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L’homme ne sait pas vraiment qui il est
Et, pas plus, d’où il vient, même où il va !
Il ne peut qu’imaginer son lointain destin
Sans aucun écho de F quelque Univers Divin !
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Quelle destinée cosmique
Et d’où lui viendrait-elle !
Et d’où lui vient cette idée
D’être au-dessus de tout !
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Tant plus le Cosmos se dévoile,
Ses dimensions voire ses mystères
Plus la Terre se retrouve bien seule,
De plus en plus loin, sur sa destinée !
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Combien de croyants ont cru au paradis,
Les anciens grecs, ont créé à leur Olympe,
Voilà qu’athées se retrouvent face au néant,
Dieu serait-il partout, immanent, omniscient.
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Il se peut que destin de l’homme
Et de l’Humanité, se confondent,
Question d’attente d’une évolution,
D’échelle de temps tant dans leur vie,
Que dans leur mort, ils se morfondent,
Lors rien ne reste longtemps, en vie,
Et, qui ne dure éter-nelle-ment.
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Pas la peine de crier au néant,
Alors que nous y sommes !
À l’horloge, astronomique :
Humanité dure une minute.
Il n’est pas l’heure de croire
À notre hégémonie, future,
Quand nous serons morts !
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L’humanité, nous suivra, de peu,
Tant elle s’acharne à précipiter son sort,
En exploitant, ruinant la planète qui l’abrite
Et peu importe que ce soit à raison ou… à tort.
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Alors, me direz-vous, suicidons-nous, en masses,
Comme les rats, et finissons-en de cette mascarade,
Courons en écoutant sa flûte comme bruit du canon
Entendus déjà en maintes guerres, autres occasions.
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Alors, me direz-vous, érigeons-nous, à leur place,
Comme divinités de l’Olympe ou du Paradis,
Dans la trainée d’étoiles de la voie lactée,
En un autre Univers ou Firmament.
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Je vous direz : conscience individuelle
Inconscient collectif sont nos réservoirs
D’interprétations d’images, symboles
Mais tous autant réels que fictifs.
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Extension
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Chaque jour diminue le temps
Qui nous est imparti, avec les
Maladies, suicides, accidents.
La chose qui l’augmente, est
La perception de la chance
Qu’on a de le remplir avec
Son esprit et son cœur,
Au lieu de n’importe
Quoi à tout va !
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L’humanité, c’est cinq, sept bientôt neuf milliards d’humains
Pour lesquels, personne ne nous dit rien de leurs lendemains !
Les humains disparaitront ; ou c’est l’univers qu’ils coloniseront
Tout au moins s’ils continuent leurs progressions, en expansion.
Mais dans un millénaire, s’agira-t-il encore des mêmes humains
Qu’aujourd’hui, que nos ancêtres, ou nouveaux êtres bioniques,
Non issus de l’évolution mais de la science et de la technique.
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On connait le destin de fin de la planète Terre
Brulée puis absorbée par le soleil qui s’expanse,
Mais quid de l’humanité si elle ne s’exile ailleurs.
L’on a encore du temps : pas besoin d’avoir peur.
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Et faudrait-il qu’on rencontre des extra-terrestres
Pour pactiser avec eux, pour trouver une solution,
Ou ces derniers, comme singes, nous anéantiront :
L’imaginaire est en plein pouvoir sans vérification
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1159 – Calligramme
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L’homme ne sait pas vraiment qui il est
Et, pas plus, d’où il vient, même où il va !
Il ne peut qu’imaginer son lointain destin
Sans aucun écho de F quelque Univers Divin !
Quelle * A destinée cosmique
Et d’où lui L C viendrait-elle !
Et d’où lui vient ‘ E cette idée
D’être au-dessus H * de tout !
Tant plus le Cosmos U D se dévoile,
Ses dimensions voire ses M E mystères
Plus la Terre se retrouve A S bien seule,
De plus en plus loin, N T sur sa destinée !
