1134 – Lointain Cosmos, qu’en savons-nous au juste !

Visuels et textuels

De notre

Planète Terre : qu’en savons-nous

Qu’elle est …  ronde, qu’elle est … unique.

Plus on s’éloigne d’elle, moins l’on en sait

Et pourtant … toutes les traces seront là,

De son long passé et qui nous parle.

.

Le Cosmos est si disproportionné

Par rapport  à  petite Humanité,

Qu’on a du mal à se représenter

Ce qu’on y fait, pourquoi existe.

.

Si, ne sommes astrophysiciens,

Nous n’en savons presque rien

Planètes,  étoiles,  vide sidéral :

Rien là d’étrange,  ni d’anormal.

.

Lors, derrière ses secrets, y en a

Combien d’autres, jusqu’à l’infini

Il ne suffit pas de regarder le ciel,

Pour le comprendre  trop facile :

Lors derrière ses secrets, il y en a

Combien d’autres jusqu’à l’infini.

.

L’Univers est courbe, il se diffuse,

Nous dit Einstein, depuis Big Bang,

Instant suprême  du commencement,

Qu’y avait-il avant cela nul ne le sait !

.

Très au-delà de notre Galaxie Terrestre,

Des milliers  d’autres, se donnent  à voir,

En spirales, en couronnes, ou en noyaux,

Elles sont toutes de vrais, de purs joyaux.

.

Des millions d’étoiles ont déjà  disparues,

Quand nous en percevons leurs lumières

Et il en sera de même du soleil un jour

Tout disparaît, renait dans un  four.

.

Le  Cosmos : chaudron   magique,

Demeure   bien   énigmatique

Aux  humains, éberlués,

Par tant de beauté !

.

.

 Extensions

 .

Nous sommes un grain de sable en Univers

Incommensurable  et plus  nos instruments

Nous  permettent  de voir loin, et  plus  nous

Prenons  conscience   d’expansion,  infinitude.

A la question, d’où vient l’univers, où s’agrandit-il

N’avons que réponses parcellaires, insatisfaisantes.

Y a des étoiles qui naissent, d’autres qui meurent ;

L’Univers n’est pas qu’en expansion, vers l’intérieur,

Il  est  autant  en  transformation  de  l’intérieur   et

La découverte de l’existence réelle des «trous noirs»

Sortes  d’aspirateur  de densification  de la matière,

Y compris de la lumière, est là pour nous le prouver.

Quand l’humanité, la vie, la planète Terre elle-même,

Notre Galaxie aura disparu, que restera-t-il de la vie

À moins qu’elle ne se transporte ailleurs, mais ce ne

Peut être qu’une possibilité à laquelle, aujourd’hui,

Il n’est pas possible d’adhérer, ni même  d’espérer.

Nous sommes livrés à nous-même : point c’est tout

La mort guette notre planète tout autant que nous

Ce d’autant …sommes responsables de son avenir.

.

Plus nous approchons des confins du Cosmos

À travers  les télescopes, satellites, et sondes,

Plus celui-ci s’éloigne vers l’infini de son vide

On ne sait d’ailleurs pas en certitude absolue

«Ni le pourquoi du Big bang ni le comment »

Il paraitrait qu’il aurait d’autres dimensions

D’autres énergies, matières, ondes, formes !

C’est dire que nous en savons peu de choses.

.

La cosmologie est la science des lois générales,

 Par lesquelles l’Univers est structuré, gouverné.

L’univers est rempli de trois formes de matières :

Matière ordinaire (atomes, molécules, électrons),

Pour environ 5 % de la composition de l’univers ;

Matière noire (ou matière sombre), composée de

Particules massives étant non détectées à ce jour,

Entrant à environ 25 % de la composition totale ;

Énergie noire, entrant à 70 % dans la composition

Contenu matériel de l’Univers : étant mal connue.

Ce qui donne, pour nous, de grands étonnements

Mais qui s’amplifient encore par ses dimensions

On estime à 10 millions, nombre de superamas

Situés dans l’Univers observable on estime à :

10 millions, le nombre total  des  superamas

25 milliards le nombre d’amas de galaxies ;

350 milliards nombre galaxies massives ;

30 000 milliards de milliards (3×1022)

En résumé d’un partie d’article dans Wikipédia.

.

.

134 – Calligramme

.

De  notre

Planète Terre :   Q   qu’en savons-nous

Qu’elle est …  ronde,   U     qu’elle est … unique.

Que plus on s’éloigne d’   E   elle, et moins on en sait

Et pourtant … toutes    *     les traces seront là,

De son long passé      S    et qui nous parle.

