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Si Dieu n’existait pas,
L’homme l’aurait inventé
Afin de pouvoir décharger en lui
Les peines qu’il n’a pas méritées,
Elles sont imposées par hasard,
Pour bien le remettre à l’épreuve
Et cela, même si de paradis, enfer,
Nous n’avons moindre de preuves.
Il nous faut croire en des choses
Immatérielles, voire invisibles,
En des promesses des vérités
En des mystères indicibles,
Notre vie avec notre âme
Est le projet d’amour,
Étincelle spirituelle
Nous serait donnée
À notre naissance
Et venant de qui :
Du Grand Éternel.
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Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,
Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :
La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite
D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre et qui lui serait dû !
Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,
On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :
Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !
Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.
À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,
Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,
Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le prouver.
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Qu’est-ce que je risque à croire que le pari de Pascal est le bon.
Qu’est-ce qu’une belle âme : un être paré des belles intentions,
Mais l’enfer, comme chacun le sait en est pavé, jusqu’au fond,
Jugez «en votre âme et conscience» dit-on aux jurés d’assises,
Rien en ce monde, ne ressemble, peu ou prou, à terre promise.
Pour les uns, notre âme est cachée au tréfonds de notre être,
Pour d’autres est tapie en notre regard comme dans miroir,
Pour certains, vous la caresserez, à fleur de peau, peut-être :
Elle peut se trouver partout, nulle part ni blanche ni noire.
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Catholique, islamique, bouddhiste, animique ou mystifiée,
Les religions se vaudraient toutes par le principe du sacré,
«Sacré Pater» et «Sacré Ave», hommes, femmes, imaginés
Pour qu’on puisse mieux les représenter, les chérir, adorer.
Dieux, religions, ne sont pas vierges de sang sur leurs mains
Que de guerres, que de morts ont été perpétré en leur nom,
Pourquoi faut-il se convertir, défendre telle ou telle religion
Prophétisant bon lendemain, tout en violentant le prochain.
Chacun en définitive, est libre de croire, en ce, en qui, il veut,
Avant tout, l’important n’est-il pas qu’il passe sa vie, heureux,
Et qu’il se cherche son propre chemin de vie, droit, tortueux,
Pour qu’à la fin, il se dise, je le referais encore, nom de Dieu.
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Extensions
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Une belle âme : qui dit cela de quelqu’un, quelqu’une ?
Personne, mis à part lorsqu’il s’agit du fait religieux !
On dit pourtant que l’âme n’est pas liée à la religion
Mais bien plutôt an principe de vie qui nous agit.
Serait-elle invention de l’homme pour se sauver
De sa condition animale lui collant à la peau,
Et pour quelle intention, pour quel paradis.
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L’intention dépend plus de la conscience
Que de l’âme dont on ignore l’existence,
Sinon le contenu et voire les contours,
Que ce soit en raisons ou en amours.
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On nous parle d’une hauteur d’âme,
Quand l’intention est belle, humaine,
C’est-à-dire totalement désintéressée,
Comme si, par elle, par le bien, dictée !
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1101 – Calligramme
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Si Dieu n’existait pas,
L’homme ? l’aurait inventé
Afin de pouvoir ? décharger en lui
Les peines qu’il n’ ? a pas méritées,
Elles sont imposées ? par hasard,
Pour bien le remettre ? à l’épreuve
Et cela, même si de pa ? radis, enfer,
Nous n’avons moindre ? de preuves.
Il nous faut croire en ? des choses
Immatérielles, voire ? invisibles,
En des promesses ? des vérités
En des mystères ? indicibles,
Notre vie avec ? notre âme
Est le projet ? d’amour,
Étincelle ??? spirituelle
Nous serait donnée
À notre naissance
Et venant de qui :
Du Grand Éternel.
Notre âme s’accroche et nous nous quitte plus,
Sauf à notre mort, pour aller où, et quoi faire ensuite :
La religion répond : au Paradis pour qu’enfin elle profite
D’un bonheur qu’elle a perdu sur terre, et qui lui serait dû !
Mais voilà, chaque dieu a son mystère et lequel est…le bon,
On me dit que c’est inscrit dans les écrits : versets, refrains :
Chaque religion serine : «lutte contre le mal et fais le bien» !
Ce sont des productions humaines… on connaît la chanson.
À qui se fier, se confier ou se lamenter si tout cela est bidon,
Serons-nous plus avancés d’avoir, sur le néant béant, misé,
Rien ne nous est confirmé, personne n’est venu le prouver.
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Qu’est-ce que je risque à croire Q que le pari de Pascal est le bon.
