748 – J’avoue que j’ai fort mal dormi cette nuit

Visuels et textuels  >>

.

J’ai très mal dormi la nuit

Oui mais pourquoi : ennui

Même pas, content de moi.

Alors je ne comprends pas !

.

En voilier, tout bouge, un peu,

Oui mais cela vous berce au pieu.

J’avoue que, j’ai mal dormi, la nuit,

Ce n’est pas que j’étais fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,  et pas ventilé.

.

Ma couchette,  en  voilier,  ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à   me retourner,

Comme un rat en cage,  fait prisonnier.

.

Il y avait une comme une atmosphère

Empêchant  dormir à poings ouverts

Comme un bébé, au sein de la mère

Pourtant c’est ce qu’on a de mieux

Pour sommeil des  plus  radieux.

.

Lors, contre mauvaise  fortune,

Bon cœur et …  c’est bien long

Quand une telle nuit blanche

N’en finit pas de s’allonger

Qu’elle  va  durer, encore,

À moitié endormi le jour.

.

Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

.

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

.

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

.

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

.

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

.

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.

.

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Extensions

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Mal dormi :

Fausse impression

Ou bien  vraie réalité !

Il est rare que l’on fasse

Une nuit blanche complète

Et les temps d’assoupissement

On en n’aurait en pas conscience,

Seul, un observateur extérieur, peut

Témoigner que vous n’avez pas fermé

L’œil de la nuit, ou en fin presque…

Mal dormi :

Est-ce insuffisamment,

D’un sommeil, habité par

Mauvais rêves,  mal réveillé

Durant la phase paradoxale !

.

Tourné d’un côté à l’autre,

Et cela finalement pour tourner en rond

Sans pourtant m’endormir,

En finissant même par compter les moutons,

Mais sans toujours y parvenir

Ressemble assez à un une nuit sans fin et sans fond

C’est rêvant de toi, elle prend fin.

.

Je vais vous livrer un secret personnel,

C’est quand j’ai très bien dormi, la nuit

Qu’au petit matin… après un bon réveil,

J’atteins, pour écrire, maximum énergie

.

Et figurez-vous qu’après le repas de midi,

Je fais une bonne sieste de 30/45 minutes,

Et voilà mon moteur sémantique est reparti

Avant que ma fatigue d’écrire, ne se rechute.

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Rechute, rechute, attendez donc, chut, chut :

Écrire n’est pas un vice ni addiction, maladie,

Je n’en suis pas au point de me lever…  a nuit :

Mon sommeil est sacré et rien ne me l’ampute !

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748 – Calligramme    

.

J

J’ai très mal     dormi la nuit

Oui mais pour A  quoi : ennui

Même pas, con I   tent de moi.

Alors je ne com  *     prends pas !

En voilier, tout   M  bouge, un peu

Oui mais cela vous  A   berce, au pieu.

J’avoue que j’ai mal     L    dormi la nuit,

Ce n’est pas que j’étais    *  fatigué, stressé,

Il faisait chaud, à crever,     D    et pas ventilé.

Ma couchette,  en  voilier,    O      ne l’était pas,

Je me suis pris  la tête, à      R       me retourner,

Comme un rat en cage,      M      fait prisonnier.

Il y avait une comme        I      une atmosphère

Empêchant  dormir        *      à poings ouverts

Comme  un   bébé       L    au sein de la mère

Pourtant   c’est       A  ce qu’on a de mieux

Pour sommeil     *    des   plus   radieux.

Lors, contre     N   mauvaise  fortune,

Bon cœur       U   et  c’est bien long

Quand une   I  telle nuit blanche

N’en finit   T pas de s’allonger

Et, qu’elle va durer, encore,

À moitié endormi le jour.

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Voilier est un peu ventre

L’on y sort, l’on y rentre,

Lors chacun y prospère,

De jour, comme de nuit !