Le Cosmos est si       A    disproportionné

Par rapport  à  pe    V    tite Humanité,

Qu’on a du mal à    O    se représenter

Ce qu’on y fait,       N     ce qui existe

Si, ne sommes ast  S     rophysiciens,

Nous n’en savons   *      presque rien

Planètes,  étoiles,   N    vide sidéral :

Rien là d’étrange,   O   ni d’anormal :

Lors, derrière ses   U    secrets, y en a

Combien d’autres,     jusqu’à l’infini

Il ne suffit pas de       *    regarder le ciel,

Pour le comprendre          L      trop facile :

Lors derrière ses secrets,       O           il y en a

Combien d’autres jusqu’à        I             l’infini.

L’Univers est courbe,          N            il se diffuse,

Nous dit Einstein,          T           depuis Big Bang,

Instant suprême            A        du commencement,

Qu’y avait-il avant           I           cela nul ne le sait !

Très au-delà de notre        N        Galaxie Terrestre,

Des milliers d’autres,           *      se donnent à voir,

En spirales, en couronnes,     C        ou en noyaux,

Elles sont toutes de vrais, de    O      purs joyaux.

Des millions d’étoiles ont déjà    S     disparues,

Quand nous en percevons leurs  M   lumières

Et il en sera de même du soleil   O un jour

Tout disparaît, renait dans un   S  four.

Le  Cosmos : chaudron   magique,

Demeure   bien   énigmatique

Aux  humains, éberlués,

Par tant de beauté !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation

.

1134 4

.

Un beau  vase

Et pourquoi pas

Tout  autre  chose,

Autre dimension !

.

(C : forme creuse, # = rimes mixtes

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

.

Symbolique    

 .

La  pensée  symbolique

Met en œuvre symboles,

C’est-à-dire : des   images

Des allégories,   paraboles,

Métaphores,  dans des mots.

 .

Même les symboles graphiques,

Visuels, quand ils ne sont abstraits

Une forme géométrique, un paysage

Ne sont symboles qu’en tant que mots

 .

Car la conscience humaine reste une

Lecture mentale, elle est langage,

Interprète les mots autrement

Que selon le schéma binaire

Faisant correspondre signifié

À un signifiant réduisant symbole

À n’être qu’un signe, un attribut

Balance symbole de la justice

En une autre dimension

toiles-et-poemes.com/pdf/

trois-dimensions-symbole.

.

.

Fond

 

Évocation

.

1134 6

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

 

Symbolique   

L’ombre est une partie

De la psyché formée

De la part individuelle

Qui ne se connaît pas elle-même,

Et dont l’existence même est souvent ignorée.

 

Figurée dans de nombreuses cultures

Et mythes sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais néanmoins

Ayant statut de double du héros,

Représentant le moi, l’ombre

Se retrouve également dans

Les rêves, et dans les projections

Corrélations

Fond/forme 

 

Le cosmos n’a pas de dimension

Dès lors qu’on le considère infini,

Majeure partie reste dans l’ombre

Inaccessible à notre connaissance

Or il demeure le symbole du Tout,

Et nous ne sommes que poussière,

Et bien que nous soyons une perle

Rien n’empêche qu’il nous ignore

S’ignorant peut-être lui-même,

Ce qui nous parait  absurde :

Cosmos devient corps-mort.

 

Scénario

 

Lointain cosmos pour ne pas dire ……… incommensurable,

tant au télescope je n’atteins pas la frontière de Galaxie Solaire,

et à vouloir y aller, laissons faire sondes spatiales plutôt que nous.

.

.

Visuels et textuels

.

.

Forme

Réduction

.

1134 0

.

Évocation

.

1134 4

.

Un beau  vase

Et pourquoi pas

Tout  autre  chose,

Autre dimension !

.

(C : forme creuse, # = rimes mixtes

Z : le fond s’accorde ici à la forme)

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

.

Symbolique    

 .

La  pensée  symbolique

Met en œuvre symboles,

C’est-à-dire : des   images

Des allégories,   paraboles,

Métaphores,  dans des mots.

 .

Même les symboles graphiques,

Visuels, quand ils ne sont abstraits

Une forme géométrique, un paysage

Ne sont symboles qu’en tant que mots

 .

Car la conscience humaine reste une

Lecture mentale, elle est langage,

Interprète les mots autrement

Que selon le schéma binaire

Faisant correspondre signifié

À un signifiant réduisant symbole

À n’être qu’un signe, un attribut

Balance symbole de la justice

En une autre dimension

toiles-et-poemes.com/pdf/

trois-dimensions-symbole.

.

.

Fond

 

Évocation

.

1134 6

.

On peut représenter le cosmos

En toutes dimensions possibles

Il  en resterait, toujours, quelques

Zones d’ombres et des trous noirs.

 .

Symbolique   

.

L’ombre est une partie

De la psyché formée

De la part individuelle

Qui ne se connaît pas elle-même,

Et dont l’existence même est souvent ignorée.

