312 – Voyage, lutte contre éléments naturels

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Originaux : poème,  extensions, fragments

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Poème

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De lutter contre

Éléments  naturels :

Vent,  mer,  terre  et  feu,

Est toujours un jeu perpétuel.

Fut déjà le combat ardent, inégal

De nos aïeux, pour un sort infernal.

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Mais, aujourd’hui … nous disposons

De toutes sortes d’esquifs, machines

Autres que celles avant construites,

Celles que  l’on conçoit, imagine,

Afin d’affronter et de dompter,

Toutes diversités d’éléments,

En devenant… électrisées

Voire télécommandées.

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D’un frêle esquif primitif creusé en bois gélif :

Avons fait sous-marin ; de char tiré par chevaux,

Des automobiles, avec grand choix de puissances.

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Mais  alors  que dire, dans l’air, d’un aéronef,

Décollant et volant  et atterrissant, en bref :

Aucun élément  ne nous est plus étranger,

Lors le feu atomique, est à notre portée.

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Prendre la mer, reste un risque calculé,

Si l’on a bateau, solide, et bien équipé,

Et un équipage qui sait bien naviguer,

Précaution d’usage, étant à respecter.

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Accident, chutes, blessures, noyades,

Y en a toujours eu, encore, y en aura,

Question des destins ou hasards qui a

Fait que morts arrivent, par myriades.

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Le fait de voyager de naviguer, explorer

Ne cessera  amais car c’est notre liberté

De nous déplacer vers tous lieux, désirés,

Pour avec ou contre éléments, composer.

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Et il y a certains qui auront réussi à faire

Plusieurs fois  le tour de la Planète Terre,

Et sans que rien de fâcheux ne soit  arrivé

Lors chez eux en traversant  route : blessé.

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Qui veut  voyager loin, ménage sa monture,

Dit  un  proverbe : soi, son âne, ou  les deux !

Qu’importe, lors on revient,  l’on est chanceux

De pouvoir raconter péripéties qu’on a endurées.

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Extensions

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Lutte contre éléments contraires

Lors d’un voyage ou d’une exploration

Est un thème récurrent de la littérature,

Et du cinéma : d’affronter l’inconnu, serait

Se mettre à nu, et non pas tant de corps  que

De tempérament, d’acharnement à poursuivre

Jusqu’à la limite de ses forces  ou de ses idées.

N’importe qui pourra faire le tour de la Terre

En quarante-huit heures avec escale ici et là

Il y a un millénaire, cela prenait une vie ou

Presque si ça ne vous prenait pas sa vie.

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Tous les moyens sont bons pour se déplacer, ou faire un voyage.

Les uns sont simples, élémentaires ou rustiques ou rudimentaires,

D’autres sont plus complexes, sécurisés, ou dangereux, au contraire.

Partir en : vélo, moto, auto, auto, bateau, ne sera pas prendre l’avion,

Où l’on est juste un colis, à transporter  et prisonnier d’une carlingue.

L’eau, l’air, la chaleur, le froid, seront des éléments naturels, à lutter,

Quand ce n’est pas la terre ou rochers en montagne, lors d’escalade.

N’oubliez pas qu’en forêt vierge ou primaire, faut se frayer chemin

Là où il n’y en a plus ainsi que dans la neige en haut des glaciers.

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Vivre une aventure, prenant des risques

Et la vivre en un cocon en toute sécurité

N’a ni la même forme, ni le même fond,

Ce qui marque première : l’engagement

Manque à seconde : le plein d’émotions.

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N’allez pas croire que tout globe-trotter,

Est un inconscient,   un trompe-la mort :

Si tout n’est ni calculé, tout n’est anticipé

Il a cette faculté de rapidement s’adapter,

Et avec l’expérience, de bien passer à côté.

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Fragments

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Voyager demeure une aventure,

Qui se passera bien ou qui dure

Il n’est pas un déplacement pur

Qui nous laisse un souvenir sûr.

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On a beau être que cargaison,

Dans long fuselage d’un avion

Tant qu’on est à destination,

Y aura toujours un frisson.

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On pourrait faire une liste,

Des incidents de parcours,

 Émaillant  l’aller  ou retour,

Vous rendant un peu triste.

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Et pourtant, qui ne consent,

Aux opportunités  d’évasions,

Qu’il offre, malgré évènements

Entachant votre détermination.

Que ce soit à pied, en vélo, à cheval,

En voiture, en train, en bateau, avion

Ce n’est pas le moyen pour précaution

 Qui vous évitera d’arriver, bien ou mal !

