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Visuels suggestion de scénario
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Belle entrée, monumentale,
du jardin italien de Clisson.
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Le jardin intérieur et ses
perspectives de verdures.
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Le château fort de Clisson
avec le pont sur la rivière.
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Textuels calligramme / extensions
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- £ Il déborde sur les deux côtés de la Sèvre, à Clisson. Il serpente en nombreux méandres encaissés dans un vallon. Garenne, d’architecte « Lemot », d’italienne Ombrie. Il invite au voyage, à côtoyer ses rochers des plus alanguis, lorsque vous poussez sa porte, un monde de nature s’ouvre sur une retenue d’eau bruissante pour abreuver son moulin. Les statues romaines et les colonnades, que l’on découvre, font, de ce jardin romantique, un lieu comme orphelin ! Orphelin de la vie moderne, trépidante, si ne n’est même courante ! Ici, nos pas restent calmes, mesurés, lents et posés. Les arbres se penchent sur nous et sur notre destinée. Ce jardin fait de chaque pierre une présence murmurante. Un sentier suit le lit de l’eau, d’autres, plus haut, s’entrecroisent, se perdent comme en un chaos : chaos qui vous entraine en un monde nouveau, où votre âme résonne, où tout vous parait beau. Nous nous sommes perdus en ce jardin d’éden, perdus dans nos pensées, par nos pas évoquées, penchés l’un sur l’autre, face au temple de l’amitié à se rendre amants au pied de sa fontaine. Le temple circulaire de « Diane », tout en colonnades, inscrit sa majesté tourmentée en sa promenade. En chasseresse, elle n’en est pas moins tendresse et sa présence nous montre qu’ici rien ne presse. Une grande clairière, elle aussi circulaire, nous offre ses bancs et de belles opportunités pour apprécier le panorama, tout entier, de ces lieux privés de toute modernité. Ce jardin, sa villa, sa maison, son temple, ses sentiers, sont l’œuvre de quatre architectes passionnés, qui ont donné leur vie et leurs biens à sa beauté afin qu’il soit jusqu’à nos jours, préservé, intact. Nous l’avons découvert, au détour d’un pont de la Sèvre, au pied du château médiéval de Clisson.
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- + Il est des jardins qui vous prennent et vous surprennent bien plus encore que les châteaux ou manoirs qu’ils abritent. Le jardin de Clisson est de ceux-là, une pure merveille de la nature, à la fois respectée et magnifiée par des architectes romantiques qui ont voulu laissé ce témoignage de leur art. Il faut dire en plus qu’il faisait beau et doux et que la lumière et la verdure du mois de juin ajoutait encore une couleur de plus à cette palette d’humeurs indéfinissables qui résonnait de ses harmonies avec notre corps, cœur, esprit !
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- & Un jardin, sur flanc, de rivière, surplombant château : quoi de plus romantique et quoi de plus magnifique. Jardin comme une demeure des dieux de l’Olympe, où demeurent encore les parfums de ses nymphes quand on s’y promène, l’esprit et le cœur légers à la recherche d’un paradis perdu…retrouvé, tant on souhaiterait plus jamais le quitter. Diane, chasseresse y règne en maîtresse en son bain de frisottis roches et eau, qui nous donne douceur sur peau.
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- # Un jardin extraordinaire, comme il en existe très peu, avec des colonnades, à son entrée, majestueuses et une perspective en pelouses et arbustes taillés et le tout, bordé d’arbres d’essences diversifiées. Rien à voir avec le mien, de six cent mètres carrés, ici ce sont des hectares avec des zones spécialisées : l’une dans les ruines de temple romain, statuaire, d’autres en rochers, rocailles, et que sais-je encore. On s’y plait, on s’y perd, on va même à l’aventure, on peut y passer presque la journée, en sa nature, avec comme arrière-plan, la rivière et le château : forcément un jardin a besoin de présence d’eau.
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Textuels symboliques et corrélations
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Piédestal
- Symbolique de forme : Les architectes de l’époque de la Renaissance, d’abord italienne, puis française et puis ensuite européenne, considéraient que le piédestal faisait partie intégrante d’ordonnance des ordres d’architecture. Ils imposèrent, progressivement, une sorte de canon esthétique régentant les proportions de ces ordres, comme pour la corniche du piédestal formant les seuils des fenêtres ou la balustrade de galeries. wikipedia.org/wiki/Piédestal
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Statue
- Symbolique de fond : Une statue est un ouvrage en 3 dimensions représentant en entier un personnage, ou un animal, et réalisé dans divers matériaux : pierre, bois, plâtre, métal, plastique. On parle de statues pour des œuvres de taille moyenne (égale ou supérieure à la moitié de la taille naturelle, pour une sculpture d’être humain, à grande (la statue de la Liberté atteint 92 m de haut) ; une plus petite est appelée statuette. Wikipedia : statue
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Jardin > à l’anglaise, française, italienne, romantique
- Liens fond/forme : Un jardin à l’anglaise, à la française. Vous avez faux : rien qu’à l’italienne, romantique, s’il en est, par ses colonnades, ses statues, ses temples et autres monuments. On s’y promène, on s’y détend, on s’y délecte, comme si soudain, on effaçait le temps s’étalant en parterres de fleurs, ou de plantes. D’y rester le plus longtemps, vous tente, le tout le long de sa charmante rivière, avec, pour proche voisin, un château qui ne déméritera pas d’être visité : ainsi s’achève une journée de rêve.
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