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Des choses pouvant nous faire
Du bien tout comme de se marier,
Peut faire du mal comme de divorcer.
Le bien et le mal, sont autant de valeurs
Tout à fait relatives et voire, subjectives !
Personne ne détient sa mesure, ni sa vérité.
Et l’on prône parfois, un mal pour un bien !
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Tant, s’il n’y avait pas le mal, il n’y aurait pas,
Non plus de bien, bien que ce soit antinomique.
Le chemin du paradis est le même que pour enfer.
Il est en sens inverse, et, sur vous, haine, il déverse,
Et dès lors, vous aurez beau dire ou aurez beau faire
Rien ne vous serait épargné, en été comme en hiver,
Quand il pleuvra des maux tombant à seaux à verse.
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L’amour ferait des ravages,
Coup de canif, ou de bambou,
Vous poussant à aller au bout
Révision contrat de mariage,
Tant votre blessure, profonde,
Et aura provoqué la déchirure
D’un état naturel, grâce pure,
En d’autres mauvaises ondes.
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La douleur et la souffrance se mêlent au désespoir
De ne plus entrevoir : l’avenir, bonheur, assurance,
Remplacé à nouveau par une profonde incertitude
De retrouver, un jour, en quelqu’un, la confiance,
Que tourments tristesse du désamour empêchent
De refixer en foyer, accroché comme une idée fixe,
Où la folie et ou frénésie ne seront plus prolixes.
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Avec le temps, souci mélancolique,
Desserrera son étreinte, résilience,
Reprendra goût à vie sympathique
Qu’émotion réserve et en nuances,
Lors plus serein, hors dépendance,
.
On se met à courir après la chance,
Qui ne sera autre qu’une croyance,
Qui vous aide par la bienveillance,
S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,
Pour se sauver, pour se retrouver,
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À condition de ne plus se reperdre
En lui, ni lui, en vous, en tous cas,
Sinon cela aura été fait, et en vain,
Si l’autre s’en ira, lui direz merde,
Pardon, en paradis… antichambre
.
De l’enfer vous glisserez et êtes
À terre ou, atterrés, d’avoir
Été autant aveuglés.
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Extensions
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Le chemin du paradis
Est le même que pour l’enfer,
Mais fait en sens inverse, tombant
Ainsi, de pas en pas, jusqu’au plus bas.
Stress, angoisse, dépression en sont étapes.
On ne s’en sort jamais seul, qu’avec l’appui
Des autres, si l’on est à même de vouloir
Prendre la main qu’il nous tend pour
Nous aider à nous relever, marcher,
Nous aider non vivre à notre place
Afin de sortir de l’enfer sournois
Où l’on vit pour le Paradis
Qu’on espère par ce que
On l’appellera déjà la
«Porte de l’espoir ».
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Le paradis et l’enfer se croisent, à chaque carrefour
Chacun peut se tromper de route, allez y faire un tour.
Dans aucun des deux, personne n’en reviendra indemne,
Tant le bien et le mal se confondent en un brouillard moral
Qui nous a fait créer les deux pour les distinguer en autre vie.
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L’enfer est pavé de bonnes intentions :
Est à dire que le ciel est de mauvaises !
Je en sais que penser de ces affirmations.
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De même : qui veut faire l’ange, fait la bête :
Faut-il alors «faire le bête» pour être un ange.
Je sais, c’est jouer sur les mots : quand même !
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On pourrait lui donner le bon dieu sans confession
Cela n’engage pas à faire confiance aux apparences
Le diable se cacherait sous le manteau d’un bon dieu.
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Le bien le mal, qu’est-ce que c’est, comment distinguer
Si nous en sommes les seuls juges, c’est pas très normal,
Comment savoir ce qui est amoral de ce qui est immoral.
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Le chemin de l’égoïsme et du cynisme, est visible, balisé,
Celui de la générosité et de la vertu est bien plus hypocrite
Distribue quelques miettes aux pauvres pour être apprécié.
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1112 – Calligramme
* C
Des choses pouvant nous H faire
Du bien tout comme de se E marier,
Peut faire du mal comme M de divorcer.
Le bien et le mal, sont au I tant de valeurs
Tout à fait relatives et N voire, subjectives !
Personne ne détient * sa mesure, ni sa vérité.
Et l’on prône par D fois, un mal pour un bien !
U ………………………
Tant, s’il n’y * avait pas le mal, il n’y aurait pas,
Non plus de bien, P bien que ce soit antinomique.
