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Tout là-haut,
Sur la montagne,
Étant bien plus haute
Que notre belle Bretagne,
L’authentique forêt primaire
Nous attend et elle comprend,
Arbre, arbuste… fleur d’antan.
.
C’est un vrai, et un pur régal,
L’endroit est bien silencieux
Le paysage, bien en creux,
Un long sentier en gravit
Sa colline impénétrable
En tous points, divine !
.
Lors nous y enfonçons,
D’un pas plus que léger,
En paysages de fin d’été
Regorgeant des verdures,
Et, de plantes, si sauvages
Que l’on pourrait en parler
Comme legs, ou sauvetages !
.
Entre haies roses, qui jaunissent,
Ça monte, tourne, descend, glisse,
Il faut tenir sa main qui tire et hisse
Afin que nos montées ne rompissent
Le tour de chauffe, première montée.
.
Au bout de trois quatre, randonnées,
Vous serez roi des monts haut-perchés
Vous procurant points de vue extasiés.
Ici, forêts de l’ile, vierges, inhabitées,
Métropole : toutes exploitées, spoliées ;
Ici, si vous jetez une graine, elle pousse,
Là-bas, que chiendent, ronces, mousses !
.
Pour finir, la brume nous a pris et surpris
Par sa candeur, sa fraicheur sans la pluie,
Bien que, vite, chaleur du soleil, la dissipe,
Ça glisse encore assez pour se casser la pipe.
.
Une longue randonnée vous plongera et d’avantage,
Dans le paysage, dans la nature et jusqu’aux nuages
Car tout change, à chaque montée, à chaque virage,
Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en nage.
.
La marche en montagne se compte en heures plus
Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart
De temps en moins pour descente régulière.
Indications pancartes correspondent,
Temps des pauses non compris.
.
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Extensions
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Une petite
Randonnée fait ici
De quatre à cinq heures
Sur terrain pas trop dénivelé,
Une grande, de six à sept heures,
Sur terrain beaucoup plus accidenté.
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Les forêts primaires, on ne les trouvera
Qu’à quinze cent mètres en les hauteurs,
Aussi faut-il grimper pour les atteindre,
Le silence est très impressionnant :
L’on peut se croire à mille lieux
De civilisation, d’habitations !
.
Une boussole, et une carte,
Sont indispensables en lieux
Couverts des forêts primaires
Où les sentiers se ressemblent,
Et carrefours sont mal orientés :
On perd une heure si l’on se trompe.
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Mon épouse devant, et moi derrière, et l’ami Pierre, qui suit :
Sommes tous trois en bermuda, tee-shirt et chapeau adéquat
Une première partie, facile, en pente légère, et bien régulière,
Suivie de quelques raidillons qui vous raidissent les tendons,
Et pour finir, un pic qui nous met l’estomac dans les talons.
Nous aurons fait quinze kilomètres et bu deux litres d’eau,
Sous un soleil frisant les 35 degrés en bas, et 25 en haut !
Nous ne regrettons pas au vu du panorama imprenable,
Deux heures à le contempler entre le repas et la sieste.
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L’on commence à grimper dans les hauteurs,
Et c’est de là qu’on voit la mer, de tous côtés,
On prend conscience des dimensions de l’ile,
Et de son caractère volcanique … accidenté.
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Ce qui nous impressionne le plus : cirques,
Au nombre de trois et chacun son charme,
Et bien sûr la Fournaise encore en activité
Où l’on s’est promis d’aller jour prochain.
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361 – Calligramme
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Tout là-haut,
Sur la montagne,
Étant bien plus haute
Que notre belle Bretagne,
L’authentique forêt primaire
Nous attend et elle comprend,
Arbre, arbuste… fleur d’antan.
C’est un vrai, et un pur régal,
L’endroit est bien silencieux
Le paysage, bien en creux,
Un long sentier en gravit
Sa colline impénétrable
En tous points, divine !
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Lors nous y enfonçons,
D‘un pas plus que léger,
En paysages de fin d’été
Regorgeant des verdures,
Et, de plantes, si sauvages
Que l’on pourrait en parler
Comme legs, ou sauvetages !