Combien de croyants I I ont cru au paradis,
Les anciens grecs, T N ont créé à leur Olympe,
Voilà qu’athées É É se retrouvent face au néant,
Dieu serait-il * E partout, immanent, omniscient.
C O S M I Q U E
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Le destin de l’homme
Et de l’humanité se confondent,
Question d’attente d’une évolution,
D’échelle de temps tant dans leur vie,
Que dans leur mort ils se morfondent,
Lors rien ne reste longtemps, en vie,
Et, qui ne dure éter-nelle-ment.
Pas la peine de crier au néant,
Alors que nous y sommes !
.
À l’horloge, astronomique :
Humanité dure une minute.
Il n’est pas l’heure de croire
À notre hégémonie, future,
Quand nous serons morts !
.
L’humanité, nous suivra, de peu,
Tant elle s’acharne à précipiter son sort,
En exploitant, ruinant la planète qui l’abrite
Et peu importe que ce soit à raison ou… à tort.
Alors, me direz-vous, suicidons-nous, en masses,
Comme les rats, et finissons-en de cette mascarade,
Courons en écoutant sa flûte comme bruit du canon
Entendus déjà en maintes guerres, autres occasions.
Alors, me direz-vous, érigeons-nous, à leur place,
Comme divinités de l’Olympe ou du Paradis,
Dans la trainée d’étoiles de la voie lactée,
En un autre Univers ou Firmament.
.
Je vous direz : conscience individuelle
Inconscient collectif sont nos réservoirs
D’interprétations d’images, symboles
Mais tous autant réels que fictifs.
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Grand point d’interrogation,
Posé sur une poterie mystère
En ferait une lampe abat-jour
En vue d’éclairer la destinée ?
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(S : forme stylisée, £ : rimes libres,
Z : le fond s’accorde ici à la forme)
En dépit des lumières, notre destinée
Cosmique demeure
Un mystère, allons-nous disparaitre
Ou renaitre ailleurs !
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Symbolique
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Les frontières restent
Indécises entre la lumière
Symbole et la lumière métaphore.
La lumière est mise en relation à obscurité.
La lumière succède aux ténèbres. Si la lumière
Solaire meurt à chaque soir,
Elle renaît au matin, assimilant
Destin de l’homme à sa pérennité
Et sa puissance et psychologues
Et les analystes auront observé
Qu’à l’ascension seront liées des
Images lumineuses accompagnées
D’un sentiment d’euphorie, tandis
Qu’à la descente, images sombres,
Nombres de sentiments de crainte.
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Fond
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Évocation
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En dépit des lumières, notre destinée
Cosmique demeure
Un mystère, allons-nous disparaitre
Ou renaitre ailleurs !
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Symbolique
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La théologie catholique distingue
Les mystères naturels dont nous
Pouvons connaître et l’existence,
Et le contenu, par des analogies,
Des vérités qui ne sont révélées que
Par Dieu, dans l’Histoire du salut ;
Les vérités inaccessibles telles la Trinité,
L’Incarnation et la Rédemption, demeurent
Des mystères selon les dogmes catholiques.
La mystique, mysticisme, est ce qui a trait
Aux mystères, choses cachées ou secrètes.
Source : wikipedia.org/wiki/Mystère_(christianisme)
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Corrélations
Fond/forme
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La création, La Trinité, l’Incarnation,
La Rédemption, sont des mystères
Selon les dogmes dits catholiques
Et probablement, le resteront !
Le Cosmos garde une partie
De son mystère en devenir
S’expandant en un vide
Qui n’existerait pas.
Moi, j’en suis un,
Pour moi, autre,
Ne sachant rien
De ce que je deviens
Une fois mort et enterré.
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Subir une destinée cosmique
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Scénario
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L’humanité, qu’est-ce que c’est, une conscience de soi et du Cosmos !
Le Cosmos nous ignore : il n’a conscience de nous, ni de lui-même !
Nous sommes les seuls à connaitre, décider, déplorer notre sort !
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