723 – Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent !

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Visuels suggestion de scénario

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Certains hésitent, ont peur

de s’engager avec l’autre,

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d’autres n’y verront qu’un sujet,

un objet purement publicitaire,

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lors d’autres traiteront les femmes

en pervers narcissiques fétichistes.

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  Les hommes ne savent pas, ou bien, ils ne savent plus, ce qu’ils veulent,  désirent, ils confondent, amour, plaisir, la femme étant tout à la fois objet et sujet, d’un processus qui les attire, ou qui les rejette, de peur, non pas de se tromper mais bien de l’être, et à égalité. L’idéal féminin, fait de soumission et mâle domination battue en brèche, les perturbent, en la détermination d’un choix de femme à leur niveau  lors c’est dans l’égalité ou différence que se joue l’intensité et la permanence. Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent : lors il s’attache à une femme même par jeu, autre, il ne sait qu’en faire mais reste envieux. Envie, désir, besoin, sexe, tromperie, jalousie, une sémantique que l’on nous distille à foison, avec pour but d’élargir, restreindre la liberté : pommes de discordes, d’amours, de poisons, l’un se retrouve en enfer et l’autre en paradis pour crime d’infidélité, ou excès de félicité.   Car, si c’était l’homme qui faisait la femme, ce serait, parfois, la femme qui le défait : même si c’est le couple, amour, sésame, car, l’un dans l’autre, rien n’est parfait. Pendant que l’homme prend la femme, la femme le comprend et l’enflamme, ils sont en interaction pour atteindre des points culminants à enfreindre. Le véritable amour serait ailleurs, et, le chercher au fond d’un trou, ou devant lui, se mettre à genou, n’enchaine pas un vrai bonheur : chercher mais où ailleurs c’est où, car il n’est nulle part et est partout ! Ce serait l’homme qui fait la femme, un tant soit peu, et réciproquement, ce serait l’enfant,  qui fait le parent, cœur, corps, esprit, sexe, puis âme ! Voir, écouter, sentir, toucher, goûter : les voilà bien nos cinq sens corporels et friands de sensations émotionnelles, pour combler un grand vide existentiel, nous empêchant de vivre non de rêver, et amour fait naître sentiment d’amitié pour le rendre désormais permanent : l’un recevant, quand l’autre donnant, égalité et évolution, en même temps : l’un et l’autre, vont, en s’équilibrant. Femme n’est pas l’envers de l‘homme, elle est  en tout, également  son complément, c’est bien l’homme qui fait la femme, la femme fait l’homme et réciproquement.

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  • + Les hommes ne savent pas souvent ce qu’ils veulent, mais les femmes savent toujours ce qu’elles ne veulent pas ! Si ce n’est le contraire : il n’y a pas de loi générale ni universelle d’une  telle différence entre les deux sexes, c’est aussi et surtout une question de caractère et d’éducation, de culture et civilisation. L’égalité en tout est un leurre et n’a pas lieu d’être comme si l’homme et la femme seraient interchangeables : ils ne le sont et il ne le faut pas, différents mais complémentaires, reste naturel !

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  • &  Les hommes ne savent pas ce qu’ils veulent, de nombreuses femmes, non plus : c’est la vie. Tout dépend de ce que l’on attend de l’autre et de ce qu’il pose, propose et voire impose : relation amoureuse, un contrat compose !

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  • # Les hommes demandent en mariage, ils font même une belle déclaration en offrant bague d’alliance, sacrée. Les femmes demanderont le divorce, des hommes ont peu de courage pour cela : s’il trompe, il n’arrive pas à choisir.

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Textuels symboliques et corrélations

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Homme

  • Symbolique de forme : Les symboles de la masculinité évoluent avec le temps et selon l’endroit du globe où on se trouve. On retrouve des symboles phalliques aux temps reculés de notre histoire. Ces symboles représentaient, à la fois, la virilité, et la fécondité de l’homme. En Europe, lors  de la  christianisation, ils ont, peu à peu, disparu, trop associés, purement, et simplement, à l’acte sexuel.     over-blog.com/Quel_est_le_symbole_de_lhomme_

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Volonté

  • Symbolique de fond : La volonté peut, d’une part, valider et voire  confirmer un désir : Je désire si fort réussir à réaliser un objectif que je dis le « vouloir ». Ce qui n’est pas le cas pour de simples souhaits voire de vagues désirs. Elle peut, d’autre part, s’opposer à certains désirs : je désire dormir or je veux cependant, d’abord, finir un travail, ce qui me pousserait à agir à l’encontre de mon désir spontané. La volonté permet ainsi d’effectuer une sélection entre nos désirs, et de choisir d’en accomplir certains d’entre eux et donc de renoncer à d’autres. La volonté apparaîtra donc comme la reprise ou la « sublimation » d’un désir au niveau de  l’intelligence ou de la raison. En ce sens, elle est plus réfléchie et moins spontanée que le désir seul. wikipedia.org/wiki/Volonte (philosophie)#Desir et_volonte

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Égalité >

  • Liens fond/forme : Pas moins de treize définitions dans le Larousse. Et il n’y en a que six pour femme. Allez-vous y retrouver avec cela : La femme ne serait-elle que moitié. Un faux débat, s’il en est : égalité ! On confond parfois homme et mâle. Synonymes : hardi, vigoureux, viril. Kipling Tu seras un homme, mon fils.  Est-à-dire le contraire d’efféminé !

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