1121 – Nous aurions acquis un sacré sens du sacré !

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Sacré n’est seulement pensées

Il est  aussi en actes  pratiques,

Utilisant nombre de rituels

Comme en exorcise de sa foi.

.

En lui à laquelle ne pas déroger

Et cela, depuis la nuit des temps,

Il n’y a qu’à voir nos enterrements

Avec  pour cérémonial  inhumation :

Les bougies et les hosties, les homélies,

Les lumières et les prières et bréviaires,

Sous une forme et voire sous bien d’autres

Faisant de nous, du sens sacré, bons apôtres

 .

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

.

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Extensions

 .

Pas de vrai prophète pour sauver notre Monde

Ni annoncer la fin des temps, ni la délivrance

De l’Humanité, du fardeau, qui est le sien

Pour l’accueillir en une Terre promise,

Racheter son âme égarée, la ressusciter.

 .

On croirait synthèse religions monothéistes.

Je ne suis pas prêt à renoncer à liberté de penser,

De rêver, d’imaginer, ni de créer qui me sont sacrées.

 .

Voilà bien deux croyances, qui te tiendront éveillé mais

Ne donne pas un sens à ta vie, t’aident à la supporter.

 .

Le sacré est un sentiment qui fascine et terrifie,

Quelque chose de surnaturel mais qui ne se

Manifeste pas dans notre vie… réelle !

 .

Serait sacré  tout ce qui se donne

Pour tel  aux yeux  d’un croyant,

Qui pense être dans le vrai mais

Cherche à l’imposer aux autres.

.

Notre sens du sacré nous viendrait de ce rite, établi

Pour enterrer nos morts, que les animaux n’ont pas.

Naissance, mariage, enterrement en sont les témoins

Et ce quel que soit la religion et même chez les athées.

Il s’agit de quelque chose d’humain qui se projette divin

Sens sacré, suite à cela, aura pris  deux voies divergentes,

En relation avec Dieu et avec ce à quoi nul ne peut toucher,

Ainsi on parle de sanctuaire, à propos de la défense de l’État,

Comme si c’était un dieu qui gardait le trésor royal inviolable.

.

Tout d’abord, qu’est-ce que la sacré :

Qui appartient au domaine séparé,

 Intangible, inviolable du religieux

Doit inspirer crainte et respect

Lors on l’opposera à profane

En désignant toute réalité

N’étant pas  consacrée ;

Personne non initiée,

Et voire ignorante.

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1121 – Calligramme

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Sacré n’est    A  seulement S     pensées

Il est  aussi  V  en actes     E  pratiques,

Utilisant    O      nombre   N   de rituels

Comme     N   en exorcise  S     de sa foi.

En lui à     S      laquelle ne  *  pas déroger

Et cela        *      depuis nuit  D   des temps,

Y a qu’à       A     voir nos en    U   terrements

Avec  pour     C      cérémonial    *   inhumation

Les bougies,    Q    et les hosties   S   les homélies,

Les lumières      U   et les prières   A   et bréviaires,

Sous une forme   I     et voire sous  C   bien d’autres

Faisant de nous,   S   du sens sacré, R   bons apôtres

                                     É

Pour survivre  dans ce Monde  ou  pour  y perdurer,

Vide,  néant,  inutilité,  ne pourraient   nous aider :

Il nous faut : but, finalité en laquelle nous croyons

Œuvrons : en somme, cela définira notre religion.

.

Je vous arrête de suite car, un athée, incroyant,

Ni aucun agnostique n’aura pas de de religion :

Il ne croit pas en un dieu : rien qu’en lui-même,

Et trouve insensé toutes finalités téléologiques !

.

Lors impossible de résoudre problème insoluble :

De manière subtile on se contente de le déplacer.

Et idoles de païens sont devenues dieu unique,

Qui s’est transformé en de nouvelles idoles

Virtualisées par l’internet, et le cybernet,

En un cyberespace, une cyber-pensée.

.

Et nous ne pouvons pas y échapper

Sans être taxé de bestial, de bestialité

Car libre à chacun de mettre le «sacré»

Là où  il l’entend : l’amour, liberté, santé,

Le plaisir, les enfants, y compris, l’argent !

.

Tout cela parce que le sacré suppose

Réalité extérieure qui nous dépasse

Et qui nous élève en même temps.

Tous les arts …  s’en approchent,

Par un côté…sublimation de soi,

Humanisme par côté don de soi.

.

Don de soi et sublimation n’ont

Peut-être rien de sacré selon moi,

Ce sont des choix de vie, de valeurs

Auxquelles on croit, et que l’on défend

Pratique : il n’y a ni messe ni prophète !

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Forme

Réduction

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Évocation 

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1121 4

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Un piédestal pour trois statues

Ou une forme de ciboire religieux

Ou une forme  de  cercueil humain

Voire peut-être, de sarcophage ?

.

(forme stylisée, rimes mixtes,

le fond s’approche de forme)

.

Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

.

Symbolique 

 .

Momie est également une machine.

En effet, pour les Égyptiens : la mort

Est la dissociation entre le contenant

Appelé son enveloppe charnelle et

Le contenu impalpable, son âme.

.

Pour assurer  l’Éternité de la vie,

Il faut alors conserver également

Le contenant : le corps. Elle est moyen.

C’est une véritable machine à traverser

Le passage  vie-mort» sans encombre.

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Selon le point de vue de l’embaumeur,

La momie est un produit et résulte

D’une activité,  d’un long procédé

De fabrication mettant lui-même

En jeu, d’autres objets  et  outils,

Vrai savoir-faire du technicien.

fr.wikipedia.org/wiki/Momi

ficationen_Egypte_antique

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Fond

 .

Évocation 

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1121 6

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Pour une momie, le sarcophage

 Témoigne  assez du sens du sacré

Tant c’est ce qui nous distingue,

Et pour partie, des animaux !

 .

Symbolique 

 .

Le sarcophage est un coffre

Qui est destiné à recueillir le défunt.

Il est associé à la mort : dans l’antiquité,

Égyptiens  utilisaient nombre  de sarcophages

Pour préserver momie qui se trouvait à l’intérieur.

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Il représente la demeure du défunt en l’au-delà,

Le décor du couvercle représenterait le Ciel,

Tandis que le fond de la cuve : la Terre !

1001symboles.net/symbole/sens-de-sarcophage

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Corrélations

 .

Fond/forme 

 .

Tant que nous sommes vivants

L’on représente un être animé,

Et quand nous sommes morts :

Un objet, une chose,  inanimés.

Pourquoi  alors  vouloir durer,

Dans  un  sarcophage, cercueil

En une tombe, en un cimetière,

Sinon pour croire résurrection

Pas  sous  la même forme, sûr,

Mais un autre principe de vie,

Qui lui, ne serait  plus  soumis

À une mort bien trop charnelle.

 .

.

Un sacré sens du sacré

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Scénario

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On pourrait l’acquérir par soi-même pendant années de jeunesse,

à chaque enterrement, célébration nouveau mortel, élu pour le ciel,

chez certains, esprit curieux, critique, scientifique, chamboulant tout.

 .

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