215 – Un voilier avance avec le vent

Visuels et textuels   >> 

.

                             Voilier est moyen

                            De transport très lent

                             En un jour il marquera

                              Cinquantaine de milles

                               D’un mouillage à l’autre

                                 Et d’un port vers une ile.

                                  C’est le seul,  qui avance,

                                  Avec la force   des  vents,

                                   Et s’il étale le calme plat,

                                    Son moteur en auxiliaire

                                     Lui permet de filer, à sec,

                                     Plutôt que de… se vautrer

                                     Sur une belle mer d’huile.

                                     Seul, aussi, un  voilier  est

                                     Habité de façon autonome

                                     Il ne peut bénéficier d’aide,

                                     En mer d’aucune personne.

                                    Il reste, encore, un élégant,

                                    Et brave coursier des mers

                                    Pourvu d’un mat et génois

                                    Et d’une grande voile lattée

                                    Il assure plaisirs passionnés

                                    Pour ses lofs, abattées, surfs,

                                   Que vous ne pourrez oublier.

.

Imaginez

En une rivière,

Mais assez profonde

Du genre : bras  de mer,

Avec assez d’eau et d’espace,

Pour mouiller en fond de coude,

Ou d’une anse des plus hospitalières

Avec un dériveur,  où, vous êtes le seul

À oser, seul, vous   y aventurer, y pénétrer.

Vous guettez malgré vous, fond tout en amont

Et sondeur à un mètre, vous procure des frissons,

Jusqu’à ce que, sur  banc : bien ancré, bien protégé,

Rien ne peut plus, même pleine tempête, vous arriver.

Quand vous vous décidez à quitter la baie bien abritée,

Il arrive  que vent  se lève, par saccades, rafales, risées,

Vous redevenez la victime de caprices de bord de mer

Et haute mer, de votre vie, vous ne donnez pas cher.

Au point que, pour votre confort, voire votre salut,

Allez-vous calfeutrer, tout le temps à l’intérieur :

C’est  alors, à la cape, vous vous laissez dériver.

Parfois naviguer se conjuguera mal avec mer

Faut s’attendre autant au pire et meilleur,

Dans le cours d’une … longue traversée.

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Extension

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En connaissance de cause, comme étant effronté,

États mer changeants divers, vous faudra  affronter.

Bateau, c’est vous, votre vie, votre survie : l’ignorer,

C’est être inconscient de braver tous les dangers,

Un voilier en aluminium bien dimensionné,

Bien équipé, vous préservera du naufrage.

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On peut choisir voilier léger, pointu qui fait

 Du cap, avance dès le moindre souffle de vent :

C’est la 2CV légendaire  pour les moins fortunés,

Quand le voilier de course pour les plus fortunés !

.

Nous, nous avons choisi la formule «4×4 des mers»

Très robuste et très lourd et très sécure et de ce fait

Il fait moyenne de cinq nœuds, avec pointes à sept,

Quand il est bien réglé, le vent est fort, constant.

Nous ne le regrettons pas, bien qu’il soit lent.

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Une, deux, trois, quatre, jusqu’à dix, douze, voiles pour vieux voiliers :

Certaines dépassent l’avant, d’autres, l’arrière, avec un mât d’artimon.

La direction et la force du vent sont les éléments, primordiaux, à gérer.

Après il y a le type, la surface, la tension, la dérive et que sais-je encore.

Vous avez compris, pour aller droit devant il faut parfois bien louvoyer.

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La première force  de propulsion d’un voilier

Est sa voilure qui s’adapte à la force du vent.

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S’il n’y a plus de vent, s’il faut rentrer au port

Un moteur auxiliaire sera requis par sécurité.

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Maniement de voilure, parait simple, enfantin

Mais peut se révéler plein de pièges, difficultés

.

Telle grand-voile  qui  se coince, en sa glissière,

Un winch qui dérape, voire un spi qui se twiste.

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Génois refusant de s’enrouler, monter, descendre

Un ris qui ne tient pas ou voile qui flape au vent !

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215 – Calligramme

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                         Voilier est moyen……..   V

                            De transport très lent…   O

                            En un jour il marquera    I

                              Cinquantaine de milles     L

                               D’un mouillage à l’autre    I

                                 Et d’un port vers une ile.   E

                                  C‘est le seul,  qui avance,   R

                                  Avec la force   des  vents,    *

                                   Et s’il étale le calme plat,    A

                                    Son moteur en auxiliaire    V

                                     Lui permet de filer, à sec,    A

                                     Plutôt que de… se vautrer   N

                                     Sur une belle mer d’huile.    C

                                     Seul, aussi, un voilier  est     E

                                     Habité  de façon autonome,  *

                                     Il ne peut bénéficier d’aide,  A

                                     En mer d’aucune personne.   V

                                    Il reste, encore, un élégant,   E

                                    Et brave coursier des mers   C

                                   Pourvu d’un mat et génois,   *

                                    Et d’une grande voile lattée   V

                                    Il assure plaisirs passionnés   E

                                    Pour ses lofs, abattées, surfs,  N

                                   Que vous ne pourrez oublier.   T

.