 

Figurée dans de nombreuses cultures

Et mythes sous la forme du personnage

Maléfique, patibulaire mais néanmoins

Ayant statut de double du héros,

Représentant le moi, l’ombre

Se retrouve également dans

Les rêves, et dans les projections

Corrélations

Fond/forme 

 

Le cosmos n’a pas de dimension

Dès lors qu’on le considère infini,

Majeure partie reste dans l’ombre

Inaccessible à notre connaissance

Or il demeure le symbole du Tout,

Et nous ne sommes que poussière,

Et bien que nous soyons une perle

Rien n’empêche qu’il nous ignore

S’ignorant peut-être lui-même,

Ce qui nous parait  absurde :

Cosmos devient corps-mort.

 

Scénario

 

Lointain cosmos pour ne pas dire ……… incommensurable,

tant au télescope je n’atteins pas la frontière de Galaxie Solaire,

et à vouloir y aller, laissons faire sondes spatiales plutôt que nous.

.

Visuels scénarios

.

1134 1

Lointain cosmos pour ne pas

dire ……… incommensurable,

.

1134 2

tant au télescope je n’atteins pas

la frontière de la Galaxie Solaire,

.

 1134 3

et à vouloir y aller, laissons faire

les sondes spatiales plutôt que nous !

.

Textuel calligramme

.

De notre planète Terre, qu’en savons-nous : qu’elle est ronde, qu’elle est unique. Plus on s’éloigne d’elle, et moins on en sait et pourtant les traces sont là d’un long passé qui nous parle. Le Cosmos est si disproportionné par rapport à notre petite Humanité qu’on a bien du mal à se représenter ce qu’on y fait, et pourquoi il existe !

Si nous ne sommes astrophysiciens, nous n’en saurons presque rien, planètes, étoiles, et vide sidéral : rien là d’étrange, ni d’anormal ! Il ne suffit pas de regarder le ciel pour le comprendre : trop facile, lors derrière ses secrets, il y en a combien d’autres jusqu’à l’infini. L’Univers est courbe, il se diffuse, nous dit Einstein, depuis Big Bang, instant suprême, du commencement, qu’y avait-il avant, ça, nul ne le sait ! Très au-delà de notre galaxie terrestre, des milliers d’autres, se donnent à voir, en spirales, en couronnes ou en noyaux, elles sont toutes de vrais, de purs joyaux. Des millions d’étoiles ont déjà  disparues quand nous en percevons leurs lumières et il en sera de même du soleil un jour tout disparaît et renait dans un four. Le Cosmos, chaudron magique demeure bien énigmatique aux humains éberlués par tant de beauté !

Textuel extension

.

+  Nous sommes un grain de sable en Univers incommensurable et plus nos instruments nous permettent de voir loin, plus nous prenons conscience de son expansion et de son infinitude. A la question, d’où vient l’univers et dans quoi s’agrandit-il , nous n’avons que des réponses parcellaires, insatisfaisantes. De plus, il y a des étoiles qui naissent et d’autres qui meurent ; l’Univers n’est pas qu’en expansion, vers l’intérieur, il est autant en transformation de l’intérieur et la découverte de l’existence réelle des « trous noirs, sortes d’aspirateur de densification de la matière, y compris de la lumière, est là pour nous le prouver. Quand l’humanité, la vie, la planète Terre elle-même, notre Galaxie aura disparu, que restera-t-il de la vie, à moins qu’elle ne se transporte ailleurs mais ce ne peut être qu’une possibilité à laquelle, aujourd’hui, il n’est pas possible d’adhérer, ni même d’espérer. Nous sommes livrés à nous-même, un point c’est tout et la mort guette notre planète tout autant que nous et ce d’autant que nous sommes responsables de son avenir.

& Plus nous approchons des confins du Cosmos à travers les télescopes, satellites, et sondes, pus celui-ci s’éloigne vers l’infini de son vide. On ne sait d’ailleurs pas, en certitude absolue, «Ni le pourquoi du Big bang ni le comment ?» Il paraîtrait qu’il aurait d’autres dimensions, d’autres énergies, matières, ondes, formes ! C’est dire que nous en savons peu de choses.

# La pensée symbolique met en œuvre des symboles, c’est-à-dire des images (allégories, paraboles, métaphores), donc des mots : même les symboles graphiques, visuels, abstraits (une forme géométrique, un paysage) ne sont symboles qu’en tant que mots, car la conscience humaine est une lecture mentale, elle est langage. Elle interprète les mots autrement que selon le schéma binaire qui fait correspondre un signifié à un signifiant réduisant le symbole à n’être qu’un signe, un attribut. (balance symbole de la justice)  toiles-et-poemes.com/pdf/trois-dimensions-symbole.

+  Nous sommes un grain de sable en Univers incommensurable et plus nos instruments nous permettent de voir loin, plus nous prenons conscience de son expansion et de son infinitude. A la question, d’où vient l’univers et dans quoi s’agrandit-il , nous n’avons que des réponses parcellaires, insatisfaisantes. De plus, il y a des étoiles qui naissent et d’autres qui meurent …


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