.
La maladie est un signe de bonne santé,
Si elle n’est pas trop longue et de gravité
Et que l’on en guérit, pour s’en protéger,
Jusqu’à ce que son corps en dise : assez !
.
Le diagnostic, les soins, les médicaments,
Ne suffisent pas tout seul, à en venir à bout,
Il faut la participation du moral, du patient
Et sa volonté de lutter pour ne pas sombrer.
.
Mais il existe une telle panoplie de maladies,
Qu’on se demande comment on rester en vie
Comme toute précaution pour risque zéro,
Ne fonctionne pas : un peu de chance, il faut !
.
Maladie vous guette, vous prend, vous tient tout entier
D’un seul coup, belle machine se prend à dérailler :
On se perçoit trahi par son corps, se voit diminué :
On éprouve de la peine à marcher, ou à respirer.
Le repos, n’y fait rien, médicament ne guérit :
Pour aujourd’hui, demain, sera-ce l’agonie,
C’est alors que l’on repense à toute sa vie
Qu’elle fut belle, dure, facile : c’est fini.
Espoir seul fait vivre, on s’accroche,
On garde son bon moral en poche
Mourir à l’instant, trop moche,
Un joker et vite : on pioche !
C’est la chance, volonté,
Hasard ou … ténacité
Qui décide… santé,
Ou de décéder !
On transpire,
On respire,
Soupire,
Sauvé
Êtes
V
.
.
Extension
.
La maladie aurait de multiples
Causes, visages, et conséquences.
Il fut un temps, où, en médecine,
L’on soignait surtout l’organe incriminé
En altérant fonctionnement sain d’un voisin.
.
Puis on s’est intéressé au patient, dans sa
Globalité, en tentant de traiter ensemble
Du corps, et non plus qu’une partie.
.
Et puis l’on s’est appuyé sur l’esprit,
Conscience, participation volontaire
Du patient au travers suivi du moral.
.
Et on a pris en compte, son milieu où
Il vivait, le stress, qualité relationnelle
De ses proches, ses voisins et collègues.
.
Au final, cela fait beaucoup de paramètres
Dont est en charge son médecin, dit de ville,
Ou médecin traitant, généraliste, non spécialisé.
.
Les maladies évoluent, changent, se transforment :
Les thérapies aussi et il est aussi admis, de nos jours
Que si le patient ne participe pas à sa propre guérison,
Le pronostic serait moins bon, la guérison plus longue,
Parfois même jamais atteinte ou restera en rémission !
.
Nos relations sociales ont un impact positif sur notre santé
Sauf dans le cas où elles sont stressantes, et voire toxiques.
Comme pour une addiction au tabac, à l’alcool, drogue, etc.
La moitié du sevrage tient à soi, autre, moitié à l’entourage
L’on y consent autant pour quelqu’un que pour soi, sa santé.
Je ne suis pas médecin, alors, conseils, je m’en garderai bien,
Je constate que la médecine chinoise fonctionne différemment
Elle soigne le patient par prévention plus que par réparation !
De bonnes relations d’entourage et prévention sont bonne santé !
.
Je suis malade
Complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu’elle me laissait seule avec mon désespoir,
Nous chante Serge Lama, sur paroles d’Alice Dona.
.
Mais il s’agit plutôt, ici, de maladie dépressionnaire,
Avec versant psychique plus fort que physiologique
On parlera alors pour faire le lien entre les deux
De maladies psychosomatique : corps/esprit
En lesquelles le moral du patient est aussi
Important que les symptômes décelés.
.
.
Epilogue
.
« Tout homme bien portant est un malade qui s’ignore. »
Knock ou le triomphe de la médecine de Jules Romains.
***
C’est en partie vrai et en grande partie faux, santé oblige
Nous ne sommes pas tous des hypocondriaques névrosés.
***
Il y a des gens qui ont une belle constitution immunitaire
Au point de ne jamais ou presque, être malade : un chêne.
***
D’un autre côté, d’être malade, de temps à autre, renforcera
Nos défenses immunitaires, les réveillant comme un vaccin.
***
Il y a toutes sortes de maladies : certaines fréquentes, rares,
Et toutes sortes de moyens diagnostiques et thérapeutiques.
***
Certains médecins disent qu’on a en nous une pharmacopée,
Sollicitée sur demande, qu’excès de médicaments neutralise.
***
La motivation pour guérir fonctionne sur mode de résilience
Elle aide, parfois ne suffit pas, conflit entre Éros et Thanatos.
***
L’entourage aussi jouera son rôle qui s’avère non négligeable,
Et ce d’autant que la maladie sera percue comme héréditaire.
