.
De lutter contre
Éléments naturels :
Vent, mer, terre et feu,
Est toujours un jeu perpétuel.
Fut déjà le combat ardent, inégal
De nos aïeux, pour un sort infernal.
.
Mais, aujourd’hui … nous disposons
De toutes sortes d’esquifs, machines
Autres que celles avant construites,
Celles que l’on conçoit, imagine,
Afin d’affronter et de dompter,
Toutes diversités d’éléments,
En devenant… électrisées
Voire télécommandées.
.
D’un frêle esquif primitif creusé en bois gélif :
Avons fait sous-marin ; de char tiré par chevaux,
Des automobiles, avec grand choix de puissances.
.
Mais alors que dire, dans l’air, d’un aéronef,
Décollant et volant et atterrissant, en bref :
Aucun élément ne nous est plus étranger,
Lors le feu atomique, est à notre portée.
.
Prendre la mer, reste un risque calculé,
Si l’on a bateau, solide, et bien équipé,
Et un équipage qui sait bien naviguer,
Précaution d’usage, étant à respecter.
.
Accident, chutes, blessures, noyades,
Y en a toujours eu, encore, y en aura,
Question des destins ou hasards qui a
Fait que morts arrivent, par myriades.
.
Le fait de voyager de naviguer, explorer
Ne cessera amais car c’est notre liberté
De nous déplacer vers tous lieux, désirés,
Pour avec ou contre éléments, composer.
.
Et il y a certains qui auront réussi à faire
Plusieurs fois le tour de la Planète Terre,
Et sans que rien de fâcheux ne soit arrivé
Lors chez eux en traversant route : blessé.
.
Qui veut voyager loin, ménage sa monture,
Dit un proverbe : soi, son âne, ou les deux !
Qu’importe, lors on revient, l’on est chanceux
De pouvoir raconter péripéties qu’on a endurées.
.
.
Extensions
.
Lutte contre éléments contraires
Lors d’un voyage ou d’une exploration
Est un thème récurrent de la littérature,
Et du cinéma : d’affronter l’inconnu, serait
Se mettre à nu, et non pas tant de corps que
De tempérament, d’acharnement à poursuivre
Jusqu’à la limite de ses forces ou de ses idées.
N’importe qui pourra faire le tour de la Terre
En quarante-huit heures avec escale ici et là
Il y a un millénaire, cela prenait une vie ou
Presque si ça ne vous prenait pas sa vie.
.
Tous les moyens sont bons pour se déplacer, ou faire un voyage.
Les uns sont simples, élémentaires ou rustiques ou rudimentaires,
D’autres sont plus complexes, sécurisés, ou dangereux, au contraire.
Partir en : vélo, moto, auto, auto, bateau, ne sera pas prendre l’avion,
Où l’on est juste un colis, à transporter et prisonnier d’une carlingue.
L’eau, l’air, la chaleur, le froid, seront des éléments naturels, à lutter,
Quand ce n’est pas la terre ou rochers en montagne, lors d’escalade.
N’oubliez pas qu’en forêt vierge ou primaire, faut se frayer chemin
Là où il n’y en a plus ainsi que dans la neige en haut des glaciers.
.
Vivre une aventure, prenant des risques
Et la vivre en un cocon en toute sécurité
N’a ni la même forme, ni le même fond,
Ce qui marque première : l’engagement
Manque à seconde : le plein d’émotions.
.
N’allez pas croire que tout globe-trotter,
Est un inconscient, un trompe-la mort :
Si tout n’est ni calculé, tout n’est anticipé
Il a cette faculté de rapidement s’adapter,
Et avec l’expérience, de bien passer à côté.
.
.
312 – Calligramme
.
De lutter contre
Éléments naturels :
Vent, mer, terre et feu,
Est toujours un jeu perpétuel.
Fut déjà le combat ardent, inégal
De nos aïeux, pour un sort infernal.
Mais, aujourd’hui … nous disposons
De toutes sortes d’esquifs, machines
Autres que celles avant construites,
Celles que l’on conçoit, imagine,
Afin d’affronter et de dompter,
Toutes diversités d’éléments,
En devenant… électrisées
Voire télécommandées.
.
D’un frêle esquif primitif creusé en bois gélif :
Avons fait sous-marin ; de char tiré par chevaux,
Des automobiles, avec grand choix de puissances.
