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Originaux : poème, extensions, fragments
Poème
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De notre
Planète Terre : qu’en savons-nous
Qu’elle est … ronde, qu’elle est … unique.
Plus on s’éloigne d’elle, moins l’on en sait
Et pourtant … toutes les traces seront là,
De son long passé et qui nous parle.
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Le Cosmos est si disproportionné
Par rapport à petite Humanité,
Qu’on a du mal à se représenter
Ce qu’on y fait, pourquoi existe.
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Si, ne sommes astrophysiciens,
Nous n’en savons presque rien
Planètes, étoiles, vide sidéral :
Rien là d’étrange, ni d’anormal.
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Lors, derrière ses secrets, y en a
Combien d’autres, jusqu’à l’infini
Il ne suffit pas de regarder le ciel,
Pour le comprendre trop facile :
Lors derrière ses secrets, il y en a
Combien d’autres jusqu’à l’infini.
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L’Univers est courbe, il se diffuse,
Nous dit Einstein, depuis Big Bang,
Instant suprême du commencement,
Qu’y avait-il avant cela nul ne le sait !
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Très au-delà de notre Galaxie Terrestre,
Des milliers d’autres, se donnent à voir,
En spirales, en couronnes, ou en noyaux,
Elles sont toutes de vrais, de purs joyaux.
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Des millions d’étoiles ont déjà disparues,
Quand nous en percevons leurs lumières
Et il en sera de même du soleil un jour
Tout disparaît, renait dans un four.
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Le Cosmos : chaudron magique,
Demeure bien énigmatique
Aux humains, éberlués,
Par tant de beauté !
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Extensions
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Nous sommes un grain de sable en Univers
Incommensurable et plus nos instruments
Nous permettent de voir loin, et plus nous
Prenons conscience d’expansion, infinitude.
A la question, d’où vient l’univers, où s’agrandit-il
N’avons que réponses parcellaires, insatisfaisantes.
Y a des étoiles qui naissent, d’autres qui meurent ;
L’Univers n’est pas qu’en expansion, vers l’intérieur,
Il est autant en transformation de l’intérieur et
La découverte de l’existence réelle des «trous noirs»
Sortes d’aspirateur de densification de la matière,
Y compris de la lumière, est là pour nous le prouver.
Quand l’humanité, la vie, la planète Terre elle-même,
Notre Galaxie aura disparu, que restera-t-il de la vie
À moins qu’elle ne se transporte ailleurs, mais ce ne
Peut être qu’une possibilité à laquelle, aujourd’hui,
Il n’est pas possible d’adhérer, ni même d’espérer.
Nous sommes livrés à nous-même : point c’est tout
La mort guette notre planète tout autant que nous
Ce d’autant …sommes responsables de son avenir.
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Plus nous approchons des confins du Cosmos
À travers les télescopes, satellites, et sondes,
Plus celui-ci s’éloigne vers l’infini de son vide
On ne sait d’ailleurs pas en certitude absolue
«Ni le pourquoi du Big bang ni le comment »
Il paraitrait qu’il aurait d’autres dimensions
D’autres énergies, matières, ondes, formes !
C’est dire que nous en savons peu de choses.
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La cosmologie est la science des lois générales,
Par lesquelles l’Univers est structuré, gouverné.
L’univers est rempli de trois formes de matières :
Matière ordinaire (atomes, molécules, électrons),
Pour environ 5 % de la composition de l’univers ;
Matière noire (ou matière sombre), composée de
Particules massives étant non détectées à ce jour,
Entrant à environ 25 % de la composition totale ;
Énergie noire, entrant à 70 % dans la composition
Contenu matériel de l’Univers : étant mal connue.
Ce qui donne, pour nous, de grands étonnements
Mais qui s’amplifient encore par ses dimensions
On estime à 10 millions, nombre de superamas
Situés dans l’Univers observable on estime à :
10 millions, le nombre total des superamas
25 milliards le nombre d’amas de galaxies ;
350 milliards nombre galaxies massives ;
30 000 milliards de milliards (3×1022)
En résumé d’un partie d’article dans Wikipédia.
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Fragments
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Du lointain Cosmos … qu’en savons-nous ?
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Nous en savons peut-être plus que sur nous,
Quant à lui, on ne sait ce qu’il sait sur nous.
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C’est le monde à l’envers selon les apparences
Mais qui sait s’il ne faudrait pas aller chercher
Au fond de l’Univers, réponse à cette question !
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Le Cosmos est expansion en lui-même en l’infini,
Sans compter qu’il aurait des dimensions cachées,
Ce qui ferait d’astronomiques questions à résoudre
En dépit de gros moyens utilisés par grands esprits.
