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Port Musée,
Conserveries,
Kouign-amann,
Font partie décor
Planté Douarnenez.
Cette ville moyenne,
Aux multiples visages,
Profite d’un beau rivage,
Belles falaises, belles plages,
Pour offrir à ses résidents,
Tout près ce qu’il en attend.
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Cimetière, bateaux fantômes,
Est spectaculaire,
Visite port de pêche et criée,
Extraordinaire !
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Là, vous pourrez monter
Rue dite : « du paradis » !
Une école primaire, en bas,
Une usine …. au beau milieu
Un cimetière …. tout en haut.
Vous imaginez-vous …. passer
Votre vie, dans cette seule rue.
Lors cela se produisait parfois,
Pour ouvrières il y a un siècle !
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Connu
Des villes
At-ta-chan-tes
Par unique univers,
Mais pas pour une rue,
Cela fait partie, aujourd’hui,
De nouvelles légendes urbaines ici
Vrai paradoxe entre ouvrières à terre,
Et longs séjours de leurs marins, en mer.
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Douarnenez est connu pour son port-musée
Autant que, pour kouign-amann, sa pâte fine,
Pour ses conserves et pour ses sardines, aussi,
Qu’on importe, car elles n’y sont plus pêchées.
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Son port se prolonge par un grand cimetière
Où des centaines de bateaux ont fini leurs vies
Comme autant de fantômes et qui ne s’oublient
Attestant leurs passés glorieux, en moins fiers.
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La ville aussi vaut détour, port de pêche, animé,
Où les cafés se touchent, où ils veulent raconter
Récits que des marins, certains soirs ont éclusé
Pour compenser leurs durs labeurs après la criée.
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Il faut franchir son écluse aux heures de marées
Mais le port de Tréboul, en face, nous accueille,
Pour une matinée, pour une petite randonnée,
Pour cette fois, nous avons vu la pluie tomber.
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Extension
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L’histoire de Douarnenez est intéressante
Pour ses combats de femmes…ouvrières,
Pour ses conserveries, pour ses marins
Navigateurs et pêcheurs dans la baie
Et, parfois, puis plus loin, au large.
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La sardine restera son emblème
Rien à voir avec celle de Marseille.
Son cimetière marin est sous la brume
En annexe, étrange, comme figé en passé.
Ce sont plus que vestiges qui se désagrègent
Peu à, et sans aucune velléité de restauration.
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Douarnenez dispose, royalement .….. de trois ports,
Un port de pêche, une marina, et, un port-musée !
Cela lui fait comme une originalité pour la visiter,
Sans parler de son cimetière à bateaux, que nous
Avons exploré, dans la brume, froid dans les dos.
Il faut dire que ce spectacle devient…hallucinant,
Dès lors qu’on pense aux marins, y ayant navigué,
Qui sont morts, comme eux, au cimetière, relégués,
Laissant derrière eux des coques à moitié éventrées !
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Je connais bien cette ville pour l’avoir fréquenté
Maintes fois dans ma jeunesse en amours passés
C’est une ancienne capitale conserves de sardines,
Mais qui garde encore quelques usines de renom !
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Comme en rade de Brest, Lorient, Golfe Morbihan,
On peut naviguer dans sa baie pour bonne journée,
Nous l’avons bien traversé, lors partant de Morgat,
Pour atterrir en la marina-musée, de Douarnenez.
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Y a peu de musées maritimes le long côte française
Étaples, Douarnenez et La rochelle, en font partie.
Raison de plus pour ne pas passer à côté, l’oublier
Et ce d’autant que des bateaux peuvent se visiter.
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Épilogue
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Un port des plus sympathiques
Chargé d’histoire des sardiniers,
Encore actifs dans la conserverie
Qui sont de vrais délices en repas.
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On peut enchainer pour le dessert
Délicieux kouign aman de Tréboul
Un gâteau au beurre qui croustille,
Et reste sur les hanches longtemps.
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Un port de pêche et deux marinas,
Viennent compléter charme accueil
Il fait bon siroter le bon cidre breton
Sur les quais face au musée maritime.
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Nous y avons passé trois jours, c’est dire
S’il y a de quoi faire et même tout autour
Son cimetière marin vaut bien un détour,
Personne sur ce sujet ne vient contredire.
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Et nous l’avons quitter, presque à regret,
Il est vrai qu’un beau soleil l’éblouissait,
Notre programme prend déjà du retard
N’avons qu’un mois pour la Bretagne.
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L’on dit qu’on peut en faire le tour
En trois jours avec une voiture
En trois semaines, en voilier
En trois mois, son âme.
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112 – Calligramme
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Port * Musée,
Conser D vernies,
Kouign O amann,
Font partie U décors
Planté Dou A arnenez.