Qu’est-ce qu’une belle âme : un U être paré des belles intentions,
Mais l’enfer, comme chacun le sait ‘ en est pavé, jusqu’au fond,
Jugez «en votre âme et conscience» E dit-on aux jurés d’assises,
Rien en ce monde, ne ressemble, peu S ou prou, à terre promise.
Pour les uns, notre âme est cachée, au T tréfonds de notre être,
Pour d’autres est tapie en notre regard * comme dans miroir,
Pour certains, vous la caresserez, à fleur U de peau, peut-être :
Elle peut se trouver partout, nulle part N ni blanche ni noire.
E
Catholique, islamique, bouddhiste, * animique ou mystifiée,
Les religions se vaudraient toutes B par le principe du sacré,
«Sacré Pater» et «Sacré Ave», E hommes, femmes, imaginés
Pour qu’on puisse mieux les L représenter, les chérir, adorer.
Dieux, religions, ne sont pas L vierges de sang sur leurs mains
Que de guerres, que de morts E ont été perpétré en leur nom,
Pourquoi faut-il se convertir, * défendre telle ou telle religion,
Prophétisant bon lendemain, Â tout en violentant le prochain.
Chacun en définitive, est libre M de croire, en ce, en qui, il veut,
Avant tout, l’important n’est-il E pas qu’il passe sa vie, heureux,
Et qu’il se cherche son propre ? chemin de vie, droit, tortueux,
Pour qu’à la fin, il se dise, je le * referais encore, nom de Dieu.
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Forme
Réduction
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Évocation
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Une forme avec une tête
Mais qui voilerait son âme
En haut et un corps évoqué
En bas comme d’un fantôme !
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(forme stylisée, rimes égales,
le fond s’accorde à la forme)
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Si la tête et l’âme vont bien ensemble
le corps y participe aussi évidemment.
de toute façon âme, point d’interrogation
tant et si bien que la forme épouse le fond.
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Elle m’appartient, elle me tient tête,
Compagnie, me survit.
Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme
Une bonne âme ?
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Symbolique
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Le mot âme évoque
Un pouvoir invisible :
Être distinct, partie d’un vivant,
Principe de vie, d’organisation, d’action.
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Par son pouvoir mystérieux, elle suggère
Une force supranaturelle, un esprit,
Un centre énergétique.
Affirmée par la religion,
Rejetée par la science
L’âme est une imposture.
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Pas d’âme au bout d’un scalpel.
Elle est acceptée comme évocatrice
D’une invisible puissance et provocatrice
D’un savoir, d’une croyance ou d’un rejet.
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Fond
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Évocation
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Elle m’appartient, elle me tient tête,
Compagnie, me survit.
Qu’est-ce qu’une âme, une belle âme
Une bonne âme ?
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Symbolique
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Tête est la partie
Qui domine le corps,
Le siège de la pensée
Et de la communication.
Elle symbolise : l’identité,
L’émotion, et l’intelligence,
La communication, la volonté.
Partie du corps la plus sensitive.
En effet, elle concentre la vue, l’ouïe,
L’odorat et le goût, partie du corps qui
Renferme le cerveau, le siège de la pensée
Contrôle de l’ensemble des comportements.
La tête est donc la partie la plus importante
Et de loin, la plus complexe de tout le corps.
Représente l’interface entre le monde
Extérieur et la réalité intérieure.
Source : 1001symboles.net/
symbole/sens-de-tete
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Corrélations
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Fond/forme
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La tête est perçue comme étant le siège de «l’âme»
Et beaucoup d’autres organes, processus, facultés,
Et sans qu’aucun neurologue n’ait su où la placer :
De là à dire qu’elle est belle si on ne sait pas même
Ce que c’est où elle est, ce qu’elle fait, si nous survit,
C’est comme si on savait tout sur l’avant-Big bang.
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Peut-être y a-t-il confusion entre âme et conscience
D’un côté, et entre science et conscience, de l’autre !
De même que nous avons cerveau gauche, rationnel
Et cerveau droit, poétisée, émotionnel, imaginaire
Et un corps calleux, au milieu, connectant les deux.
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Vision un peu simpliste, voire mécaniste, s’il en est,
C’est un mythe sui perdure, tout comme notre âme
Comme nous ne pouvons guère nous passer d’eux,
Nous persistons à les croire voire à les renforcer.
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Intention est-elle en clé avec âme
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Scénario
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Fille à qui on donnerait le bon Dieu et sans confession …
Symboles du même Dieu et religions monothéistes ennemies.
Belle âme ne laisserait entrevoir que son reflet de lumière.
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