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Nature nous offre
Son paysage émouvant
Lors va au devant d’elle
Tout en s’y promenant,
Entre bords de la mer
Chemins campagne.
Sentiers forestiers.
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Comme en montagnes,
Elle fait oublier ennuis
De notre vie moderne,
Qui nous stressent, ou
Nous la rend terne.
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Moi, quand j’ai trois ou
Quatre heures à perdre,
Je mets mes chaussures
Pour aller, vite, marcher.
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Les souvenirs rentrent par les pieds,
Autant que par mes yeux, pour ne pas
Les faire sortir, partout, où j’ai marché,
Je me rappelle les odeurs des sous-bois,
Des prés, d’herbes, si ne n’est des fleurs,
Qui ont contribué à la joie, à mon bonheur.
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Suivez itinéraire fléché, jaune, blanc-rouge
Pour petits, grands sentiers, de randonnées,
Seul, à deux, trois, à plusieurs, voire groupé,
Marcher sans arrêt sans discuter, vous bouge
Les sangs et les idées, à vos rythmes cadencés
De pauses, pour consulter la carte des égarés.
Ici une route pavée ou ancienne voie romaine,
Là, un chemin creux : sait-on où il nous mène.
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C’est ce qui fait le charme de nos randonnées :
Les avis partagés, vers droite : on s’est trompé.
Comment à une carte, ou à son instinct, se fier
S’il n’y a plus de marques pour nous guider !
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Arrivés, à mi-parcours, moitié des gens fatigués
Demandent quand on arrive car ils ont les pieds
De plus en plus lourds, trainants ou cloquants,
Marcher, ils ont un problème… handicapant.
On ne croise presque personne sur sentiers,
Seraient-ils assis, en fauteuil, regarder télé.
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Et puis, une randonnée, en un beau paysage
Qui, à chaque virage, présente nouveau visage
Est comme un voyage en soi une réconciliation
Avec splendeurs, nature, étant diverse à foison.
Nous sommes le couronnement en faisons partie,
Mais, les uns la chérissent, et d’autres … la fuient !
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Ma randonnée sur sentier de campagne en forêt,
Suivie du parcours, sur un chemin, bord de mer,
Termine sa grande boucle sur parking du départ.
Bien belles images ont été stockées, quelque part,
En mes mémoires ne se las sant pas de les distinguer
J’ai beau les parcourir, je ne finis jamais de m’étonner.
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Extensions
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Une simple randonnée à pied,
Enchainant sentier côtier,
Ou sentier champêtre,
Sentier marécage,
Sentier forestier,
Sous-bois,
Plages,
Rochers
Suffit à mon bonheur
Pour trois ou quatre heures
Où je ne pense à rien d’autre
Qu’à vivre l’instant présent,
Au maximum de mes sens
Et de mes possibilités.
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À pied : l’on ne va pas aussi loin qu’à cheval,
Et encore moins qu’en vélo, voiture, avion,
Ça c’est certain mais on ne recherche pas
Non plus les mêmes sensations, utilités
Car perdre du temps pour en gagner,
Peut être slogan de la randonnée !
Gagner du temps pour en perdre
Celui de l’avion, voire du train
Et quant au vélo et au cheval,
C’est juste marche accélérée.
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La côte, la campagne, et la forêt,
Pour belle randonnée, tout y est,
Les paysages sont bien diversifiés,
L’on ne devra en tel cas, s’ennuyer.
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Nature est si belle qu’on parle d’elle,
Au pied d’une source l’on s’abreuvera
Et dans la forêt touffue, l’on se fondra,
Sa douceur nous rend vie moins cruelle
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En creux sous-bois, carrefour, on se perd
On cherche le chemin, chemin de lumière
La nuit approche, lors on se met en retard,
Prendrait-on peur d’en arriver … nulle part.
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398 – Calligramme
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Nature nous offre
Son paysage émouvant
Lors va au devant d’elle
Tout en s’y promenant,
Entre bords de la mer
Chemins campagne.
Sentiers forestiers.
.
Comme en montagnes,
Elle fait B oublier ennuis
De notre O vie moderne,
Qui nous R stressent, ou
Nous la D rend terne.
Moi, quand * j’ai trois ou
Quatre heures M à perdre,
Je mets mes E chaussures
Pour aller vite R marcher.
Les souvenirs rentrent * par les pieds,
Autant que par mes C yeux, pour ne pas
Les faire sortir, par H out, où j’ai marché,
Je me rappelle les E odeurs des sous-bois,
Des prés, d’herbes, M si ne n’est des fleurs,
Qui ont contribué à la I joie, à mon bonheur.