Imaginez

En une rivière,

Mais assez profonde

Du genre : bras  de mer,

Avec assez d’eau et d’espace,

Pour mouiller en fond de coude,

Ou d’une anse des plus hospitalières

Avec un dériveur,  où, vous êtes le seul

À oser, seul, vous   y aventurer, y pénétrer.

Vous guettez malgré vous, fond tout en amont

Et sondeur à un mètre, vous procure des frissons,

Jusqu’à ce que, sur  banc : bien ancré, bien protégé,

Rien ne peut plus, même pleine tempête, vous arriver.

Quand vous vous décidez à quitter la baie bien abritée,

Il arrive  que vent  se lève, par saccades, rafales, risées,

Vous redevenez la victime de caprices de bord de mer

Et haute mer, de votre vie, vous ne donnez pas cher.

Au point que, pour votre confort, voire votre salut,

Allez-vous calfeutrer, tout le temps à l’intérieur :

C’est  alors, à la cape, vous vous laissez dériver.

Parfois naviguer se conjuguera mal avec mer

Faut s’attendre autant au pire et meilleur,

Dans le cours d’une … longue traversée.

.

.

Forme

.

Réduction

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215 4

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Évocation 

.

Mature de grand-voile, en haut !

Coque de voilier de course, en bas,

La vigilance sera de mise à la barre

Le moindre écart et «au lof» on part

.

Grand voile et génois se complètent,

et se règlent en fonction de direction

du vent, ainsi que de l’état de la mer,

si fait que leur forme épouse le fond.

.

Mature de grand-voile, en haut !

Une coque de voilier de course en bas,

Plus les voiles sont grandes, tendues,

 Et plus le voilier avancera vite.

.

Symbolique 

 .

Symbole des hommes

Contre  Mère Nature,

Les  grandes courses

Océaniques donnent

Une nouvelle figure

Des mythes marins.

.

Avec de grandes voiles et des coques innovantes

Des navigateurs de course, en océan, trouvent

Et retrouvent, en ces expériences, plaisir,

Défi, aventure  d’affronter, découvrir

Territoires les moins apprivoisés

Autour de notre planète.

.

Descriptif

 .

215 – Un voilier n’avance qu’avec du vent 

Alignement  central / Titre externe / Thème  bateau

Forme en ovale /  Rimes libres  / Fond accordé à forme

Symbole de forme : grand-voile/ Symbole de fond : voiles

.

.

Fond

.

Évocation 

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215 6

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Mature de grand-voile, en haut !

Une coque de voilier de course en bas,

Avec une seule grande voile  au portant

Ou trois selon  la coque et gréement.

.

Symbolique 

.

Le voilier

Reste un bateau,

Ce symbole étant général.

Voile donnera une connotation

Plus particulière  à son  symbole,

Une interprétation bien spécifique.

.

Mettre les voiles serait l’expression

Qui illustrerait le mieux le symbole,

La voile se gonfle, besoin de partir,

Elle est le reflet  départ imaginé.

.

Invitation à quitter, peut-être

Mais se rappelant que l’on

Ne quittera pas le port

Sur un coup de tête,

Et qu’un nouveau voyage

Se prépare toujours longuement.

Source : signification-reves.fr/Voilier-voile

 .

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Corrélations

Fond/forme 

 .

On peut aller vite, sur un grand

Voilier de course, avec bon vent

Mais, la plupart sont  autour de

Cinq, six, sept, huit, neuf nœuds.

Ce qui compte,  c’est l’impression

De fendre les flots avec émotions.

.

La vigilance sera de mise à la barre,

Le moindre écart et «au lof» on part.

Vigilance pour ne pas perdre le vent,

Ou pour ne pas faire un  360 degrés.

Avec une grande voile  au portant,

Trois, selon la coque ou gréement.

 .

Anémomètre force vent

.

Scénario  

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Au près, vent devant, vent debout, vent refusant, c’est  un pur enfer ;

au vent  arrière, un  spi bien établi, bien gonflé  par le vent : l’idéal ;

schéma pour bien comprendre, pour calculer l’angle optimal au cap.

 .

Visuels et textuels   >> 


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