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Et c’est à force de
De remettre cent fois
Le métier sur ouvrage
Et si ce n’est l’inverse
Comme dirait Boileau,
Qu’on finirait par perdre
Le fil premier de sa pensée,
Et digresser dans ses coulisses.
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Entre ne pas savoir et tout savoir
Il y a comme un gouffre à remplir,
Il en est de même : vouloir, pouvoir,
Tant on n’en finit jamais de dé cevoir
Et si l’école nous apprend tout et rien
C’est un commencement non, une fin.
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À force de ne jamais savoir,
À force de ne jamais pouvoir,
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Force essayer ou force de surseoir,
Force de ne jamais vraiment vouloir,
J’ai comme l’impression m’accrocher,
En rythme tant qu’en rime et sa plume
Au crochet de la poésie, dans sa…Lune
Pour voir en ma nuit, un soleil briller,
Un soleil de midi ou soleil de minuit,
Ajoutant à mon œuvre, ombre portée
Qui en le maelstrom de mes pensées
Donne un nouvel horizon au récit.
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Il me suffit alors persévérer, croire
En quelque destin étant le mien
Pour qu’un te art enfin se déclare,
En moi comme discours arlésien
Belles paroles dès lors s’envolent,
Vers des sommets pour beautés,
Mots s’enchainent : farandoles
Sans point entrave formalité
À force de vouloir l’écrire
Ce qui me traverse l’esprit,
J’espère atteindre le vôtre,
Pour partager mes soucis :
Par mes paroles, et contraires
À votre vie, si des plus ordinaires
Dès lors impropre à vous satisfaire.
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Extensions
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Il me faudra bien distinguer
Le « flot » du « flux » de pensées ;
Le flot vient en quantité et en désordre,
Tandis que le flux vient en qualité et en ordre.
Le flot s’impose à moi comme des mots à choisir
Et à gérer tandis que le flux est comme une pelote
De phrases préconstruites, que j’ai juste à dévider.
Dans ce dernier cas, je ne sais si ce sont les mots
Qui gouvernent ma pensée ou … le contraire
Mais je n’en ai que faire, je me contente
De les relier, relire, corriger, parfaire.
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Savoir ou le premier des quatre mousquetaires
Pouvoir ou les moyens de presque tout faire,
Vouloir ou l’intention de débuter et de finir
Écrire suppose bien évidement les trois
Savoir est connaitre les littératures,
Pouvoir est se mettre en posture,
Vouloir est mettre sa signature.
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SPV ou savoir, pouvoir, vouloir.
Est-ce que suis au courant du fait…
Est-ce que je peux faire quelque chose
Est-ce que j’aurai envie, intérêt à le faire
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L’information, une fois vérifiée sa source
Serait donc bien le premier déclencheur
Qu’on nie par la suite si ça tourne mal
Pouvoir est lié à sa fonction et statut
Tandis que vouloir : à sa personne !
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Je sais écrire, et je peux écrire,
Certes, comme tout le monde
Mais quel sera mon intérêt
Surtout celui des autres
En lecteurs assidus
De mon œuvre !
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1133 – Calligramme
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Et c’est à … force de
De remettre cent fois
Le métier sur ouvrage
Et si ce n’est l’inverse
Comme dirait Boileau,
Qu’on finirait par perdre
Le fil premier de sa pensée,
Et digresser dans ses coulisses.
Entre ne pas savoir et tout savoir
Il y a comme un gouffre à remplir,
Il en est de même : vouloir, pouvoir,
Tant on n’en finit jamais de dé * cevoir
Et si l’école nous apprend J tout et rien
C’est un commencement A non, une fin.
À force de ne M jamais savoir,
À force de ne A jamais pouvoir,
Force essayer I ou force de surseoir,
Force de ne S jamais vraiment vouloir,
J’ai comme * l’impression m’accrocher,
En rythme S tant qu’en rime et sa plume
Au crochet A de la poésie, dans sa … Lune
Pour voir V en ma nuit, un soleil briller,
Un soleil O de midi ou soleil de minuit,
Ajoutant I à mon œuvre, ombre portée
Qui en le R maelstrom de mes pensées
Donne un * nouvel horizon au récit.
Il me suffit V alors persévérer, croire
En quelque O destin étant le mien
Pour qu’un tel U art enfin se déclare,
En moi comme L discours arlésien
Belles paroles dès, O lors s’envolent,
Vers des sommets I pour beautés,
Mots s’enchainent R farandoles
Sans point entrave * formalité
À force de vouloir P l’écrire
Ce qui me traverse O l’esprit,
J’espère atteindre U le vôtre,
Pour partager mes V soucis :
Par mes paroles, et O contraires
À votre vie, si des I plus ordinaires
Dès lors impropre R à vous satisfaire.
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Forme
Réduction
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Évocation
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Un beau vase
Ou alors un flacon
De parfum, de savoir,
Pouvoir, d’influence, etc.
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(forme creuse, rimes égales,
le fond s’éloigne de la forme)
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Flacon de parfum a peu à voir avec
les trois thèmes du texte poétique,
malgré son grand effet d’influence
ainsi la forme se distingue du fond
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Le parfum du savoir est un parfum
Qui ne tiendra pas au corps :
Parfois il suscite influences du pouvoir,
Et du vouloir sur les autres !
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Symbolique
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La subtilité du parfum
Est insaisissable et pourtant
L’apparence est réelle symboliquement
À une présence spirituelle et à la nature de l’âme.
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La persistance du parfum d’une personne
Après le départ de celle-ci, évoque une
Idée de durée et de souvenir.
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Le parfum symbolise la mémoire
C’est en ce sens son l’utilise encore
Dans les cérémonies funéraires.
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Les parfums facilitent l’apparition
D’images et de scènes significatives
Qui suscitent et orientent à leur tour
Des émotions et des désirs,
D’un passé lointain.
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Fond
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Évocation
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Le parfum du savoir est un parfum
Qui ne tiendra pas au corps :
Parfois il suscite influences du pouvoir,
Et du vouloir sur les autres !
.
Symbolique
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De tout temps, chaque individu
Vivant en société, reçoit influences,
Provenant de son milieu de vie, sa famille
Par tendances et modes qui s’y dessinent,
Et par les autres individus avec lesquels
Il partage, quotidiennement, des règles
Et des normes établies, bien respectées.
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Le consommateur subit, volontairement
Ou non, toutes sortes de pressions sociales.
Ces pressions le mèneront souvent à modifier
Son comportement, habitudes de consommation,
Et, parfois même, ses croyances, dans le but d’être
Socialement accepté, reconnu par majorité de gens.
Source : joiedevie.forumpro.fr/t15923-symbolique-des-parfums
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Corrélations
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Fond/forme
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Drôle de fonction que celui d’influenceur,
Et qu’on paie cher pour affirmer tendance
Voire la susciter, comme autoréalisatrice
Que ce soit en commerce ou en politique
Lors, à vrai dire, tout le monde influence
D’une manière ou d’une autre, par choix
Puis le rationalisant, mais a posteriori.
Sur les conseils de … j’ai décidé de….
Ne se fiant qu’aux recommandations.
Manque de temps, confiance, risque !
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Ni savoir, ni vouloir, ni pouvoir !
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Scénario
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À force de ne jamais savoir,
À force de ne jamais … pouvoir
À force de ne jamais … vouloir
Qu’écrire nous mènera quelque part !
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