Entre haies roses qui jaunissent,
Ça monte, tourne, descend glisse,
Il faut tenir sa main qui tire et hisse
Afin que nos montées L ne rompissent
Le tour de chauffe O première montée.
Au bout de trois N quatre, randonnées,
Vous serez roi G des monts haut-perchés
Vous procurant U points de vue extasiés.
Ici, forêts de l’ile E vierges, inhabitées,
Métropole : toutes * exploitées, spoliées ;
Ici, si vous jetez une R graine, elle pousse,
Là-bas, que chiendent, A ronces, mousses !
Pour finir, la brume nous N a pris et surpris,
Par sa candeur, sa fraicheur D sans la pluie,
Bien que, vite, chaleur du soleil O la dissipe,
Ça glisse, encore assez, pour se casser N la pipe !
Une longue randonnée vous plongera, et N d’avantage,
Dans le paysage, dans la nature et jusqu’aux É nuages,
Car tout change, à chaque montée, à chaque E virage,
Qui plus est, vous perdez du poids, finissez en * nage.
La marche, en montagne, se compte en heures plus
Qu’en distance, vrai qu’il faut compter un quart
De temps en moins pour descente régulière.
Indications pancartes correspondent,
Temps des pauses non compris.
À L A R É U N I O N
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Forme
Réduction
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Évocation
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Lors on randonne,
Il faut toujours garder
Une poire, pour la soif,
Voire des letchis locaux.
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Poire et fruit exotique ont peu à voir
avec une randonnée en cirque, ou pic
au delà des mille mètres, il y en a peu
si fait que la forme diffèrera du fond.
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Une poire est bien issue d’une fleur de poirier
Qui ne produit le fruit exotique letchi.
Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,
Des plus goûtus et goutés.
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Symbolique
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Les grecs
L’auraient appréciée
La poire puisque Homère
Disait d’elle que c’était cadeau
Des dieux. Mais c’est aux romains
Que l’on doit sa véritable diffusion
Dans le reste de l’Europe, l’auraient
Plusieurs fois croisée et auraient créé
Une cinquantaine de variétés. Chine,
La fleur du poirier est le symbole du
Caractère éphémère de l’existence,
Car elle est très fragile. Occident,
Dans l’univers onirique, poire
Symbole érotique féminin.
patybio.over-blog.com/article-
petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire
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Descriptif
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360 – Longue randonnée, à La Réunion
Alignement central / Titre serpente / Thème Réunion
Forme en courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme
Symbole de forme : poire / Symbole de fond : letchi
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Fond
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Évocation
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Une poire est bien issue d’une fleur de poirier
Qui ne produit le fruit exotique letchi.
Dieu sait s’il y en a, à La Réunion,
Des plus goûtus et goûtés.
.
Symbolique
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Il s’agit du véritable symbole
Pour la belle île de la Réunion !
Un letchi agréable à consommer,
Surtout pour les fêtes de fin d’année,
Letchi n’a pas que qualités gustatives.
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Il s’agirait, aussi, d’un fruit qui possède
De nombreux bienfaits pour notre santé,
Véritable source de fibres, le letchi est aussi
Très riche en vitamine C et en vitamine B9.
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En dégustant le letchi de l’île de la Réunion,
Vous ferez du bien à vos papilles et santé !
blog-colipays.com/739/le-letchi-
le-symbole-de-lile-de-la-reunion
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Corrélations
Fond/forme
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Le letchi est un arbre majestueux
Atteignant 20 mètres de hauteur :
Il présente un houppier volumineux,
Il est de forme généralement arrondie.
Cultivé depuis plus de 4.000 ans en Chine,
Et il aura été introduit à La Réunion en 1764.
Le fruit arrive à maturité au mois de décembre.
Gourmandise prisée des Réunionnais, les letchis
Ornent tables de Noël et Jour de l’An à La Réunion.
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Belle forêt primaire
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Scénario
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Ma femme et moi, un ami, lors partie de montée facile, verdoyante,
qui nous procure vue panoramique et imprenable sur un cirque,
projet de grimper sommet : sept heures de marche aller-retour !
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