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Égoïsme ou altruisme
Ou un mélange des deux.
Un intérêt très personnel,
Peut satisfaire l’universel.
Comme ouvrir entreprise
Pour faire des bénéfices,
Crée emplois nouveaux
Donc, salariés heureux.
Et, le contraire, autant,
Un intérêt dit général,
Peut servir personnel
Difficile de les opposer
Et sans… se tromper !
Avant de prétendre,
D’être bien altruiste,
Peser le pour et contre.
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On a coutume d’opposer les gens
Étant tournés vers les autres aux gens
Tournés vers eux-mêmes et ce en désignant
Les premiers en altruistes, et seconds, égoïstes.
Or la réalité est plus simple, plus brutale que cela
Nous sommes tous, humains, égoïstes, point final !
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Nous défendons point de vue, issu de notre histoire,
Notre intérêt avant toute chose, fruit de l’éducation
Ça peut être une question de degrés, de contextes,
De périodes, de solidarités mais, par définition,
Nous ne nous effacerons pas pour épouser
Entièrement le point de vue de l’autre.
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Il est certain que ce n’est pas en se
Regardant le nombril et en permanence
Que l’on va découvrir qui l’on est réellement.
Le point de vue d’autrui est, toujours, prééminent
Sur le sien, qu’on le veuille, ou non, et instamment !
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Au travers des autres plus qu’à l’intérieur de soi-même,
Que l’on parviendrait à cerner, sa véritable, personnalité.
Socrate dit : «Connais-toi toi-même» en incluant les deux
Tant c’est ce va et vient, et, ce croisement entre les deux,
D’intérieur vers l’extérieur qui permettent de découvrir,
De compléter, voire affiner, au mieux, les constantes,
Et les dynamiques les plus profondes de notre identité,
S’autoproclamer : poète, philosophe, écrivain, artiste.
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Il vaut mieux se laisser nommer » par ses lecteurs
Lors ce sera au travers des histoires des autres
Que votre fiction gagne bien plus en réalité,
En véracité sinon voire en vraisemblance.
Aller vers les autres c’est rechercher,
Trouver ce qui fait sens commun,
Ce qui ressemble, diffère de nous.
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Extension
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Tout porte, dans notre éducation, société, à être individualiste
Et que «les meilleurs gagnent» et si, beaucoup, ce sera mérité !
Avec des contextes, et des arguments de ce type : être altruiste,
Devient une vocation qui va bien au-delà de l’intention d’aider.
En réalité, la plupart des gens sont entre deux, alternativement,
Ils donnent sous le coup du moment, de l’émotion, de l’actualité
Et le reste du temps, ils capitalisent, et se servent : eux d’abord.
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L’idéal serait de trouver l’équilibre
Entre tourné vers soi, vers les autres :
Trop tourné vers soi fait de vous égoïste,
Et trop vers les autres, fatigue de n’être pas.
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Il en est ainsi dans de nombreuses associations
Le matin pour y contribuer, la faire durer, aimer
L’après-midi pour ses loisirs, passions, hobbys
Mais je m’en tiens là aux inactifs, retraités.
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Les jeunes aussi donnent de leur temps
Ils n’ont encore ni métier ni enfants
C’est plus dur pour les parents,
Altruistes pour leurs enfants.
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891 – Calligramme
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Égoïsme ou altruisme
Ou un mélange des deux.
Un intérêt très personnel,
Peut satisfaire l’universel.
Comme ouvrir entreprise
Pour faire des bénéfices,
Crée emplois nouveaux
Donc, salariés heureux.
Et, le contraire, autant,
Un intérêt dit général,
Peut servir personnel
Difficile de les opposer
Et sans… se tromper !
Avant de prétendre,
D’être bien altruiste,
Peser le pour et contre.
ÊTRE TOURNÉ VERS
On a coutume d’opposer les gens
Étant tournés vers les autres aux gens
Tournés vers eux-mêmes et ce en désignant
Les premiers en altruistes, et seconds, égoïstes.
Or la réalité est plus simple, plus brutale que cela
Nous sommes tous, humains, égoïstes, point final !
Nous défendons point de vue, issu de notre histoire,
Notre intérêt avant toute chose, fruit de l’éducation
Ça peut être une question de degrés, de contextes,
De périodes, de solidarités mais, par définition,
Nous ne nous effacerons pas pour épouser
Entièrement le point de vue de l’autre.