***
La maladie nous guette, et nous prend, et parfois, par surprise,
Tout le monde est susceptible d’un cancer, malgré précautions.
***
N’étant pas médecin, je m’en tiendrai donc à niveau généralités,
On peut se soigner soi-même mais au moindre doute : consulter.
.
.
1175 – Calligramme
.
La maladie M est un signe de bonne santé,
Si elle n’est pas A trop longue et de gravité
Et que l’on en guérit, L pour s’en protéger,
Jusqu’à ce que son corps A en dise : assez !
D
Le diagnostic, les soins, les I médicaments,
Ne suffisent pas tout seul à E en venir à bout,
Il faut la participation du * moral, du patient
Et sa volonté de lutter G pour ne pas sombrer.
U ……..
Mais il existe une E telle panoplie de maladies,
Qu’on se demande T comment on rester en vie
Comme toute précaution T pour risque zéro,
Ne fonctionne pas : un peu de E chance, il faut !
.
V O U S P R E N D, V O U S T I E N T
Maladie vous guette, vous prend, vous tient tout entier
D’un seul coup, belle machine se prend à dérailler :
On se perçoit trahi par son corps, se voit diminué :
On éprouve de la peine à marcher, ou à respirer.
Le repos, n’y fait rien, médicament ne guérit :
Pour aujourd’hui, demain, sera-ce l’agonie,
C’est alors que l’on repense à toute sa vie
Qu’elle fut belle, dure, facile : c’est fini.
Espoir seul fait vivre, on s’accroche,
On garde son bon moral en poche
Mourir à l’instant, trop moche,
Un joker et vite : on pioche !
C’est la chance, volonté,
Hasard ou … ténacité
Qui décide… santé,
Ou de décéder !
On transpire,
On respire,
Soupire,
Sauvé,
Êtes
V
.
.
Forme
.
Réduction
.
.
Évocation
.
.
En haut ce serait la maladie ;
En bas, le corps en bonne santé
Les deux pointent, et se guettent
Parfois combattent leur maux.
.
(P : forme pleine, = : rimes égales,
Z : le fond s’accorde ici à la forme)
.
Maladie et santé se combattent,
aucun de deux ne fait de stabilité
sans le malheur, bonheur n’existe
sans la maladie, la santé non plus
.
Dans le triangle jaune : la vie,
La santé, et l’humeur,
Et en triangle noir : les maux
Qui nous guettent, prend.
.
Symbolique
.
Les relations sociales auront
Un impact positif sur la santé
Selon les différents âges de la vie
Affirme une étude, aux États-Unis
Réalisée à partir de quatre enquêtes.
.
L’effet serait maximal à l’adolescence
Et chez les seniors, dans milieu de vie,
La qualité des liens sociaux importera
Plus que la quantité, tant les personnes
Bien entourées vivraient, généralement,
Plus longtemps. Chez les personnes âgées,
La solitude a un impact sur l’hypertension.
lessymboles.com/avoir-des-amis-est-bon-pour-la-sante
.
.
Fond
.
Évocation
.
.
En pointes rouge, la maladie
Qui nous guette, qui nous prend
Physiquement, affectivement,
Nous touche par ses maux.
.
Symbolique
.
Les maux d’estomac sont
Liés à nos contrariétés.
Les maux du foie sont liés
À un sentiment de colère.
Les maux du gros intestin
Signifient que nous retenons
Des choses, que nous avons
Beaucoup de mal à évacuer.
Et les problèmes respiratoires
Nous parlent de notre difficulté
À nous protéger monde extérieur.
Les problèmes de cœur, quant à eux,
Parlent de notre rapport au monde extérieur,
De l’insatisfaction ressentie quant à nos échanges.
Enfin, les allergies cutanées, respiratoires, parlent
Également de notre rapport au monde extérieur :
Sommes agressés, sur la défensive face à ce monde.
passeportsante.net/fr/Actualités/Dossiers/DossierComplexe.aspx?
.
.
Corrélations
Fond/forme
.
Mots pour maux, la maladie
Se diagnostique puis se décrit
En termes de soins à prescrire,
Évitant de se dédire, contredire.
Y a nombre de virus, saisonniers,
Pour lesquels des vaccins suffiront
À guérir vite, limiter complications,
Et surtout de graves hospitalisations
Qui peuvent entrainer incurabilités
Alors qu’au départ … bénignités !
.
.
Vaccins, médicaments
.
Scénario
.
La maladie vous prend le pouls et le plus clair de votre temps,
elle vous coûte cher, en angoisses, en soins, en médicaments, argent,
et elle restera tapie, comme assoupie, prête à renaitre, à nouveau, frapper.
.