1124 – A part les enfants, qui croit aux contes

Visuels et textuels  >>

.

Enfants croient aux contes

Parce  qu’ils  ont  besoin

En vue  de  se structurer

Leur double imaginaire

Comportant des niveaux

L’un   de compréhension,

Et le second sur la logique,

Et de passer de l’un à l’autre

Les fait grandir dans leurs têtes.

Ils croiront sans y croire vraiment,

Et, si vous dites   qu’ils sont  faux,

Vous les privez de leur jugement.

.

Qui croit  encore aux  contes,

Les jeunes enfants, et  encore,

Si vrai que tout ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

.

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Extensions

 .

Le « compte » y est,

Même si le « conte » y est,

Dans une histoire de «comte»

Telle que  celle de : Dracula !

Un simple jeu sur les mots,

Bien évidemment,

Mais qui en dit long

Sur séries n’en finissant pas.

Le besoin de se projeter, vivre

Par procuration est infini

Dans l’enfance

Où l’imagination est reine.

.

Conte vous raconte,

Et c’est ce qui compte,

Celui d’héros qui affronte

Un roi ou une méchante,

Ou sauve  une héroïne,

Qu’on nomme Prince

Et elle, Princesse

Vous tient en haleine

Par toutes leurs peines,

Ce jusqu’au « happy end »

Vrai ou faux est d’importance

Mais surtout  pour leur morale :

Les gentils vaincront les méchants

Même si c’est pas vrai tout le temps.

.

Psychanalyse des contes de fées est

Un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976.

 «Écrit pour aider les adultes, et plus spécialement

Ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre

 L’importance des contes de fée»

.

Grands thèmes comme le complexe d’Œdipe

Ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants,

Ces contes répondent aux angoisses des enfants

 En les informant sur leurs épreuves à venir,

Efforts à accomplir avant leur maturité.

.

Inspiré de l’article  dans Wikipédia

.

.

1124 –  Calligramme

.

Q              T

Enfants     U   croient   N  aux contes

 Parce qu’ils  I                            A    ont besoin

En vue de se   *                                F      structurer

Leur  double    C                                    N     imaginaire

Com-por-tant   R                                      E     des  niveaux

L’un   de com     O                                      :       pré-hen-sion,

Et  le  second      I                                     S     sur la logique,

Et   de   passer     T                                E    de l’un à l’autre

Les fait grandir   *                            T  dans  leurs  têtes.

Ils croiront sans  A                     N y croire vraiment,

Et si vous dites  U             O  qu’ils sont faux …

Vous les privez X      C  de leur jugement.

.

Qui     croit      encore      aux      contes,

Les     jeunes    enfants   et   encore,

Si vrai que tout  ce qu’on raconte,

N’est pas la  trouvaille  de trésor.

Que  veut  dire : ni vrai  ni faux !

Autant  dire : je  n’en  sais  rien,

Scientifique n’est pas  plus beau

Que poésie,  contes,   entretiens.

On adore, tous, belles  histoires,

Nous laissant  entrevoir l’espoir

Que tout ira mieux, en l’avenir :

Se marièrent, enfants pour finir.

Douter de tout, n’entendre, rien,

Conduirait à devenir un nihiliste

Qui voudrait vous rendre autiste

Lors le réel n’est, ni mal ni bien.

Ainsi que reflet, dans un miroir,

.

Un conte est  une vérité, révélée,

N’est que  votre image, projetée,

En forme de fictions, d’histoires.

Il y a d’ailleurs, conte et contes :

Conte fleur bleue, princesse, fée,

Conte fleur noire, sorcière ronde

Conte cruels, sexuels, nymphées.

Au bout du compte… que trouver

D’autre que mèche d’imagination

Qui éclaire un monde, émerveillé,

Où magie opère sans distinctions.

.

Nous en avons tous besoin… pour

Supporter notre sort… et la réalité

De notre monde et au fil des jours

Qui, eux, nous sont bien comptés.

Ils nous racontent que,  méchants

Seront punis et bons récompensés

S’ils se battent pour la juste cause,

En usant de ruses et non de forces.

Toute écriture est proche de conte,

Même si ce sont faits qu’on raconte

Car l’interprétation toujours seconde

Est en définitive, la seule qui compte !

.

.

Forme

Réduction

.

.

Évocation 

.

1124 4

.

Un long parchemin

Avec une belle histoire

De conte à raconter 

Tel celui de Cendrillon

.

(forme pleine, rimes mixtes,

le fond s’accorde à la forme)

.

 Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois…

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

 .

Symbolique

 .

Conte est récit court

Qui est destiné à distraire,

Inspiré de faits réels, historiques,

D’aventures purement imaginaires.

.

Le conte principal est de fée, merveilleux,

Mais il en existe d’autres, apparues après.

Le rêve, la fantaisie, l’absurde, l’humour

Élargissent les thèmes en imaginaire

Et irrationnel dans lequel l’enfant

Investit… ses…  propres … rêves.

.

Andersen introduit un merveilleux

Quotidien où objets et nature s’animent

Pour faire vivre une féérie riche d’émotions.

Ainsi, Alice aux pays des merveilles de Lewis Caroll.

.

.

Fond

 .

Évocation .

1124 6

.

Bon nombre de contes commencent par :

Il était une fois Cendrillon

Et on déroule l’histoire, en premier, puis

Second, degré de lecture.

.

Symbolique 

.

Le saviez-vous ?

La première trace écrite

De Cendrillon et ses sœurs jalouses

Apparaît dans un manuscrit chinois

Qui serait vieux de trois mille ans.

Pourquoi des histoires anciennes

Qu’on peut les croire désuètes,

Inadaptées à notre époque,

Nous parlent-elles encore autant ?

.

Elles  reflèteraient  nos   structures

Psychiques les plus fondamentales.

Bien loin de l’esprit  d’une  simple

« Littérature enfantine », contes,

Mettant, en scène, fantasmes,

Apportent, à leur manière,

Solutions de problèmes.

psychologies.com/Culture/Savoirs

 .

 .

Corrélations

Fond/forme

.

Tous les enfants aiment les contes,

Que parents, amis, leurs racontent

Mais ils savent qu’ils sont inventés

Ils font mine d’y croire lors jouant

Sur les deux tableaux,  vrai et faux

Les romanciers, voire les politiciens,

En raconteront  d’autres  aux adultes,

Auxquels ils adhéreront  en disant non :

L’inconscient prend le pas sur le conscient.

 .

.

Petit côté Walt Disney !

.

Scénario

.

Pour un conte, que l’on raconte,

ça commencera, toujours, comme ça,

et ça finira, souvent, trop bien ou trop mal.

 .

Visuels et textuels  >>


Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *