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Je dispose de deux réseaux
Plusieurs cercles relationnels
Famille, amis, peu nombreux
Des collègues parfois aimables.
.
Lors, j’ai parfois du mal,
A classer toutes familles
Selon l’ordre génétique,
Selon diverses alliances,
.
En vieillissant, je constate que
J’ai, de plus en plus de famille,
Et de moins en moins d’amis,
La loi du genre ou l’exception.
.
J’ai femme et enfant
Cousin, neveu, parent,
Une centaine d’amis autour :
C’est mon réseau au fil des jours.
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Parait peu ou beaucoup mais enfin
Faut du temps pour connaître quelqu’un
Or nombre rencontres, des cents, milliers,
Sont, d’une heure, d’un soir, d’une journée.
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Que reste-t-il des amis lors le temps passant
Certains, déjà partis, disparus ou mourants.
Plus je vieillis et plus mon réseau se rétrécit
Et si cela continue, je finirai, seul, ma vie.
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Me faudrait-il lors envier des gens célèbres
Vivant au grand jour la vraie vie de roman,
Les fans les iconisent : aucun pour autant,
Ne prendra leur place dans cortège funèbre.
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On nait, on meurt seul tout le monde sait cela
Or la comédie de la vie nous instruit sans trêve
En divers sens possibles de trouver à nos rêves,
Où ne reposent en paix que ceux … l’étant déjà.
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D’accord le Monde n’est pas rempli que de gens
Le monde physique est vaste, autour de moi :
Nul ne pourra épuiser son espace, son temps
Et mieux le connaître, enrichit savoir, en soi.
Mon petit monde à moi, petit monde en moi,
Des petits regards vus du bout de ma lorgnette.
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Si vaste est
Le Monde,
Il tourne
En rond :
Je ne peux
Percevoir
En vrai,
Propre
Net.
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Extension
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Mon réseau social fait partie de moi,
Je fais partie de lui. S’il disparait,
Je n’existe plus et le temps de
M’en construire un autre,
Il me faudra des années,
Et il ne sera jamais pareil.
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Au final et à terme, ce sera
La seule richesse que je garderai
Quand j’aurai perdu tout le reste,
Sauf de quoi survivre, et de quoi
Voyager, et de quoi me cultiver.
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C’est ainsi que milliards de réseaux
Se perpétuent jusqu’à l’éternité, tout
Au moins jusqu’à la fin de l’Humanité,
Ce qui parait-il, d’après certains vrais
Faux prêcheurs actuels, ne tarderait.
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Quoiqu’il en soit et quoiqu’il en sera,
En attendant, à nous d’en bien profiter,
À nous de penser à la retarder à l’avenir.
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Accrochés à une même racine génétique,
Les membres d’une famille sympathique,
Aux noces grands-parents, se réunissent
Fêtent les profonds attachements mutuels
En prenant une photo ensemble, annuelle
Et se la communiquer, partager, en réseau
Et jusqu’à en obtenir un imposant tableau.
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Une famille se définit par des ascendants
Par des parents, et par des descendants,
Mais demeure extensible aux collatéraux,
Neveux, cousins et surtout parents-beaux.
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On prétend à juste titre que c’est le butoir
De toute société : si la famille fout le camp
Le reste ne tient pas, juste nombre de gens
Accolés les uns aux autres, soumis pouvoir
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Il y a un nombre familles qui se disloquent,
Certaines deviendront familles recomposées.
Famille sort par la porte, rentre par fenêtre :
À quelques exceptions, semble indestructible.
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1155 – Calligramme
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Je dispose de J deux réseaux
Plusieurs cercles ‘ relationnels
Famille, amis, peu A nombreux
Des collègues parfois I aimables.
Lors, j’ai parfois du mal,
A classer toutes familles
Selon l’ordre génétique,
Selon diverses alliances,
F
En vieillissant E je constate que
J’ai, de plus en M plus de famille
Et de moins en M moins d’amis,
La loi du genre E ou l’exception.
*
J’ai femme E et enfant
Cousin, ne N veu, parent,
Une centaine F amis autour :
C’est mon réseau A au fil des jours.
Parait peu, beau N coup mais enfin
Faut du temps pour T connaître quelqu’un
Nombre rencontres * des cents, milliers,
Sont, d’une heure, un N soir, d’une journée.
Que reste-t-il d’amis E lors temps passant
Certains déjà partis V disparus, mourants.
Plus je vieillis, plus E mon réseau rétrécit
Et si cela continue U finirai, seul, ma vie.