.
Mais alors que dire, dans l’air, d’un aéronef,
Décollant et volant et atterrissant, en bref :
Aucun élément ne nous est plus étranger,
Lors le feu atomique, est à notre portée.
.
Prendre la mer, reste un risque calculé,
Si l’on a bateau, solide, et bien équipé,
Et un équipage qui sait bien naviguer,
Précaution d’usage, étant à respecter.
.
Accident, chutes, blessures, noyades,
Y en a toujours eu, encore, y en aura,
Question des destins ou hasards, qui a
Fait que morts arrivent, par myriades.
.
Fait de voyager V C naviguer, explorer
Ne cesse jamais O O c’est notre liberté
De nous déplacer Y N vers lieux désirés,
Avec ou contre A T éléments, composer.
G R ……
Et il y a certains E E qui ont réussi à faire
Plusieurs fois le : * tour de la Planète Terre,
Et sans que rien L É de fâcheux ne soit arrivé
Lors chez eux en U L traversant route : blessé.
Qui veut voyager T É loin, ménage sa monture,
Dit un proverbe : T M soi, son âne ou les deux !
Qu’importe, quand E E on revient… est chanceux
De pouvoir raconter * N péripéties que l’on endure.
* T ……
N A T U R E L
.
.
Forme
Réduction
.
.
Évocation
.
.
Une silhouette d’homme
Qui marche ou qui court
Pendant un bref voyage,
Emportant valise avec soi.
.
Un voyage, avec, ou sans valise,
est toujours possible en sac à dos,
voire sans, à pied, courte distance,
si bien que forme épousera le fond.
.
Tout voyage comporte nombre de risques
Que l’on veut minimes :
Parfois, l’on est bloqué, parfois, détourné,
Attaqué pour sa valise.
.
Symbolique
.
Le voyage, symbole
D’évasion et changement
Depuis toujours, a fait rêver
De nombreuses personnes.
En voyage, nous faisons
Face à un réel processus
De dépaysement,
De changement,
Nous assistons à
Des paysages différents,
Des coutumes, étrangères
Mais, parfois, ces coutumes
Différentes des nôtres peuvent
Ne pas s’avérer si paradisiaque.
Source : etudier.com/dissertations/
Le-Voyage-Est-Il-Symbole-d’Évasion
.
Descriptif
.
312 – Voyage : lutte contre éléments naturels
Alignement central / Titre absent / Thème transport
Forme anthropo / Rimes égales / Fond accordé à forme
Symbole de forme : voyage / Symbole de fond : valise
.
.
Fond
.
Évocation
.
.
Tout voyage comporte nombre de risques
Que l’on veut minimes :
Parfois, l’on est bloqué, parfois, détourné,
Valise de rêves et problèmes.
.
Symbolique
.
La valise symbolise
Bien le poids du passé,
Des habitudes psychiques,
Des souvenirs enfouis et qui
Empêchent toute progression.
.
Elle immobilise un ou deux bras,
Empêchant toute action.
Représente attachements affectifs
Qui nous encombrent,
Les us et coutumes d’un autre temps.
.
Il est très fréquent d’égarer sa valise
En rêve et de s’en inquiéter,
Voire de s’alarmer et de dépenser
Beaucoup d’énergie à la retrouver.
Bien que cela ne soit pas grave :
Il faudrait juste l’oublier !
psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/
Dictionnaire-des-reves/Valise
.
Corrélations
Fond/forme
.
Les voyages, comme chacun sait,
Pour le mieux, forment la jeunesse,
Les voyages, comme chacun se plait,
Pour le moins, retardent la vieillesse !
Ils favorisent un regard très différent,
Du lieu et quotidien de sa vie plan-plan.
On parle volontiers d’évasion : emphase.
.
Nous dirons simplement une autre phase
Où l’on engrange des sensations, émotions
Qui nourriront notre mémoire, en actions,
De projections de nouvelles planifications.
Lors on a pris le virus, ça ne s’arrête plus,
On va de pays en pays et de plus en plus.
.
.
Rien que luxe, calme, beauté
.
Scénario
.
En canoë, très tranquille, au beau milieu d’un lac.
Dans un canoë, primitif, et des plus rustiques, s’il en est.
Un canoë kayak, renversant, et même, tout à fait renversé !
.