Cette ville R moyenne,
Et aux multiples N visages,
Profite d’un beau E rivage,
Belles falaises belles N plages,
Pour offrir à tous les E résident,
Tout près ce qu’il en Z attend.
Cimetière, bateaux fantômes,
Est spectaculaire,
Visite port de pêche et criée,
Extraordinaire !
Là, vous pourrez monter
Rue dite : « du paradis » !
Une école primaire, en bas,
Une usine …. au beau milieu
Un cimetière …. tout en haut.
Vous imaginez-vous …. passer
Votre vie, dans cette seule rue.
Lors cela se produisait parfois,
Pour ouvrières il y a un siècle !
Connu
Des villes
At-ta-chan-tes
Par unique univers,
Mais pas pour une rue,
Cela fait partie, aujourd’hui,
De nouvelles légendes urbaines ici
Vrai paradoxe entre ouvrières à terre,
Et longs séjours de leurs marins, en mer.
Douarnenez est connu pour son port-musée
Autant que, pour kouign P amann, sa pâte fine,
Pour ses conserves et pour O ses sardines, aussi,
Qu’on importe, car elles n’y R sont plus pêchées.
Son port se prolonge par un T grand cimetière
Où des centaines de bateaux * ont fini leurs vies
Comme autant de fantômes et M qui ne s’oublient
Attestant leurs passés glorieux U en moins fiers.
La ville aussi vaut détour : port S de pêche, animé,
Où les cafés se touchent, où ils É veulent raconter
Récits que des marins, certains E soirs ont éclusé
Pour compenser leurs durs labeurs après la criée.
Il faut franchir son écluse aux heures de marées
Mais le port de Tréboul, en face, nous accueille,
Pour une matinée, pour une petite randonnée,
Pour cette fois, nous avons vu la pluie tomber.
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Suite de trois bateaux amarrés,
Le clocher d’une église at sa flèche
Bateau-feu, surmonté d’un phare,
Et parqué en un … port-musée ?
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L’ancien bateau-feu anglais nommé
Scarweather bien rénové en 2008,
Port musée : vingtaine d‘autres,
De tous types, l’accompagnent !
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Symbolique
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Le bateau-feu
Est comme une lanterne
Qui sert de phare, en pleine
Mer ou près des côtes,
Là où il n’est pas possible
De construire de phare.
Ce sont des bateaux
Qui offrent une sécurité aux marins,
Pour signaler un danger, un haut-fond ou un écueil
Et qui peuvent rester à l’ancre pendant des années.
Des bateaux qui ne voyagent pas.
« Le bateau-feu qui a impressionné
François Dilasser, reste une pièce
Des collections du port-musée de Douarnenez,
Le « Scarweather », construit en 1947 par
Un chantier de Grande-Bretagne et qui
Était ancré dans le canal de Bristol.
letelegramme.fr/finistere/brest/
francois-dilasser-le-bateau-feu
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Descriptif
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112 – Le beau port-musée de Douarnenez
Alignement centré / Titre oblique / Thème port
Forme droite conique /Rimes variées /Fond accordé à forme
Symbole de forme : bateau-feu / Symbole de fond : port-musée
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Fond
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Évocation
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Le port-musée de Douarnenez-Tréboul en Finistère
Une initiative sauvegarde saluée
Par tous les marins attachés à l’histoire des bateaux
Et occasion d’émerveillements !
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Symbolique
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Port-musée de Douarnenez
En Finistère inauguré en mai 1993
Se situe au Port-Rhu sur l’ancienne ria
De Pouldavid séparant Douarnenez
Et le quartier de Tréboul.
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Le port-musée est consacré aux bateaux
Et aux hommes, de Bretagne, et, d’ailleurs.
Il possède une collection de référence nationale,
Comme une invitation au voyage à travers les
Cultures maritimes du monde entier.
Pêche, cabotage et plaisance.
Source : Wikipédia
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Corrélations
Fond/forme
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Douarnenez, Tréboul se touchent, séparés par
Un petit bras de mer, en rivière de Pouldavid,
Abritant le Port-musée en Port-Rhu mitoyen
Douarnenez est un très beau port de pêche,
Avec son front de mer et ses conserveries.
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Un port-musée, est une vraie curiosité marine,
Prolongé, au fond, en cimetière de vieux bateaux
Rimé en bas, en coque, libre deux étages de flèche
Là, les couleurs et formes et hauteurs et largeurs,
Se côtoient ici, chacun en son jus, époque, valeur
Si fait qu’aucune forme ne couvre tout son fond,
Mais que toutes l’évoque, et chacun à sa façon.
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Visuel
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Chadel : port de Douarnenez, 1924)
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