Me faudrait-il lors en * vier des gens célèbres
Vivant au grand jour C la vraie vie de roman,
Les fans les iconisent O aucun pour autant,
Ne prendra leur place U dans cortège funèbre.
On nait, on meurt seul S tout le monde sait cela
Et la comédie de la vie I nous instruit sans trêve
En divers sens possibles N à trouver à nos rêves,
Où ne reposent en paix * que ceux… l’étant déjà.
D’accord le Monde n’est P pas rempli que de gens
Le monde physique est A vaste, autour de moi :
Nul ne pourra épuiser R son espace, son temps
Et mieux le connaître E enrichit savoir en soi.
Mon petit monde à moi N petit monde en moi
Des petits regards vus T bout de ma lorgnette.
*
Si vaste est
Le Monde,
Il tourne
En rond :
Je ne peux
Percevoir
En vrai,
Propre
Net.
.
.
Forme
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Réduction
.
.
Évocation
.
.
Ça ressemble très fort
À un tire-bouchon
Avec une fine double vis
Pas de couteau suisse.
.
(S : forme stylisée, = : rimes égales,
X : le fond s’éloigne, ici, de la forme)
.
Tire-bouchon, voire couteau suisse
les deux ne correspondent au thème
famille possède bien ces instruments
mais leur forme n’évoque pas le fond.
.
Le tire-bouchon, comme chacun sait,
Est un symbole de convivialité
Et même dieu sait que dans une grande
Famille y a un couteau suisse.
.
Symbolique
.
Le symbole est riche
Puisqu’il célèbre le travail
Du vigneron viti et viniculture,
Mais aussi parce qu’il réunira en
Une action, tous les objets, autour,
Du vin qui méritent notre attention :
Bouteille, bouchon et tire-bouchon.
.
Mais le tire-bouchon fait partie d’une
Famille d’outils qui l’accompagne
Sur tous les couteaux suisses :
Lame, et décapsuleur,
Ciseau, tournevis.
.
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Fond
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Évocation
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Ça ressemble très fort
À un tire-bouchon
Avec une fine double vis
Pas de couteau suisse.
(S : forme stylisée, = : rimes égales,
X : le fond s’éloigne, ici, de la forme)
Tire-bouchon, voire couteau suisse
les deux ne correspondent au thème
famille possède bien ces instruments
mais leur forme n’évoque pas le fond.
Le tire-bouchon, comme chacun sait,
Est un symbole de convivialité
Et même dieu sait que dans une grande
Famille y a un couteau suisse.
Symbolique
Le symbole est riche
Puisqu’il célèbre le travail
Du vigneron viti et viniculture,
Mais aussi parce qu’il réunira en
Une action, tous les objets, autour,
Du vin qui méritent notre attention :
Bouteille, bouchon et tire-bouchon.
Mais le tire-bouchon fait partie d’une
Famille d’outils qui l’accompagne
Sur tous les couteaux suisses :
Lame, et décapsuleur,
Ciseau, tournevis.
.
.
Fond
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Évocation
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Le tire-bouchon, comme chacun sait,
Est un symbole de convivialité
Et même dieu sait que dans une grande
Famille y a un couteau suisse.
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Symbolique
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Avec montre, fromage, chocolat, Cervin,
C’est l’un des symboles de la Suisse.
Plus encore que la montagne valaisanne,
Ou une meule de gruyère,
Le couteau suisse représente plus qu’un
Emblème de notre pays :
C’est une démonstration du pragmatisme
Et de l’inventivité helvétique.
Une innovation de la fin du XIXe siècle
Qui a conquis le monde entier,
Notamment grâce à deux fabricants
Étant : Victorinox et Wenger,
Réunis au sein de la même maison.
Les quatre outils : scie, ciseaux,
Lime à ongle et tire-bouchon
Sont des incontournables
Du vrai couteau suisse.
bilan.ch/economie/la_france_emprunte_
le_couteau_suisse_pour_son_marketing
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Corrélations
Fond/forme
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Tire-bouchon, c’est bien moi,
Pour autant je ne vis pas seul,
Je ne vide pas que caves à vins,
J’en fais profiter voisins, cousins,
J’ai une famille type couteau suisse
Et chacun, pour s’aider y met du sien.
C’est aussi cela l’entraide et la solidarité
Souvent j’ajouterais une complémentarité
En tout cas, et ça c’est certain, convivialité :
Autres s’en plaignent, ne pourrais m’en passer.
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Femme, enfants, cousins, neveux
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Scénario
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Noces d’or, de diamant de parents ou célébration centenaires !
Famille élargie est composée de tous les proches et tous les amis.
Beau, belle, demi : la famille est composée de quoi, de nos jours ?
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