725 – Tout devient une question de frontière !

Visuels et textuels  >> 

.

                           La frontière, entre nous,

                        Le Monde, comme chacun sait,

                      Est notre peau, et sa représentation

                     Agit autant comme filtre qui connait.

                      Fonction des distances proxémiques,

                       Selon origine  des gens, rencontrés,

                         Étranger, plus  loin que   familier,

                           Frontière  psychique… physique.

                            La frontière, ultime, intimité,

                              Nécessite proche séduction

                              Le corps ne pourrait

                              Une âme…toucher,

                              L’intérieur recèle

                               Autre attention !

                     .

                        Tout reste une question frontière,

                     Entre soi, et les autres,  et le monde :

               Les matières et les objets s’agrègent,

        Les êtres vivants restent autonomes.

    Même  en couple, et, dans  l’intimité,

 Demeurera, toujours, cette frontière,

Faisant qu’on ne pourra se mélanger

L’un et l’autre, comme des matières.

 L’extérieur reflète parfois, l’intérieur

   D’une personne, par ses expressions,

      Mais, parfois, c’est tout le contraire ;

           Rien ne filtre comme porte de prison.

                Ne rien communiquer  de l’intérieur :

.

                 À quoi l’on pense, à quoi  l’on réagit,

                      Serait tout un art qui s’apprend petit,

                        Se donnant l’air détaché …  supérieur.

                      Il n’y a que les paroles  et  les pensées

                     Qui se conjuguent, à fond, à volonté :

                  L’esprit ne saurait avoir de frontières,

             Déborde de partout, en fusion entière.

        C’est, qui sait, la principale causalité,

     Pour préférer les images,  aux réalités,

  Esprits se retrouvent après notre mort,

Nos corps ne s’unissent pas aussi  fort.

Entre intérieur  et extérieur : frontière

Le corps nous délimite franchement

À l’intérieur l’esprit, autrement

Se fait voir, miroitière,

L’âme est reflet,

Imparfait,

Aura.

.

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Extensions

 .

Tout est question de frontière

Que l’on peut franchir, ou non !

Gardez une distance proxémique

Avec un inconnu est une obligation

Bien plus  qu’avec  un être  familier.

.

Toute  frontière, corporelle, demeure,

L’un  dans d’autre, lors  toute  frontière

Sémantique s’amenuise l’un avec l’autre,

Et spirituelle se confond l’un pour l’autre.

Frontière entre nous et les objets est floue

Dès lors que  l’on peut  les porter  sur soi.

.

Entre  objets, elle  l’est, bien plus, encore

On peut les assembler, combiner, mixer.

Réduire, augmenter frontière, distance,

Entre nous avec les objets, c’est ce que

Nous faisons tous les jours, avec plus

Ou moins de succès voire de rejets.

.

Toute frontière dépend de limite à franchir ou ne pas dépasser

Elle peut être matérialisée  par la jonction de deux territoires.

Comme le « no man’s land » qui  sépare  deux états ennemis,

Elle peut être déplacée ou redéfinie, par contrat entre amis,

Elle peut provoquer  des surprises  ou  des gènes, si violée.

Entre humains, on appelle : la proximité, la proxémique

Souvent, à cinquante centimètres, l’alarme s’allume !

.

Toute frontière désigne ou signifie

Une limite existante ou imaginaire

À ne pas dépasser, voire enfreindre,

Sous peine de fâcheuses contraintes.

.

En matière psychologique, sociologique

Elle reste loin d’être la même, pour tous,

Faut tâter  le terrain, tant, s’il est hostile,

L’inconnu pourrait devenir votre ennemi.

.

Il est des lieux, des moments et situations

Où l’on s’approche de l’autre à le toucher :

Je peux vous citer une danse collée-serrée,

Mais après quoi, envie flirter : pas touche.

.

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725 – Calligramme   

 .

                       TOUT RESTE

                     La frontière, entre nous,

                        Le Monde, comme chacun sait,

                      Est notre peau, et sa représentation

                     Agit autant comme filtre qui connait.

                      Fonction des distances proxémiques,

                       Selon origine  des gens, rencontrés,

                         Étranger, plus  loin que   familier,

                           Frontière  psychique… physique.

                            La frontière, ultime, intimité,

                              Nécessite proche séduction

                              Le corps ne pourrait

                              Une âme…toucher,

                              L’intérieur recèle

                               Autre attention !