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Graphiques : calligramme, forme et fond

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Calligramme

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De lutter contre

Éléments  naturels :

Vent,  mer,  terre  et  feu,

Est toujours un jeu perpétuel.

Fut déjà le combat ardent, inégal

De nos aïeux, pour un sort infernal.

Mais, aujourd’hui … nous disposons

De toutes sortes d’esquifs, machines

Autres que celles avant construites,

Celles que  l’on conçoit, imagine,

Afin d’affronter et de dompter,

Toutes diversités d’éléments,

En devenant… électrisées

Voire télécommandées.

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D’un frêle esquif primitif creusé en bois gélif :

Avons fait sous-marin ; de char tiré par chevaux,

Des automobiles, avec grand choix de puissances.

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Mais alors  que dire, dans l’air, d’un aéronef,

Décollant et volant et atterrissant, en bref :

Aucun élément  ne nous est plus étranger,

Lors le feu atomique, est à notre portée.

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Prendre la mer, reste un risque calculé,

Si l’on a bateau, solide, et bien équipé,

Et un équipage qui sait bien naviguer,

Précaution d’usage, étant à respecter.

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Accident, chutes, blessures,  noyades,

Y en a toujours eu, encore, y en aura,

Question des destins ou hasards, qui a

Fait que morts arrivent, par myriades.

.

Fait de voyager V       C naviguer, explorer

Ne cesse jamais  O       O   c’est notre liberté

De nous déplacer Y      N    vers lieux désirés,

Avec ou contre     A       T  éléments, composer.

G       R ……

Et il y a certains   E        E     qui ont réussi à faire

Plusieurs fois le    :          * tour de la Planète Terre,

Et sans que rien  L           É de fâcheux ne soit  arrivé

Lors chez eux en   U           L  traversant  route : blessé.

Qui veut  voyager    T           É    loin, ménage sa monture,

 Dit  un  proverbe :   T           M     soi, son âne ou les deux !

 Qu’importe, quand    E           E      on revient… est chanceux

De pouvoir raconter    *          N  péripéties que l’on endure.

*        T ……

N   A   T  U  R  E  L 

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Forme

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Évocation 

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Une silhouette d’homme

Qui  marche   ou  qui court

Pendant  un  bref  voyage, 

Emportant une valise avec soi.

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Voyage comporte nombre de  risques

Que l’on veut minimes :

Parfois, l’on est bloqué, parfois, détourné,

Attaqué pour sa valise. 

Un voyage, avec,  ou sans valise,

Est  toujours possible en sac à dos,

Voire sans,  à pied,  courte distance,

Si bien que la forme épousera le fond.

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Symbolique 

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Le voyage, symbole

D’évasion et changement

Depuis toujours, a fait rêver

De nombreuses personnes.

En voyage, nous faisons

Face à un réel processus

De dépaysement,

De changement,

Nous assistons à

Des paysages différents,

Des  coutumes, étrangères

Mais, parfois, ces  coutumes

Différentes des nôtres peuvent

Ne pas s’avérer si paradisiaque.

Source : etudier.com/dissertations/

Le-Voyage-Est-Il-Symbole-d’Évasion

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Fond

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Évocation 

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Tout voyage comporte nombre de risques

Que l’on veut minimes :

Parfois, l’on est bloqué, parfois, détourné,

Valise de rêves et problèmes. 

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Symbolique 

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La valise symbolise

Bien le poids du passé,

Des habitudes psychiques,

Des souvenirs enfouis et qui

Empêchent toute progression.

 

Elle immobilise un ou deux bras,

Empêchant,  par là, toute  action.

Représente attachements affectifs

Qui nous encombrent, tout comme

Us et coutumes, d’un  autre  temps.

 

Il est très fréquent d’égarer sa valise

En rêve  et  même  de s’en inquiéter,

Voire   de s’alarmer  et de dépenser

Beaucoup d’énergie à la retrouver

Bien que  cela  ne soit  pas grave

Il faudrait, seulement l’oublier.

psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/

Dictionnaire-des-reves/Valise

 

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Fond/forme 

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Les voyages, comme chacun sait,

Pour le mieux, forment la jeunesse,

Les voyages, comme chacun se plait,

Pour le moins, retardent la vieillesse !

Ils favorisent un regard  très différent,

Du lieu et quotidien de sa vie plan-plan.

On parle volontiers d’évasion : emphase.

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Nous dirons simplement une autre phase

Où l’on engrange des sensations, émotions

Qui nourriront notre mémoire, en actions,

De projections de nouvelles planifications.

Lors on a pris le virus, ça ne s’arrête plus,

On va de pays en pays et de plus en plus.

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