Suivez itinéraire fléché, N jaune, blanc-rouge
Pour petits, grands sentiers, * de randonnées,
Seul, à deux, trois, à plusieurs, T voire groupé,
Marcher sans arrêt sans discuter, E vous bouge
Les sangs et les idées, à vos rythmes R cadencés
De pauses pour consulter la carte des R égarés.
Ici une route pavée ou ancienne voie ro E maine,
Là, un chemin creux : sait-on où il nous * mène.
.
C’est ce qui fait le charme de nos randonnées :
Les avis partagés, vers droite : on s’est trompé.
Comment à une carte, ou, à son instinct, se fier
S’il n’y a plus de marques pour nous guider !
Arrivés, à mi-parcours, moi * tié des gens fatigués
Demandent quand on arrive * car ils ont les pieds
De plus en plus lourds, trai S nants ou cloquants,
Marcher, ils ont un prob E lème handicapant.
On ne croise presque per N sonne sur sentiers,
Seraient-ils assis, en fau T teuil, regarder télé.
Et puis, une randonnée, I en un beau paysage
Qui, à chaque virage, pré E sente nouveau visage
Est comme un voyage en R soi une réconciliation
Avec splendeurs, nature, * étant diverse à foison.
Nous sommes le couronne D ment en faisons partie,
Mais, les uns la chérissent, E et d’autres … la fuient !
Ma randonnée sur sentier * de campagne en forêt,
Suivie du parcours, sur un F chemin, bord de mer,
Termine sa grande boucle O sur parking du départ.
Bien belles images ont été R stockées, quelque part,
En mes mémoires ne se las E sant pas de les distinguer
J’ai beau les parcourir, je ne T finis jamais de m’étonner.
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Forme
Réduction
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Évocation
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Un piédestal avec une statue,
Ou tourelle avec signalisation
Une silhouette de marcheur
en randonnée pour paysage.
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Sac au dos, et c’est parti pour
Quatre à cinq heures de marche :
Avec des paysages qui changent
Et se diversifient sans cesse.
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Symbolique
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La marche est
Exercice physique
Des plus complets
Et un temps propice
Pour délier sa pensée,
Rêver, et se ressourcer.
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Participe d‘éveil sensoriel
Au monde : odeurs, bruits,
Comme lumières et couleurs
Voire d’un retour à l’essentiel,
Et qui permettrait de s’alléger,
Se désencombrer de surcharges
Inutiles et reprendre son souffle.
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Il y a comme une sorte de douceur
Et un bel équilibre dans la marche.
On marche longtemps, sans fatigue,
Par tous les temps, toutes les saisons.
À chacun son rythme, son endurance.
Cairn.info/revue-etudes-2010-11-page-519
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Descriptif
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398 – Bord mer, chemin terre, sentier forêt
Alignement central / Titre analogue / Thème rando
Forme anthropo / Rimes égales /Fond accordé à forme
Symbole de forme : marcheur / Symbole de fond : paysage
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Fond
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Évocation
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Sac au dos, et c’est parti pour
Quatre à cinq heures de marche :
Avec des paysages qui changent
Et se diversifient sans cesse.
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Symbolique
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Un paysage est une vue
De portion d’espace terrestre,
Perçue par les sens humains ou
Divers arts visuels et représentée
Ou observée, en majorité des cas,
À l’horizontale, ou photographié
Par un observateur… attentionné;
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Son caractère résulte de l’action
Et de l’interaction des facteurs
Naturels et voire … humains.
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La notion de paysage a une
Dimension esthétique forte,
Voire picturale ou littéraire
En tant que représentation.
Wikipédia : paysage
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Corrélations
Fond/forme
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La marche permet d’aller partout !
Prenez une route en voiture, suivez
Le chemin empierré, dit carrossable,
Et continuez à pied, vous y arrivez !
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Information l’on ne peut plus claire,
On ne peut être ici ou là, sans pieds.
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Que ce soit en campagne, montagne
Et même en ville, l’on se déplacera
Toujours comme tous les piétons
Sans se soucier sens interdits
Barrages et tutti quanti,
Pour y arriver, merci.
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Randonnée en bord de côte
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Scénario
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En bordure de mer, le long des plages et des falaises,
en sentiers de terre, en grandes forêts, petites futaies,
où l’ombre joue avec lumière et lui transfère son reflet.
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