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Enfant
Qui nait
Fait la joie
Des parents,
Tant tout il est
Un nouvel espoir
Nouvelle aventure,
Nouvel être sur Terre,
Nouveau rire, en maison.
Il est encore un prématuré,
Vu nombre de mois où il nait
De même qu’il est prématuré,
De savoir ce qu’il deviendrait,
S’il était né, ailleurs, d’autre cité,
De parents riches voire miséreux.
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L’enfant nait, comme une liesse,
Des parents, qui le reconnaissent,
Comme un être encore prématuré,
Qu’il faudra bien sûr accompagner,
Maintenant et, toute sa vie, durant.
L’enfant nait comme une promesse,
D’une aventure, et nouvelle adresse
De soins et d’amours à dispenser,
De craintes voire espoirs à cerner,
Ce n’est pas qu’une page blanche :
Ce ne sera pas, non plus, un ange.
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L’enfant nait comme tempérament,
Se transforme au contact de parents
En caractère qui s’affirme, s’oppose,
Mais, ce ne sont que jeux, qu’il ose,
Il sait qu’il sera soutenu et toujours,
Et qu’il est fruit d’un très bel amour
Enfant nait en ayant un beau destin
Que, peu à peu, et seul, il fera sien,
Parmi d’autres, son propre chemin,
Et ce, jusqu’à ce qu’il le sente bien,
Parents sont ainsi récompensés !
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Quoi, de plus beau, que de donner
La vie sinon que de la transformer
En valeurs, en bonheurs, en arme
Pour se défendre contre vacarme
Du monde lors quittant le cocon
Familial, où tout tourne rond.
Enfant, que je ne connais pas,
D’yeux noirs, verts, ou bleus,
Aux sourires, faciles, déjà,
Fait rire le frère anguille,
En charmante famille
Rayonnant joyeux
Il vous ouvre
Une porte.
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Extensions
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L’enfant nait comme liesse,
Et de parents qui l’ont désiré,
Et qui ne pensent qu’à le choyer
Comme le plus beau des cadeaux
Que la nature a offert pour passer
Le restant de leur vie sur la Terre.
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L’enfant rendra, toujours, ce qu’on
Lui donne, d’une manière ou autre
En présence, en soins, attachement,
Amusement, bien avant qu’il soit grand,
Et longtemps après avoir quitté ses parents.
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Il ne le donne pas en argent mais en sentiment,
En attachement, partageant enfants petits-enfants.
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L’enfant ne saura pas qu’en naissant,
Il fait une joie immense à ses parents,
Il se contentera d’être là, l’air content,
Comptant sur eux, mais, cela est animal,
L’un, l’autre comme son seul lien parental,
Qu’il ressent comme comportement normal.
Cette relation, de totale confiance, le grandit.
Il ne le sait pas bien encore, mais il y souscrit,
Et si on le laisse seul, on l’abandonne, il dépérit.
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L’enfant est loin d’être une page blanche
Ne serait-ce que par génétique, hérédité !
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Ensuite il reconnaitrait la voix de sa mère,
Il a déjà quelques expressions, émotions !
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Ensuite il décode la joie de ses parents,
Comme un bien être très réconfortant.
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Ensuite, il criera quand il aura faim,
Il pleurera en cas de gêne, abandon.
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Enfin, il observe tout l’entourage,
Sans compter l’environnement.
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768 – Calligramme
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Enfant
Qui nait
Fait la joie
Des parents,
Tant tout il est
Un nouvel espoir
Nouvelle aventure,
Nouvel être sur Terre,
Nouveau rire, en maison.
Il est encore un prématuré,
Vu nombre de mois où il nait
De même qu’il est prématuré,
De savoir ce qu’il deviendrait,
S’il était né, ailleurs, d’autre cité,
De parents riches, voire miséreux.
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L’enfant nait, E comme une liesse,
Des parents, N qui le reconnaissent
Comme un F être encore prématuré
Qu’il faudra A bien sûr accompagner
Maintenant N et toute sa vie durant.