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Plus on creuse, plus on modélise, plus on s’éloigne,
Plus de questions se posent sur une compréhension,
De l’ensemble et des parties et leurs fonctionnements,
Le Cosmos nous échappe derrière le fameux Bib Bang,
Qui l’a voulu, l’a produit, dirige, lui donne tout son sens.
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On représente le Cosmos en toutes dimensions possibles
Il en restera bien des zones d’ombres en des trous noirs,
Si le cosmos n’aurait de dimension qu’on puisse prouver,
Si on le considère infini, majeure partie reste en l’ombre,
Et donc inaccessible à notre connaissance en l’état actuel
Or il demeure le symbole du Tout, sans qui rien ne tient !
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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De notre
Planète Terre : Q qu’en savons-nous
Qu’elle est … ronde, U qu’elle est … unique.
Que plus on s’éloigne d’ E elle, et moins on en sait
Et pourtant … toutes * les traces seront là,
De son long passé S et qui nous parle.
Le Cosmos est si A disproportionné
Par rapport à pe V tite Humanité,
Qu’on a du mal à O se représenter
Ce qu’on y fait, N ce qui existe
Si, ne sommes ast S rophysiciens,
Nous n’en savons * presque rien
Planètes, étoiles, N vide sidéral :
Rien là d’étrange, O ni d’anormal :
Lors, derrière ses U secrets, y en a
Combien d’autres, S jusqu’à l’infini
Il ne suffit pas de * regarder le ciel,
Pour le comprendre L trop facile :
Lors derrière ses secrets, O il y en a
Combien d’autres jusqu’à I l’infini.
L’Univers est courbe, N il se diffuse,
Nous dit Einstein, T depuis Big Bang,
Instant suprême A du commencement,
Qu’y avait-il avant I cela nul ne le sait !
Très au-delà de notre N Galaxie Terrestre,
Des milliers d’autres, * se donnent à voir,
En spirales, en couronnes, C ou en noyaux,
Elles sont toutes de vrais, de O purs joyaux.
Des millions d’étoiles ont déjà S disparues,
Quand nous en percevons leurs M lumières
Et il en sera de même du soleil O un jour
Tout disparaît, renait dans un S four.
Le Cosmos : chaudron magique,
Demeure bien énigmatique
Aux humains, éberlués,
Par tant de beauté !
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Forme
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Évocation
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Un beau vase
Et pourquoi pas
Tout autre chose,
Autre dimension !
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On peut représenter le cosmos
En toutes dimensions possibles
Il en resterait, toujours, quelques
Pensées symboliques, trous noirs.
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Symbolique
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La pensée symbolique mettrait en œuvre des
Symboles, c’est-à-dire : des images
Des allégories, paraboles,
Métaphores, dans des mots.
Même les symboles graphiques,
Visuels, quand ils ne sont abstraits
Une forme géométrique, un paysage
Ne sont symboles qu’en tant que mots
Car la conscience humaine reste une
Lecture mentale, langage, interprète
Les mots bien autrement que schéma
Binaire en faisant bien correspondre
Signifié à un signifiant réduisant
Symbole à n’être qu’un signe,
Attribut. Balance symbole
De la justice en une autre
Dimension
toiles-et-poemes.com/pdf/
trois-dimensions-symbole.
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Fond
Évocation
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On peut représenter le cosmos
En toutes dimensions possibles
Il en resterait, toujours, quelques
Zones d’ombres et des trous noirs.
Symbolique
L’ombre est partie
De la psy ché formée
De la part individuelle
Ne se connaîs sant elle-même
Dont l’existence même est ignorée.
Figurée dans de nombreuses cultures
Et mythes sous la forme du personnage
Maléfique, patibu laire mais néanmoins
Ayant statut de double du héros,
Représentant le moi, l’ombre
Se retrouve également dans
Les rêves, et les projections.
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Fond/forme
Le cosmos n’a pas de dimension
Dès lors qu’on le considère infini,
Majeure partie reste dans l’ombre
Inaccessible à notre connaissance
Or il demeure le symbole du Tout,
Et nous ne sommes que poussière,
Et bien que nous soyons une perle
Rien n’empêche qu’il nous ignore
S’ignorant peut-être lui-même,
Ce qui nous parait absurde :
Cosmos devient corps-mort.
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Visuels scénarios
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Lointain cosmos pour ne pas
dire ……… incommensurable,
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tant au télescope je n’atteins pas
la frontière de la Galaxie Solaire,
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et à vouloir y aller, laissons faire
les sondes spatiales plutôt que nous !
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