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Une randonnée,
Ce n’est pas mettre,
Un pied devant l’autre
Et puis recommencer,
C’est aussi, regarder,
Tout autour de soi,
Ce qu’il y a à voir,
Pour créer l’émoi.
Ici nous visons,
D’ile, son centre,
Son cratère devenu
Comme une lagune,
Où, nous avons observé
Trois sortes comportements.
Le nôtre, randonneurs étrangers,
Locaux : pique-niquant, en familles,
Touristes : acheminés en tous-terrains.
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Du parc, Centre de Garajonay, Parajito :
Notre point de départ est souvent le même,
Tout près du point culminant de La Gomera !
Nous faisons première halte au sommet de l’ile
À quinze cent mètres d’où on peut bénéficier,
À la fois ruines funéraires des Guanches,
Et du panorama, des plus complets de l’ile
Et des iles de : La Palma, Hiéro, Tenerife.
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Des moments culturels tout aussi poétiques
Immortalisés par des photos, en salves, hop :
L’on reprend le sentier vers La Laguna Grande,
Un centre récréatif où il y a des chemins, parking,
Un four pour barbecue un restaurant, aire de jeux.
Durant notre déjeuner de casse-croûte lors pic-nic,
On voit arriver dizaine de gros 4X4, tous-terrains,
Déversant, chacun, ses huit touristes allemands,
En tenue légère avec des espadrilles, au pied.
Un des chauffeurs, le chef ou présupposé,
Leur fera un topo culturel sur endroit
Direction le restaurant pour un café
Ou bière ou jus ou gâteau ou glace.
.
Ils refluent tous, en file indienne,
Sans mettre un pied dans le Parc,
Rejoignant véhicule, peur de le rater.
Tandis qu’autour de la table d’à côté,
La famille canarienne s’est regroupée,
Débute un concert de guitares pour jouer,
Pour chanter leurs mélodies folkloriques :
.
Trois mondes, au même moment, se sont côtoyés,
Le nôtre des randonneurs et qui suent sang et eau ;
Celui des touristes friqués, qui se laissent promener ;
Celui d’autochtones, vivant leur vie d’us et coutumes.
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Extension
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Durant la pause déjeuner,
Trois mondes se sont côtoyés
Au même moment :
Le nôtre … celui des randonneurs
Qui suent sang et eau pour y parvenir
En toute autonomie.
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Celui des touristes friqués, voire pressés,
Se laissant promener comme des moutons,
Et celui des autochtones qui vivent leurs vies
En famille, en respectant leur us et coutumes !
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Marcheurs, groupes, familles, au même endroit,
Se côtoient, chacun suivant son désir dans sa voie
Utilisant divers moyens pour divers programmes.
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Un sentier de randonnée, bien fléché, au cœur même du parc national,
Quoi de mieux pour passer une longue journée en étant bien rassuré :
Ça monte, descend tout le temps, rien n’est plat,
Mis à part la Laguna de sable au milieu du parc
Où l’on a vu plein de touristes, arrivant par 4X4,
Et traversant la lagune, équipés de simples savates
Nous avons piqueniqué, au son des guitares et des chants des voisins,
Et sommes repartis, l’estomac plein, le cœur léger, sur notre chemin !
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Laguna Grande serait un cœur au milieu d’un cœur :
Le grand cœur de La Gomera est un immense cratère,
Verdoyant de partout avec un petit désert de sable sec
En plein milieu : comme sorte de curiosité géologique.
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Chose moins étrange mais tout de même surprenant,
Un café restaurant y attenant, avec tables et parasols.
Comment, pourquoi du sable a-t-il été transporté ici :
En réalité ,non juste un mélange de terre et de cendre.
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Nous avons pique-niqué là en profitant de l’ambiance
On aurait pu se croire n’importe où : en autre réalité !
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153 – Calligramme
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Une randonnée,
Ce n’est pas mettre,
Un pied devant l’autre
Et puis recommencer,
C’est aussi, regarder,
Tout autour de soi,
Ce qu’il y a à voir,
Pour créer l’émoi.
Ici nous visons,
D’ile, son centre,
Son cratère devenu
Comme une lagune,
Où, nous avons observé
Trois sortes comportements.
Le nôtre, randonneurs étrangers,
Locaux : pique-niquant, en familles,
Touristes : acheminés en tous-terrains !
Du parc, R Centre de Garajonay, Parajito :
Notre point de A départ est souvent le même,
Tout près du point N culminant de La Gomera !
