.
Un concert, rock, folk, métal,
Ou tout autre style musical,
Est fait par se laisser aller,
Dans un délire à déchirer.
On chante, on saute, on
S’électrise, se balance,
Vibrations d’évidence,
Produisent émotions
Où c’est mon corps
Qui s’en … délecte,
C’est mon esprit,
Qui s’en réjouit.
.
Par flux d’images, par flot de chants,
Remontent de forts courants de sensations
Qu’éprouvent les foules des passants
En autant de canaux d’irrigations.
.
Les imagine comme un pré, herbes
Qui penchent, se plient, se ploient,
Dans un champ de blé qui verdoie
Sous l’effet des vents très acerbes.
Sons ondoyants ou sons chatoyants
Un concert de forts décibels, arrose,
Leurs oreilles et leurs cils vibratiles
En les rendant, plus légers, volatiles,
Ils provoquent, en eux, comme chant
Issu d’autres herbes bleues, ou roses.
Lors, je flotte sur le champ des choses,
Comme si j’étais sans corps, sans pose.
.
Et en lévitation mon fantôme dispose,
Des nouvelles libertés de mouvements
Pour me conduire jusqu’au firmament
Où, tout homme aime être, en planant.
Le concert s’achève gens se dispersent,
Et je reprends mes esprits, mon corps,
Je suis seul, sur sol, détrempé de pluie,
Des notes de silences tomberont encore
Lors une larme dans mes yeux, j’essuie,
Qui, en hallucinations les transpercent.
.
L’on me dit arrête de fumer la moquette
Bien que n’aurais pris qu’ima-gi-na-tions
Qui aura nourri mon cerveau, d’émotions
Et suffisantes, seules, à me mettre à fête.
Je me souviens, des parfums des voisins
Senteurs des foins, de roses, de benjoins,
Leurs mouvements, avec les bras ballants,
Qui rythmaient flots d’ondes émouvants.
À chaque concert, cette image, me revient,
Comme bouffées d’herbes, hallucinogènes,
Mon cerveau produirait sa propre drogue,
Si la musique entretient avec un dialogue.
.
.
Extensions
.
D’un flot d’images ou de chants,
On s’en servira comme d’une amorce
Pour gamberger hors des sentiers battus
Et mélanger nos souvenirs réels à de
Nouveaux produits ou inconnus !
Le tohu-bohu de telles images
Enivre, lors, pour un temps,
Mon cerveau et jusqu’à ce
Que la fatigue l’endorme.
.
En symbolique,
La fleur à un langage.
Coquelicot est : belle fleur,
En robe, d’un rouge éclatant,
Et pétales doux comme de la soie,
Il est aussi appelé : pavot sauvage !
Peut avoir significations distinctes :
D’une part, il est le symbole du repos,
De la quiétude ou de la consolation,
D’autre part de beauté éphémère.
.
On vous parlera à raison ou à tort,
De transes musicales
Qui vous emporteront extra dehors,
En nombre festivals !
.
Point besoin de drogues, d’excitants,
La musique… suffira
À galvaniser le cerveau, en le sonnant
À fond, il ressentira !
.
Sur la vidéo qui vous filmait aux pas
On ne vous reconnaitra
Et vous-même en demeurerez baba
De cet énergumène … là !
.
.
1069 – Calligramme
.
Un concert, rock, folk, métal,
Ou tout autre style musical,
Est fait par se laisser aller,
Dans un délire à déchirer.
On chante, on saute, on
S’électrise, se balance,
Vibrations d’évidence,
Produisent émotions
Où c’est mon corps
Qui s’en … délecte,
C’est mon esprit,
Qui s’en réjouit.
Par flux d’images, par flot de chants,
Remontent de forts courants de sensations
Qu’éprouvent les F foules des passants
En autant de can L aux d’irrigations.
Les imagine com U me un pré herbes
Qui penchent, se X plient, se ploient,
Dans un champ * de blé qui verdoie
Sous l’effet des D vents très acerbes.
