398 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt

Visuels et textuels >>  

.

Nature nous offre

Son paysage émouvant

Lors va au devant d’elle

Tout  en  s’y promenant,

Entre bords de  la mer

Chemins  campagne.

Sentiers forestiers.

.

Comme  en montagnes,

Elle fait oublier ennuis

De notre vie moderne,

Qui nous stressent, ou

Nous  la rend terne.

.

Moi, quand j’ai trois ou

Quatre heures à perdre,

Je mets  mes chaussures

Pour aller, vite, marcher.

.

Les souvenirs rentrent par les pieds,

Autant que  par mes yeux, pour ne pas

Les faire sortir, partout, où j’ai marché,

Je me rappelle  les odeurs  des sous-bois,

Des prés,  d’herbes, si ne n’est  des fleurs,

 Qui ont contribué à la joie, à mon bonheur.

.

Suivez  itinéraire fléché, jaune, blanc-rouge

Pour petits, grands sentiers, de randonnées,

Seul, à deux, trois, à plusieurs,  voire groupé,

Marcher sans arrêt sans discuter,  vous bouge

Les sangs et les idées,  à vos rythmes cadencés

De pauses,  pour consulter la carte des égarés.

Ici une route pavée ou ancienne voie romaine,

Là, un chemin creux : sait-on où il nous mène.

.

C’est ce qui fait le charme de nos randonnées :

Les avis partagés, vers droite : on s’est trompé.

Comment à une carte, ou à son instinct, se fier

S’il n’y a  plus de marques  pour  nous guider !

.

Arrivés, à mi-parcours, moitié des gens fatigués

Demandent quand on arrive car ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trainants ou cloquants,

Marcher, ils ont un problème… handicapant.

On ne croise presque personne sur sentiers,

Seraient-ils assis, en fauteuil, regarder télé.

.

Et puis, une randonnée, en un beau paysage

Qui, à chaque virage, présente nouveau visage

Est comme un voyage en soi une réconciliation

Avec splendeurs, nature,  étant diverse à foison.

Nous sommes le couronnement en faisons partie,

Mais, les uns la chérissent, et d’autres … la fuient !

.

Ma randonnée  sur sentier  de campagne   en  forêt,

Suivie du parcours, sur un   chemin,  bord   de  mer,

Termine  sa  grande boucle    sur parking  du  départ.

Bien belles images  ont été   stockées,  quelque   part,

En mes mémoires ne se las  sant pas de les distinguer

J’ai beau les parcourir, je ne finis jamais de m’étonner.

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Extensions

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Une simple randonnée à pied,

Enchainant sentier côtier,

Ou sentier champêtre,

Sentier marécage,

Sentier forestier,

Sous-bois,

Plages,

Rochers

Suffit à mon bonheur

Pour trois ou quatre heures

Où je ne pense à rien d’autre

Qu’à vivre  l’instant présent,

Au maximum de mes sens

Et de mes possibilités.

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À pied : l’on ne va pas aussi loin qu’à cheval,

Et encore moins qu’en vélo, voiture, avion,

Ça c’est certain mais on ne recherche pas

Non plus les mêmes sensations, utilités

Car perdre du temps pour en gagner,

Peut être slogan  de la randonnée !

Gagner du temps pour en perdre

Celui de l’avion,  voire du train

Et quant au vélo et au cheval,

C’est juste marche accélérée.

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La côte, la campagne, et la forêt,

Pour belle randonnée, tout y est,

Les paysages sont bien diversifiés,

L’on ne devra en tel cas, s’ennuyer.

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Nature est si belle qu’on parle d’elle,

Au pied d’une source l’on s’abreuvera

Et dans la forêt touffue, l’on se fondra,

Sa douceur nous rend vie moins cruelle

.

En creux sous-bois, carrefour, on se perd

On cherche le chemin, chemin de lumière

La nuit approche, lors on se met en retard,

Prendrait-on peur d’en arriver … nulle part.

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398 – Calligramme   

.

Nature nous offre

Son paysage     émouvant

Lors va au           devant d’elle

Tout  en  s’y            promenant,

Entre bords           de  la mer

Chemins        campagne.

Sentiers forestiers.

.

Comme   en  montagnes,

Elle fait  B  oublier ennuis

De notre   O    vie moderne,

Qui nous    R    stressent, ou

Nous  la         D        rend terne.

Moi, quand      *        j’ai trois ou

Quatre heures    M           à perdre,

Je mets  mes         E         chaussures

Pour aller vite          R            marcher.

Les souvenirs rentrent *    par les pieds,

Autant que  par mes   C  yeux, pour ne pas

Les faire sortir, par   H   out, où j’ai marché,

Je me rappelle  les    E   odeurs  des sous-bois,

Des prés,  d’herbes,    M   si ne n’est  des fleurs,

 Qui ont contribué à la    I    joie, à mon bonheur.