Nous faisons première D halte au sommet de l’ile
À quinze cent mètres d’où O on peut bénéficier,
À la fois ruines funéraires N des Guanches,
Et du panorama, des plus N complets de l’ile
Et des iles de La Palma É Hiéro, Tenerife.
Des moments culturels E tout aussi poétiques
Immortalisés par des * photos en salves, hop,
L’on reprend le sentier L vers La Laguna Grande,
Un centre récréatif où A il y a des chemins, parking,
Un four pour barbecue G un restaurant, aire de jeux.
Durant notre déjeuner U de casse-croûte lors pic-nic,
On voit arriver dizaine N de gros 4X4, tous-terrains
Déversant chacun ses A huit touristes allemands,
En tenue légère avec * des espadrilles, au pied.
Un des chauffeurs, G le chef ou présupposé,
Leur fera un topo R culturel sur endroit
Direction le restau A rant pour un café,
Ou bière ou jus ou N gâteau ou glace.
Ils refluent tous, en D file indienne,
Sans mettre un pied E dans le Parc,
Rejoignant véhicule, * peur de rater.
Tandis qu’autour de la L table d’à côté,
La famille canarienne A s’est regroupée,
Débute un concert de * guitares, pour jouer,
Pour chanter, leurs G mélodies folkloriques.
Trois mondes au O même moment se sont côtoyés,
Le nôtre des M randonneurs et qui suent sang et eau ;
Celui des E touristes, friqués, qui se laissent promener ;
Celui R d’autochtones, vivant leur vie d’us et coutumes !
A ……………………………………………
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Forme
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Réduction
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Évocation
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D’extérieur, statue en majesté,
Randonneur avec un sac à dos
Et d’intérieur, sentier en forêt,
Quelque peu sinueux, il est vrai !
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Ici, le sentier est tracé avec ses méandres
qui nous mène à un sommet, éperon rocheux
et il est bien balisé, on ne peut guère se tromper
tant et si bien que la forme converge avec le fond.
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A La Gomera, un tel sentier
Sur terrain plat, faut pas en rêver
Ça monte et ça descend tout le temps,
Pour randonner, sauf à cet endroit.
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Symbolique
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La signalisation
Des chemins pédestres
Marquage des sentiers
Par le moyen de signalisations
Se suivant, à une certaine distance,
Et d’indications de direction (fléchage)
D’indication de distance, durée du trajet.
Et cette signalisation permet au voyageur,
De mieux s’orienter et suivre des itinéraires,
Lui évitant ainsi de se perdre ou d’emprunter
Des itinéraires, jugés parfois très dangereux !
Wikipedia /Signalisation.sentiers randonnées
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Descriptif
153 – Randonnée Laguna Grande La Gomera
Alignement central / Titre serpentin / Thème rando
Forme courbe / Rimes libres / Fond accordé à forme
Symbole de forme : sentier / Symbole de fond : randonnée
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Fond
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Évocation
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A La Goméra, un tel sentier
Sur terrain plat, faut pas en rêver
Ça monte et ça descend tout le temps
Pour randonner, sauf à cet endroit.
.
Symbolique
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Pourquoi randonner ?
Une question, de nombreuses réponses.
Certaines personnes vous ont déjà
Probablement posé la question
Celles qui ne comprennent pas
.
Pourquoi vous faites autant d’efforts,
Parfois sous le mauvais temps,
Parfois avec un sac lourd,
Pourquoi vous dormez
.
Dans une tente, avez des ampoules,
Vous êtes mangé par moustiques
Surtout pourquoi après tout ça
Vous rentrez avec le sourire !
Et lors ceux qui ne vous ont pas posé
.
La question, ne comprendraient
Pas votre plaisir de randonner
Et doivent simplement penser
Que vous n’avez pas toute votre tête.
Randonner-malin.com/pourquoi-randonnez-vous
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Corrélations
Fond/forme
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On trouve des sentiers bien balisés,
D’autres qui laissent un peu à désirer
Ou les marquages seront mal placés :
Une carte bien détaillée, une boussole
Sont utiles, parfois, lors randonnée.
En montagne si vous vous égarer
Ou vous vous tromper de vallée
Vous perdrez la demi-journée
À vous retrouver, terminer.
Vous vous en souviendrez.
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Notre randonnée à La Gomera
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Scénario
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La Laguna grande : une clairière en plein milieu d’une forêt dense,
avec des tables pour manger, jeux pour enfants dont cheval de bois,
et nous repartons dans l’épaisse forêt empruntant un petit sentier !
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