L’enfant nait T comme promesse,
D’une aventure * nouvelle adresse
De soins et d’amours N à dispenser,
De craintes et d’espoirs, A à cerner :
Ce n’est pas qu’une page I blanche :
Ce ne sera pas non plus, T un ange !
.
L’enfant nait comme J tempérament,
Se transforme au O contact de parents
En caractère qui I s’affirme, s’oppose,
Mais, ce ne sont E que jeux, qu’il ose,
Il sait qu’il sera * soutenu et toujours,
Et qu’il est fruit D d’un très bel amour
Enfant nait en E ayant un beau destin
Que, peu à peu S et seul, il fera sien,
Parmi d’autres * son propre chemin,
Et ce, jusqu’à P ce qu’il le sente bien,
Parents sont A ainsi récompensés !
R ….…..
Quoi, de plus E beau que de donner
La vie sinon N que de la transformer
En valeurs, T en bonheurs, en arme
Pour se dé S fendre contre vacarme
Du monde * lors quittant le cocon
Familial, où tout tourne rond.
Enfant, que je ne connais pas,
D’yeux noirs, verts, ou bleus,
Aux sourires, faciles, déjà,
Fait rire le frère anguille
En charmante famille
Rayonnant joyeux
Il vous ouvre
Une porte.
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Forme
Réduction
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Évocation
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Une forme étrange
Comme une bactérie
Longue, et oblongue,
Une graine, unicité ?
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Une cellule, fécondée, unique,
qui se divise en deux, plusieurs
donnant naissance au meilleur
la forme épousera bien le fond
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Une graine d’humain,
Ça ne pousse pas en terre : en utérus.
Il y a loin d’une unicité
Cellule à des milliards, pour l’humain !
Symbolique
Pour mère nature,
L’essentiel est la graine,
Des graines ou des noyaux.
Du point de vue symbolique,
La graine, le noyau, c’est l’esprit.
La chair, c’est l’espace pour l’âme
Lors la peau, l’enveloppe matérielle,
Le corps physique, qu’on voit, touche.
L’homme véritable n’est pas le corps
Mais ce point imperceptible qui est là,
Quelque part au-dedans et qui pense,
Qui aime, qui crée et qui vit sa vie.
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Descriptif
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768 – L’enfant nait comme joie des parents
Alignement central / Titre serpente / Thème enfant
Forme en ovale / Rimes égales / Fond approché de forme
Symbole de forme : graine / Symbole de fond : unicité
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Fond
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Évocation
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Une graine d’humain,
Ça ne pousse pas en terre : en utérus !
Il y a loin d’une unicité
De cellule à des milliards, pour l’humain !
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Symbolique
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Le problème des rapports
De l’appareil neuropsychique
Avec le tout de tout l’organisme
Serait maintenant clairement posé
Grâce aux progrès ayant été réalisés
Dans recueils des connaissances des
Communication s… intercellulaires.
En dépit de la complexité des liens
Qui unissent les milliards de cellules
Constituant le corps de l’être humain.
Les deux caractéristiques … essentielles
Des êtres pluricellulaires sont unité, unicité.
Ces caractéristiques indissociables se retrouvent
À tous les niveaux et de structures et de fonctions,
Que celles-ci soient ou non qualifiées de psychiques,
Que l’on considère l’organisme simplement comme
Un ensemble intégré ou comme une personne.
cairn.info/l-homme-fou–9782130461623-page-151
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Corrélations
Fond/forme
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En culture biologie, il n’y aura pas
De bonnes ou de mauvaises graines
Il n’y aura que des graines tout court.
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C’est l’homme si ce ne sont les animaux,
Qui les séparent et puis les sélectionnent :
L’enfant ne sera pas la graine, sera est issu
De deux germes des parents, qui ont fusionné
Pour donner troisième germe mâle ou femelle,
C’est la loi de la nature qui prévaut et renouvelle.
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La joie au rendez-vous !
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Scénario
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Il est bien vivant, et curieux de tout, ce bébé,
ses parents sont, pour lui, des plus attentionnés,
et surtout sa mère qui ne tarit d’éloges à son sujet.
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