Le chemin du paradis est A le même que pour enfer.
Il est en sens inverse, et, sur R vous, haine, il déverse,
Et dès lors, vous aurez beau dire A ou aurez beau faire
Rien ne vous serait épargné en été D comme en hiver,
Quand il pleuvra des maux tombant I à seaux à verse.
S
L’amour ferait des ravages,
Coup de canif, ou de bambou,
Vous poussant à aller au bout
Révision contrat de mariage,
Tant votre blessure, profonde,
Et aura provoqué la déchirure
D’un état naturel, grâce pure,
En d’autres mauvaises ondes.
.
La douleur et la E souffrance se mêlent Q au désespoir
De ne plus entre S voir avenir, bonheur U assurance,
Remplacé à nou T veau par une profonde ‘ incertitude
De retrouver un * jour, en quelqu’un, la E confiance,
Que tourments M tristesse du désamour N empêchent
De refixer en foy Ê er accroché comme une F idée fixe,
Où la folie et ou M frénésie ne seront plus E prolixes.
E R
Avec le temps, souci mélancolique,
Desserrera son étreinte, résilience,
Reprendra goût à vie sympathique
Qu’émotion réserve et en nuances,
Lors plus serein, hors dépendance,
.
On se met à courir après la chance,
Qui ne sera autre qu’une croyance,
Qui vous aide par la bienveillance,
S’appuyer sur quelqu’un, nouveau,
Pour se sauver, pour se retrouver,
.
À condition de ne plus se reperdre
En lui, ni lui, en vous, en tous cas,
Sinon cela aura été fait, et en vain,
Si l’autre s’en ira, lui direz merde,
Pardon, en paradis… antichambre
.
De l’enfer vous glisserez et êtes
À terre ou, atterrés, d’avoir
Été autant aveuglés.
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Forme
Réduction
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Évocation
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Ça ressemble assez fort
À un jeu pour atteindre ciel
Un jeu appelé : la Marelle
Joué à cloche-pied avec palet.
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(forme stylisée, rimes égales,
le fond s’approche de forme)
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Qui n’aura pas connu et pratiqué,
Jeu de La Marelle, étant enfant :
Un chemin assez rude, à cloche pied,
Poussant le palet de terre vers le ciel.
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Symbolique
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La marelle est un jeu ancestral
D’initiation à la connaissance de soi
Dont sont issus le jeu du labyrinthe,
La pétanque et le jeu de l’oie.
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Plupart des jeux pour enfants
Et des jeux de société étaient,
À l’origine, divinatoires, initiatiques.
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Dans un monde moderne où la raison,
La logique et plus encore science exacte
Font force de loi, ces principes
Jeux divinatoires et initiatiques
Ont été relégués aux … oubliettes,
Dans un passé, dont nous pensons
Que l’obscurantisme et superstitions
Régnaient en maîtres dans les mentalités.
Source : minuit.forum-actif.net/t1010-la-marelle
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Fond
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Évocation
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Qui n’aura pas connu et pratiqué,
Jeu de La Marelle, étant enfant :
Un chemin assez rude, à cloche pied,
Poussant un palet de terre vers le ciel.
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Symbolique
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Le ciel est symbole
Des puissances supérieures à l’homme,
Bienveillantes ou redoutables, l’insondable immensité,
La sphère de rythmes universels, celle des grands luminaires,
Le gardien des secrets de la destinée. Séjour des divinités,
De toute puissance divine et des bienheureux ?
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Bouddhisme, Islam, chrétienté distinguent
Sept cieux : autant d’états spirituels gravis
Les langues modernes distingueront le ciel
Religieux du ciel atmosphérique qui pour
Les Gaulois est voûte d’où leur crainte
Qu’elle ne leur tombe sur la tête.
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Corrélations
Fond/forme
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Le chemin d’un paradis
Serait le même que l’enfer
Mais, en miroir, l’envers,
Si on croit ce qu’on nous dit.
Mais pour le savoir : allez-y !
Et surtout revenez-y, mais vite,
Pour dire ce que vous avez-vu,
Entendu, senti, pour qu’enfin
L’on sache à quoi s’attendre !
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Chemin paradis et enfer ?
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Scénario
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Si c’est bien, par-là, le paradis, y a qu’à y aller comme indiqué,
au risque d’emprunter la route comme pour un véritable enfer,
de terminer seul, à pied, sur des rails qui ne mènent nulle part.
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