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Visuels suggestion de scénario
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La montagne en hiver avec la neige
et la glace sur un piton rocheux.
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La montagne en été, au même endroit,
avec ses herbes de pâturage.
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Plus bas, une végétation d’été,
spécifique, abondante, bien fleurie !
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Textuels calligramme / extensions
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- £ La montagne, en été et en hiver, sur, un même lieu : deux pays différents, passant de tout vert en l’été à tout en blanc en l’hiver. Elle passe aussi de plus trente à moins de vingt degrés dehors : cela procure des caractères trempés, à force d’être isolés longtemps. Toute montagne, pendant tout l’été, offre des ombrages boisés sur ses sentiers aux randonneurs et aux explorateurs qui la parcourt, partout à loisir pour combler un rêve désir de ravir mont en hauteur. La montagne, pendant l’hiver, offre un monde étrange à l’envers à tous les raquetteurs, tous skieurs, pour marcher, glisser, à cœur joie, en sa neige épaisse qui nous poudroie, donnant au corps, un vrai, pur bonheur. Tout autant montagne en été et en hiver seront deux paradis, et non deux enfers. Monde à l’endroit, ou monde à l’envers, d’y grimper, on en est toujours fier et, d’arriver, enfin, tout au haut, soulagement n’est pas trop, lors montagne de vers, montagne de prose, est effort certain, et pas compose, sur beau sentier, vous pose, vous repose, au-dessus de la mêlée. Ses accès sont plus aisés, en plein été qu’en plein hiver car, quand un col est fermé, parfois, vous y restez coincés : rassurez-vous, y a de quoi faire, vous n’allez pas vous y ennuyez !
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- + La montagne l’été, pour moi, c’est pour randonnée : une montée par-ci une crête par-là ; une boucle par-ci, un lac par-là, etc… quand ce n’est le tout d’affilée en cinq jour, d’un col à l’autre, d’une vallée à l’autre, en passant par les refuges et parfois des villages hauts-perchés. La montagne en hiver, c’est la glisse avec tire-fesse, eh, oh, hisse et dix fois recommencer sauf à explorer un domaine qui ‘en finit pas d’offrir des descentes variées en alternance avec le verre de vin chaud en auberge de montagne sur les hauts plateaux. La saison, l’été dure deux mois, à peine tandis qu’’en hiver, elle s’étale sur quatre. En intersaison, il y a moins de monde, la montagne est à vous, tout seul ou presque, que ce soit pour marcher ou pour skier. La montagne en été ne vous coute rien, hormis la location, en hiver, un bras, tellement les remontées et les forfaits coûtent cher, en plus des locations en vacances d’hiver. Y vivre à l’année est un challenge ouvert…
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- & C’est peu dire, qu’il y a une différence entre été hiver en montagne : ce n’est pas le même climat ni même végétation ni même activités. Chacun préfère sa saison, chacun préfère sa moisson d’émotions ! C’est un peu comme la marée en Bretagne, ça change le paysage. Ici au printemps, fonte des neiges ; en Bretagne, les tempêtes. Comparaisons s’arrêtent là : la mer, en Bretagne, c’est plat. Les deux sont attrayants en toutes saisons : randonner en vallées, sur les pics l’été, est aussi plaisant que skier, en hiver avant de rentrer boire un vin chaud.
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- # Sur photos, on voit bien la différence entre montagne, en été et en hiver : on se demande si c’est même lieu, si ce n’est pas le mont d’à côté ! Je ne saurais le dire, en réalité, laquelle je préfère, en été, hiver, tant sont différentes, contrastées : elles me paraissent aussi altières.
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Textuels symboliques et corrélations
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Coupe
- Symbolique de forme : La coupe est un symbole cosmique. L’œuf du monde coupé en moitiés, deux coupes opposées : l’une, celle du Ciel, est l’image du dôme ; l’autre, celle de la Terre est l’image de la coupe réceptrice. C’est pourquoi la coupe est associée au croissant lunaire, ou à la barque, en tant que réceptacle des énergies célestes. Le symbolisme de la coupe revêt autres aspects : celui du vase d’abondance et du vase contenant le breuvage d’immortalité. echange-spirituel.kazeo.com/la-coupe-et-son-symbolisme
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Montagne
- Symbolique de fond : La montagne a provoqué, chez l’homme, quantité de sentiments contradictoires. Interdite, promise, refuge des ermites, siège des combats entre les Titans et les Dieux, entre les Archanges et les Dragons, lieu de l’immortalité, colline de la pureté, le centre et le sommet du Monde. Génératrice de paniques comme d’exaltations, la montagne suscite, depuis toujours, le sentiment d’un univers qui échappe à l’échelle humaine. Proche des cieux, éloignée de l’ordre humain, elle est le point de rencontre, privilégié, entre le Ciel et la Terre. Elle reste le lieu le plus bas pour les dieux et le plus élevé pour les hommes. le-symbolisme-de-la-montagne
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Saisons >
- Liens fond/forme : Seul fait de grimper au sommet d’une très haute montagne, mérite bien une coupe, je veux dire trophée et que cela se fasse en été ou en hiver, n’y pourra rien changer tant c’est dur. Conditions, équipements, entrainements, sont diffèrent mais c’est bien la montagne qu’il faut affronter pour espérer la dominer sans y laisser sa santé et même voire sa peau.
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