                      UNE QUESTION

                        Tout reste une question frontière,

                     Entre soi, et les autres,  et le monde :

               Les matières et les objets s’agrègent,

        Les êtres vivants restent autonomes.

    Même  en couple, et, dans  l’intimité,

 Demeurera, toujours, cette frontière,

Faisant qu’on ne pourra se mélanger

L’un et l’autre, comme des matières.

 L’extérieur reflète parfois, l’intérieur

   D’une personne, par ses expressions,

      Mais, parfois, c’est tout le contraire ;

           Rien ne filtre comme porte de prison.

                Ne rien communiquer  de l’intérieur :

   DE FRONTIÈRE   

                 À quoi l’on pense, à quoi  l’on réagit,

                      Serait tout un art qui s’apprend petit,

                        Se donnant l’air détaché …  supérieur.

                      Il n’y a que les paroles  et  les pensées

                     Qui se conjuguent, à fond, à volonté :

                  L’esprit ne saurait avoir de frontières,

             Déborde de partout, en fusion entière.

        C’est, qui sait, la principale causalité,

     Pour préférer les images,  aux réalités,

  Esprits se retrouvent après notre mort,

Nos corps ne s’unissent pas aussi  fort.

Entre intérieur  et extérieur : frontière

Le corps nous délimite franchement

À l’intérieur l’esprit, autrement

Se fait voir, miroitière,

L’âme est reflet,

Imparfait,

Aura.

.

.

Forme

Réduction

.

.

Silhouette d’un homme,

Vu de profil, qui court,

D’accord, mais vers où, 

Et vers quelle intimité !

.

Évocation 

.

725 4

.

Pour qui, derrière, devant qui,

Coures-tu, aussi pressé ainsi :

Tout est question,  de distance,

De proximité et de frontière !

  .

Symbolique 

 .

Courir est un symbole,

Pour bien montrer qu’on

Avance, vite, dans  la vie.

Mais ça peut  représenter,

Également,  une fuite,   qui

N’est pas toujours positive.

Rêver  de faire  un  footing

Pourra traduire  un besoin

De faire, un peu, de sports,

Prendre soin de son corps.

Si tu rêves  que tu veux  te

Mettre à courir, mais  que

Tu n’y arrives pas …  c’est

Le signe que tu as du mal

À avancer en ce moment

Profession-nel-lement,

Sen-timen-talement

Spirituellement.

psycho2rue.fr/dictionnaire-

des-symboles-de-reve/courir/

.

Descriptif

.

725 – Tout reste une question de frontière   

  Alignement central   / Titre  intercalé   / Thème limites

Forme anthropo /Rimes égales /Fond approché de forme

Symbole de forme : courir  /  Symbole de fond : intimité

.

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Fond

 .

Évocation

.

Changer l’illustration ici

.

Pour qui, derrière, devant qui,

Coures-tu, aussi pressé ainsi :

Tout est question,  de distance,

De l’intimité et de frontière !

 .

Symbolique

 .

L’intime n’est pas une valeur

Appartenant en propre à l’individu

Mais dépasse, les frontières du charnel

Et transcende alors les limites du corporel

Que l’on s’était fixé au départ,  par le respect

Nécessaire de la pudeur (socle indispensable à

La relation de confiance). Cet aspect de l’intime,

Prend naissance dans l’espace de la rencontre.

Il est facilité par le rapport au corps dénudé,

Il est la possibilité d’un espace de création

Où l’intime émerge dans l’entre deux

D’une relation de soins ou autre.

cairn.info/revue-gerontologie

-et-societe1-2007-3-page-211.

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Si la peau est notre frontière ultime

Je veux dire si elle est nue ou  victime

D’agressions physiques, physiologiques

Alors  toute distance  et  toute proximité,

Prendront des connotations existentielles

Tendre la main n’est pas… tendre la joue

Parler  face hygiaphone, est non direct,

Respecter frontière avec un inconnu :

Prêt à courir si l’on perçoit danger

Qu’il percute fort notre intimité.

 .

.

Joue contre joue, intimité.

.

Scénario

 .

La main est la première frontière avec l’autre, tendue ou non.

Les quatre sphères proxémiques de distance versus intimité !

Avec toi, d’accord comme ami, mais non pas comme amant !

 .

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