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Rien de plus simple, sans peine,
Que faire du vélo en pédalant,
Lors, par réflexes, on freine,
Sinon, on se rentre dedans.
Les petits, devant, les grands,
Derrière, et à la queue leu leu.
Contraire de la famille canards,
Quoique petits en ont vite marre.
Impossible de démarrer sur place,
Il faut rouler, si l’on veut faire face,
Au déséquilibre qui vous entrainerait
Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !
.
Et toc ma chaine a sauté mon pneu crevé,
Manquerait plus que mes freins me lâchent
Pour que j’envoie ce maudit vélo, promener,
Voilà, je me trouve forcé, marcher à ses côtés.
.
Ça roule, ça déboule, ça s’écroule … ça déroule,
En chaussée privée, l’air fier, sourire aux lèvres,
Et soudain, c’est la course, à qui arriver premier,
Vélo, y a pas mieux en famille, pour l’ambiance.
.
Il y en a toujours, bien devant ou bien derrière,
Il est rare que, moyens, forces, soient à égalité,
Il y en a même qui n’arrêtent pas de dérailler
Et tous les autres s’arrêtent pour la dernière
.
Et puis, en chemin caillouteux, en VTT,
Si ce n’est boueux… en pentes raides,
L’important est d’abord d’avancer
Et de tenir, sur le vélo, en tête.
.
Coup de pédale, de frein,
Assis, debout sans fin,
Un vélo est moyen
S’amuser malin.
.
À deux, à un
Et autant,
Et sans
Fin !
.
.
Extensions
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Pour certains, faire du vélo,
Ce sera d’abord faire du sport,
Ce sera aller le plus vite possible,
Un chrono, tenir distance, cadence.
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Pour d’autres c’est avant tout un loisir
Lors peu importe la distance et l’effort,
Le plus l’important est de prendre l’air
Pour se dépenser un tant soit peu.
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Les deux ne sont pas incompatibles,
Mais on ne fait pas la même chose,
Le même parcours, avec un vélo
Tout terrain et course sur route.
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Dix kilomètres pour premiers,
Sur des chemins mal pavés,
Représente trente kilomètres
Parcourus à plat, pour les derniers.
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Crevaisons, sont de plus en plus rares,
Et les déraillements de la chaine, idem.
Un bon et solide vélo tient bien la route,
Comme l’on dit et il se prête volontiers
À toutes les facéties ou … presque.
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Le vélo, en famille, ou en groupe d’amis, et, voire les deux,
C’est un plaisir, à l’état pur : tout le monde sera heureux,
De partager, le chemin, la route, les moments, les rires,
Et de se lancer des défis, le long d’un chemin de halage,
Avant d’entamer copieux picnic pour restaurer énergie.
Où sont passés les contraintes, emmerdements, soucis :
Disparus momentanément, par séance de vidage de tête.
Nous aurions, pour les vélos, en pleine nature, une dette,
Dont nous devons nous acquitter pour être en bonne santé !
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324 – Calligramme
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Rien de plus simple, sans peine,
Que faire du vélo en pédalant,
Lors, par réflexes, on freine,
Sinon, on se rentre dedans.
Les petits, devant, les grands,
Derrière, et à la queue leu leu.
Contraire de la famille canards,
Quoique petits en ont vite marre.
Impossible de démarrer sur place,
Il faut rouler, si l’on veut faire face,
Au déséquilibre qui vous entrainerait
Nulle part ailleurs, qu’en fossé, exprès !
Et toc ma chaine a sauté V mon pneu crevé,
Manquerait plus que É mes freins me lâchent
Pour que j’envoie ce L maudit vélo, promener,
Voilà, je me trouve O forcé, marcher à ses côtés.
* ……….……..
Ça roule, ça déboule, E ça s’écroule… ça déroule,
En chaussée privée, N l’air fier, sourire aux lèvres,
Et soudain, c’est la * course, à qui arriver premier,
Vélo, y a pas mieux F en famille, pour l’ambiance.
A ………….
Il y en a toujours, bien M devant ou bien derrière,
Il est rare que moyens, I forces, soient à égalité,
Il y en a même qui n’arrê L tent pas de dérailler,
Et tous les autres s’arrêtent L pour la dernière
E
Et puis, en chemin caillouteux, en VTT,
Si ce n’est boueux… en pentes raides,
L’important est d’abord d’avancer
Et de tenir, sur le vélo, en tête.
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E S T U N V R A I
Coup de pédale, de frein,
Assis, debout, sans fin,
Un vélo est moyen,
S’amuser malin.
.
P L A I S I R
À deux, à un
Et autant,
Et sans
Fin !
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Forme
Réduction
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Évocation
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Une plume d’un stylo à encre,
Un pendentif ou boucle d’oreille,
Une pointe de lance ou de flèche,
Ou alors une amphore ancienne.
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Amphore est loin de vélo en famille
je ne vois pas, avec une, en panier
je préfère provision de nourriture,
ainsi la forme diffère bien du fond
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En voilà une belle amphore
Bien que des plus communes :
En groupe, seront nombreuses
Très proches ou presque collées.
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Symbolique
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L’amphore est,
En Antiquité
Le récipient
Le plus utilisé
Pour le transport
De produits de base :
Le vin, l’huile, la bière,
Ou de sauces de poissons.
Parfois, elle sert de cercueil
Pour une sépulture d’enfant.
Enfin, on la jettera souvent dès
Que son contenu est consommé :
C’est ainsi que le Mont Testacio
S’est formé de l’accumulation
De débris d’amphores
Ville de Rome.
Wikipédia
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Descriptif
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324 – Vélo en famille : un vrai plaisir !
Alignement central / Titre courbe / Thème vélo
Forme pointe / Rimes variées / Fond éloigné de forme
Symbole de forme : amphore / Symbole de fond : groupe
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Fond
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Evocation
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En voilà une belle amphore
Bien que des plus communes :
En groupe, seront nombreuses
Très proches ou presque collées.
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Symbolique
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Le 26 février 2000,
Groupe de vingt cyclistes
Était fauchée par une voiture
Roulant trop vite sur une route
À la sortie du village de Vauvert.
Bilan : 4 morts avec 17 blessés.
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Le collectif des cyclistes gardois,
Créé pour soutenir les victimes,
A édité un maillot souvenir et qui
Rappelle toutes règles de sécurité.
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Tous les ans, les cyclistes du collectif
Se rendent sur la départementale 135,
Pour rendre hommage à tous les victimes
De l’accident du dimanche 26 février 2000.
france3-regions.francetvinfo.
fr/occitanie/gard/cyclistes-tues-vauvert
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Corrélations
Fond/forme
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Aucune amphore, seule ou en groupe,
Ne pourra faire évoquer un, ou des vélos
Même faisant des efforts, on est d’accord.
Ce qui compte ici, c’est la famille, non objet
Le père, la mère, le fils, la fille, les cousins,
Chacun avec un vélo, pareil ou différent !
Quoiqu’il en soit, il faudra rester visible
Éviter se faire heurter par chauffard
Comme dramatique histoire 2002.
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Conciliabule avant départ
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Scénario
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Un, deux trois, et l’on s’arrête, pour mieux lire les panneaux,
lors étant quatre, cinq, on utilise toute place chemin de halage,
qu’on soit six, sept, huit, l’heure du picnic ou de sieste, qui sait ?
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