En cockpit, carré, couchette

On se sent quelque peu à l’étroit,

Quand on est plus que deux ou trois,

Peut-être aurais-je dû dormir sur le pont

Mais j’étais trop occupé à tourner en rond.

 .

J’ai fini par sommeiller ….. au petit matin,

Quand il a fait plus frais,

Avec,  plus  de vingt-cinq  degrés,  la nuit :

J’avais sensation d’un four.

 .

La nuit m’a parue longue, parue l’éternité,

Même si pour compenser,

Mes rêveries, dans toutes mes insomnies,

M’ont retourné vers toi,

Pour cette fois encore ça n’aura pas suffi

Car tu n’étais pas là.

 .

Même contorsionnant fort, mon esprit,

Ne t’ai fait apparaitre

En tant que gardienne, mon sommeil

Et sa garante, à la fois.

 .

C’est dans ta chaleur je me repais,

Et non celle de ce four

Qui cette nuit encore aura joué

Son mauvais tour.  

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Forme

Réduction

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Évocation 

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Modifier l’image ici

.

Deux vases superposés 

De taille, et  de forme,

À  peu  près  égales

Très  différents.

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Le vase du haut : forme inversée

Celui du bas, forme plus moderne,

Aucun des deux  ne convient à nuit,

Ainsi leurs formes diffèrent du fond.

.

J’étais un peu vaseux, j’aurais préféré

 Autre forme,  un vase  plus creux,

À côté pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

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Forme, grâce des courbes

Et sa fonction de réceptacle,

Le vase est un symbole féminin:

Son creux évoquera celui de l’utérus,

Le  féminin, contenant les fluides vitaux.

.

Dans l’art, et,  les rites  funéraires, le vase

Apparaît comme emblème de vie éternelle.

.

Bible : le vase est utilisé comme symbole.

Il peut être fait de matériaux différents

Et   contenir   des   choses   totalement

Différentes au fond (eau, vin, trésor)

Source : heraldie.blogspot.com/2014/08  et 

le-vase et  emcitv.com/jeremy-sourdril

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Descriptif

 .

748 – J’avoue que j’ai mal dormi la nuit  

  Alignement central  /  Titre  serpente / Thème  sommeil

Forme en ovale /  Rimes égales   / Fond  éloigné de forme

Symbole de forme : vase-creux / Symbole de fond : blottir

.

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Fond

 .

Évocation de fond

.

.

J’étais un peu vaseux, lors j’aurais préféré

 Une forme en vase creux

À mes côtés pour m’aider à me blottir

 Tout comme à m’évanouir.

.

Symbolique 

 .

Blottis l’un contre l’autre,

En cuillère, ou encore dos à dos,

La position en laquelle vous dormez

Avec  votre partenaire  serait  révélatrice

De l’ambiance au sein de votre propre couple.

.

Pendant la nuit, le ou la partenaire, viendra

Se blottir tout contre le dos de sa moitié.

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Ce qu’elle signifie : c’est très bon signe :

Les scientifiques en charge de l’étude

Interprètent cette position comme

Symbole de relation de couple

Parfaitement… équilibrée.

cosmopolitan.fr/,la-position-du-

sommeil-en-dit-long-sur-votre-couple

 .

 .

Corrélations

Fond/forme 

.

Bien se blottir contre un vase

Que l’on prendra dans ses bras

N’aiderait guère à bien dormir.

.

Il vaudrait mieux un bon oreiller

Lors sur lequel, sa tête, appuyer.

Et un bon matelas bien moelleux,

Sur lequel, son corps … allonger.

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Si la femme serait un vase creux,

Dormir contre elle, encore mieux,

À moins de trouver cela ennuyeux

.

.

Mal dormi sans toi, hélas !

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Scénario

.

Je me suis retournée si ce n’est cent fois dans mon lit,

j’ai compté plus de cent moutons raconté leurs histoires,

et c’est en te croyant, près de moi, que je me suis endormie.

 .

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