VERS LES AUTRES ?
Il est certain que ce n’est pas en se
Regardant le nombril et en permanence
Que l’on va découvrir qui l’on est réellement.
Le point de vue d’autrui est, toujours, prééminent
Sur le sien, qu’on le veuille, ou non, et instamment !
Au travers des autres plus qu’à l’intérieur de soi-même,
Que l’on parviendrait à cerner, sa véritable, personnalité.
Socrate dit : «Connais-toi toi-même» en incluant les deux
Tant c’est ce va et vient, et, ce croisement entre les deux,
D’intérieur vers l’extérieur qui permettent de découvrir,
De compléter, voire affiner au mieux, les constantes,
Et les dynamiques les plus profondes de notre identité,
S’autoproclamer : poète philosophe, écrivain, artiste.
Il vaut mieux se laisser nommer » par ses lecteurs
Lors ce sera au travers des histoires des autres
Que votre fiction gagne bien plus en réalité,
En véracité sinon voire en vraisemblance.
Aller vers les autres c’est rechercher,
Trouver ce qui fait sens commun,
Ce qui ressemble diffère de nous.
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Un buste, et une tête féminine,
Surmontée d’une coiffe bigouden:
Une femme qui voudra s’affirmer
Par ses origines … quimpéroises!
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Si la coiffe est bien rendue, par contre
Le corps de la femme est plutôt d’une vieille
Comme on en voit sur les anciens tableaux !
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La coiffe bigouden est un symbole
Connu, pour la Bretagne :
Elle est une manière de se distinguer,
S’affirmer auprès d’autres.
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Symbolique
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La coiffe est une
Forme de couvre-chef
En tissu porté par les femmes.
Autrefois destinée au double usage
De dissimulation du visage, de chevelure,
Protection de la tête, la coiffe est devenue
Dans le civil, un accessoire de mode.
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On recensera dans la plupart des
Provinces françaises des coiffes.
Si lors, certaines ne concernent
Qu’une seule commune de région.
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La coiffe est désormais un élément
Du costume folklorique, mais aussi
Du costume de certains ordres religieux.
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Descriptif
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891 – Être tourné vers soi ou vers les autres
Alignement central / Titre intercalé / Thème destinée
Forme anthropo / Rimes variées / Fond accordé à forme
Symbole de forme : coiffe / Symbole de fond : s’affirmer
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Fond
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Évocation
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La coiffe bigouden est un symbole
Connu, pour la Bretagne :
Elle est une manière de se distinguer,
S’affirmer auprès d’autres.
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Symbolique
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S’affirmer c’est le nouveau courage.
Que ce soit au bureau, entre amis, en famille,
Le besoin de s’affirmer n’a jamais été aussi présent.
Dire oui, non, oser s’engager, sans violence, agressivité,
Relèveraient même d’une nouvelle forme de… bravoure,
Nous explique clairement le philosophe Michel Lacroix.
Notre sensibilité collective et individuelle, évoluent :
Lors ce qui nous faisait vibrer il y a … trente ans
Ne nous intéresse plus forcément aujourd’hui.
Modifié, source : psuychologie.com
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Corrélations
Fond/forme
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S’affirmer est une nécessité dans le monde
Déjà, pour se faire connaitre, puis reconnaitre,
Autant pour ne pas se faire marcher sur les pieds
Mais s’affirmer c’est aussi s’assurer et s’assumer.
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Il est certain que les femmes le font plus qu’hier
Mais ce n’est pas aux dépends de hommes
C’est juste à leur côté et différemment
Je ne vais pas me faire le chantre
Ni du macho ni de la féministe,
En leur lutte de substitution.
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Voilà une jeune femme qui s’affirme… haut et fort
On a connu des hommes en chapeau haut de forme
Elle mixte en fait un peu les deux dans une égalité
Dominante par sa coiffe, dominée par son voile,
C’est cela même la maitresse femme bretonne !
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Cela dit elle correspond pour partie au fond,
Tournée vers elle pour se parer, s’affirmer
Vers les autres pour les aider, diriger !
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Visuel
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Les autres ne sont pas que stats
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