Suivez  itinéraire fléché,    N    jaune, blanc-rouge

Pour petits, grands sentiers,   *      de randonnées,

Seul, à deux, trois, à plusieurs,    T    voire groupé,

Marcher sans arrêt sans discuter,     vous bouge

Les sangs et les idées, à vos rythmes   R   cadencés

De pauses pour consulter la carte des   R    égarés.

Ici une route pavée ou ancienne voie ro   E maine,

Là, un chemin creux : sait-on où il nous    *  mène.

.

C’est ce qui fait le charme de nos randonnées :

Les avis partagés, vers droite : on s’est trompé.

Comment à une carte, ou,   à son instinct, se fier

S’il n’y a plus de marques        pour  nous guider !

Arrivés, à mi-parcours, moi  *  tié des gens fatigués

Demandent quand on arrive  *     car ils ont les pieds

De plus en plus lourds, trai        S   nants ou cloquants,

Marcher, ils ont un prob               E     lème handicapant.

On ne croise presque per                N      sonne sur sentiers,

Seraient-ils assis, en fau                    T      teuil, regarder télé.

Et puis, une randonnée,                      I       en un beau paysage

Qui, à chaque virage, pré                       E     sente nouveau visage

Est comme un voyage en                        R     soi une réconciliation

Avec splendeurs, nature,                          *     étant diverse à foison.

Nous sommes le couronne                       D   ment en faisons partie,

Mais, les uns la chérissent,                        E    et d’autres … la fuient !

Ma randonnée sur sentier                             *    de campagne   en  forêt,

Suivie du parcours, sur un                             F     chemin,  bord   de  mer,

Termine  sa  grande boucle                             O      sur parking  du  départ.

Bien belles images  ont été                                R      stockées, quelque   part,

En mes mémoires ne se las                                 E     sant pas de les distinguer

J’ai beau les parcourir, je ne                                 T     finis jamais de m’étonner.

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Forme

Réduction

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Évocation 

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398 4

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Un piédestal avec une statue,

Ou tourelle avec signalisation

Une silhouette  de  marcheur

en randonnée pour paysage.

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Sac au dos, et c’est parti pour

Quatre à cinq heures de marche :

Avec des paysages qui changent

Et se diversifient sans cesse.

.

Symbolique

.

La marche est

Exercice physique

Des  plus  complets

Et un temps propice

Pour délier sa pensée,

Rêver, et se ressourcer.

.

Participe d‘éveil sensoriel

Au monde : odeurs, bruits,

Comme lumières et couleurs

Voire d’un retour à l’essentiel,

Et qui permettrait de s’alléger,

Se désencombrer de surcharges

Inutiles et reprendre son souffle.

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Il y a comme une sorte de douceur

Et un bel équilibre dans la marche.

On marche longtemps, sans fatigue,

Par tous les temps, toutes les saisons.

À chacun son rythme, son endurance.

Cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519

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Descriptif

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398 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt   

Alignement central   /   Titre analogue /  Thème   rando

Forme anthropo  / Rimes égales   /Fond accordé à forme

Symbole de forme : marcheur / Symbole de fond : paysage

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Fond

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Évocation 

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398 6

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Sac au dos, et c’est parti pour

Quatre à cinq heures de marche :

Avec des paysages qui changent

Et se diversifient sans cesse.

.

Symbolique 

 .

Un paysage est une vue

De portion d’espace terrestre,

Perçue par les sens humains ou

Divers arts visuels et représentée

Ou observée, en majorité des cas,

À l’horizontale,  ou photographié

Par un observateur… attentionné;

.

Son caractère résulte de l’action

Et de l’interaction  des facteurs

Naturels  et voire …  humains.

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La notion   de paysage  a une

Dimension esthétique  forte,

Voire picturale ou littéraire

En tant que représentation.

Wikipédia : paysage

 .

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Corrélations

Fond/forme 

 .

La marche permet d’aller partout !

Prenez  une route  en voiture, suivez

Le chemin empierré, dit carrossable,

Et continuez  à pied, vous y arrivez !

.

Information  l’on ne peut plus claire,

On ne peut être ici ou là, sans pieds.

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Que ce soit en campagne, montagne

Et même en ville, l’on se déplacera

Toujours comme tous les piétons

Sans se soucier sens interdits

Barrages  et  tutti quanti,

Pour y arriver, merci.

  .

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Randonnée en bord de côte

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Scénario 

.

En bordure de mer, le long des plages et des falaises,

en sentiers de terre, en grandes forêts, petites futaies,

où l’ombre joue avec lumière et lui transfère son reflet.

 .

Visuels et textuels >> 


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