Sons ondoyants ‘ ou sons chatoyants
Un concert, forts I décibels, arrose,
Leurs oreilles et M leurs cils vibratiles
En les rendant, A plus légers, volatiles,
Ils provoquent G en eux comme chant
Issu d’autres her E bes bleues, ou roses.
Lors, je flotte sur S champs des choses,
Comme si j’étais, * sans corps, ni pose !
En lévitation mon E fantôme dispose,
Des nouvelles liber T tés de mouvements
Pour me conduire * jusqu’au firmament
Où tout homme ai F me être, en planant.
Le concert s’achève L gens se dispersent,
Et je reprends mes O esprits, mon corps,
Je suis seul, sur sol T détrempé de pluie,
Des notes silences, * tomberont encore
Lors une larme de D mes yeux, j’essuie,
Qui, hallucinations E les transpercent.
On me dit arrête de * fumer la moquette
Bien que n’ai pris C qu’ima-gi-na-tions
Qui a nourri mon H cerveau, d’émotion
Suffisantes, seules, A à me mettre à fête.
Je me souviens, des N parfums des voisins
Senteurs des foins T de roses, benjoins,
Leurs mouvements S des bras ballants
Qui rythmaient flot * d’ondes émouvant.
À chaque concert, cette image, me revient,
Comme bouffées d’herbes, hallucinogènes,
Mon cerveau produirait sa propre drogue,
Si la musique entretient avec un dialogue.
.
.
Forme
Réduction
.
.
Évocation
.
.
Une silhouette humaine
Ou voire un pot posé
Sur beau piédestal
De fleurs, c’est sûr?
.
(forme pleine, rimes égales,
le fond s’éloigne de la forme)
.
Un piédestal peut supporter nombre
D’objets de valeur diverses :
Un simple pot tout aussi bien qu’un
Vase de Chine d’époque Ming !
.
Symbolique
.
Piédestal
Support assez élevé,
Où l’on place un objet décoratif.
Support sur lequel repose une sculpture,
Mettre quelqu’un sur un piédestal :
Lui vouer une grande admiration.
.
Tomber de son piédestal : perdre tout prestige.
Dans les régions Han de la Chine,
Les piédestaux, posés plein air, sont très variés.
.
Les stèles reposent souvent sur un
Piédestal de pierre parfois en forme de tortue,
Symbole de longévité nommée Bix.
Source : dictionnaire.sensagent.
leparisien.fr/PIEDESTAL
.
.
Fond
.
Évocation
.
.
Un piédestal peut supporter nombre
D’objets de valeur diverses :
Un simple pot tout aussi bien qu’un
Vase de Chine d’époque Ming !
.
Symbolique
.
Les architectes de l’époque
La Renaissance, d’abord
Italienne, puis française
Et ensuite, européenne,
Considéraient piédestal
Faisait partie intégrante
Des ordres d’architecture.
Imposent, progressivement,
Sorte de canon … esthétique,
Régentant les proportions de
Ces ordres, comme pour les
Corniches nombre piédestaux,
Formant des seuils de fenêtres
Balustrades galeries, ou statues !
wikipedia.org/wiki/Piédestal
.
.
Corrélations
.
Fond/forme
Piédestal pour mettre en hauteur
Pour en prendre, ou pour donner,
Certains s’y mettent d’eux-mêmes,
Tellement imbus de leur personne,
Quand ils profèreront leurs vérités,
Qui n’en sont pas, qu’on leur prête,
Comme des caisses de résonnances,
Et puis soudain, déboulonnés, jetés !
Mieux vaut rester les pieds sur terre,
Car plus le piédestal est haut et large
Plus dure sera la chute de son image
Et plus fort sera son chant funèbre !
.
.
Flot d’images ballon gonflé
.
Scénario
.
Une image d’un grand champ tout couvert par coquelicots,
dont trois, lors s’approchant, attirent bien notre attention,
jusqu’à celle-ci, nous susurre, et à l’œil, son propre chant !
.