résonnances I les consonances,
Tout cela crée B petite musique,
Qui s’orchestre R s’amplifie en tête.
Et l’envoutement A par voix est fatal
Quand ce ne sont T plus les paroles,
Que l’on entend I mais des sons,
Nous charmant O par leurs tons.
On repère mots N par ci, par-là,
Prenant le sens S qu’on ordonne
Que colimaçon coordonne,
Donnant le tempo
Ta voix, mots, m’envoutent,
Otent, de ma bouche, tout doute,
Parfum de toi E lette violette,
Me fait toujours N tourner la tête,
Ton regard plongé * dans mon âme,
De son essence en V moi s’enflamme.
Ta peau douce au O toucher de pêche,
Que pas un grain I malin n’empêche
De presser et de X caresser à loisir,
Jusqu’au paroxysme
D’un désir
Impressionne tous mes neurones
Tellement, elle D est belle, bonne.
Déliés ronds de E ta courbe conjuguent
Des grammaires * en perte de tous sens,
En périphrases M en phrases denses,
Mouvements las O cifs qui subjuguent
Nos corps com T municant amour
Début de S nuit jusqu’à
La fin du jour.
Vibrations de ta voix douce
Jointes Q à une belle E frimousse,
Captivent U chacune mes N attentions
À en attiser I au plus haut ma V passion,
Me poussant * à franchir le O Rubicond,
D’un fleuve S qui a, amour U pour nom.
Ta voix, tes O mots, qui T m’envoutent,
Sont loin de N ce que A je redoute
Confiance T toi N me rassure
Sur route T prise
Avec S toi.
Tes gestes, tes mouvements, souples,
Sont autant d’arabesques qui dessinent
Des danses où la pesanteur est… absente,
Où la grâce et charme sont constantes,
À tel point que je te repère de loin
Dans mon champ de vision.
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Forme
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Évocation
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En haut une bouche
En train de chanter
Une longe onde de vie,
Musicale voire cérébrale.
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L’onde de vie, surtout celle des voix,
Peut devenir magique ;
Dès lors qu’elle ébranle les circonvolutions
Du cerveau limbique !
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Symbolique
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Les vibrations sont
Un tout dans l’univers,
Un monde de basses et
De hautes .… fréquences,
Une création de chaque instant
Où se vit la vérité ou bien l’illusion.
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Chacun a accès à ces ondes de vie,
Qui ont des vibrations à chaque instant
Car elles sont créées par vos pensées,
Par vos paroles et par vos actions.
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Chaque être sera pourvu d’un peu
De la toute-puissance de l’univers
Et doit, aujourd’hui, connaître
La portée de ses ..… créations.
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L’onde de vie est forte, puissante.
Elle définit la puissance des énergies
Afin que vienne la guérison en chacun….
audeladesmots.org/?tag=londe-de-vie
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Descriptif
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477 – Vibrations en voix de mots qui envoûtent
Alignement central / Titre droit cercle / Thème ondes
Forme losange / Rimes égales / Fond accordé à forme
Symbole de forme : onde-vie / Symbole de fond : cerveau
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Fond
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Évocation
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L’onde cérébrale provient du dedans, du cerveau
Alpha, bêta, gamma, etc.
On n’en a peu conscience mais elle a son importance
Pour créer des harmoniques.
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Symbolique
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Existe 5 types d’ondes cérébrales
Qui fonctionnent, presque, comme
Des notes de musiques … calibrées.
Certaines agissent à basse fréquence,
D’autres à une fréquence plus élevée.
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Ensemble, elles sont capables de
Constituer une harmonie où
Nos pensées, nos émotions
Et nos sensations peuvent
Atteindre un équilibre parfait,
De sorte que nous nous sentirons
Plus attentifs, réceptifs à ce qui entoure.
Source : nospensees.fr/types-dondes
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Corrélations
Fond/forme
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L’onde est par nature, sinusoïdale, impulsionnelle
En se propageant, rime et rythme avec elle-même
En finissant par se dissoudre en distance à l’infini
Et tant et si bien que forme se conjugue avec fond
Sans prendre en compte contenus sémantiques,
Simplement ses creux et bosses en musiques,
Parvenant, sympathiques, antipathiques,
Comme voix murmurante, tonitruante
Nous charmant l’oreille, l’écorchant.
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Visuel
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Envoutement par la voix
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