360 – Première, courte randonnée

<< Calligramme et symboliques 

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Visuels suggestion de scénario

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Une allure d’allée couverte d’arbustes

sauvages se profilant en montant ;

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plus en hauteur, la même mais avec

une végétation sèche et tombante ;

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arrivés à destination sur les bords

d’un cirque, c’est le moment pic-nic.

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Textuels calligramme / extensions

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  • £ Facile, sur le papier, facile, sur une carte. Facile, par les sentiers, facile, avec les pancartes. Au début, nous avons le pied léger, moins en grimpant  vers les montées. Lors de la descente, nous avons cœur fatigué mais entrain nullement altéré. Même quand une pente très raide ralentit notre marche en la rendant plus lente.  Des racines nous font, parfois, trébucher et nous faisons alors attention à ne pas glisser. Une petite pause est la bienvenue pour nos biscuits Petit-Lu,  et, boire de l’eau ne sera, pas, non plus, superflu ! Nous n’avons pas fini, nous ne sommes pas d’ici, encore trois heures de marche, le courage est parti. Nous traversons quantité de bois et de sous-bois, nous longeons quelques haies de plantes, fleurs des bois. Toutes ces végétations luxuriantes de la fin de l’été, mettent nos yeux en émois et nos cœurs aux abois. Une dernière pause s’impose avant d’attaquer la dernière montée : casse-croûtes et bouteilles d’eau commencent à nous peser. Oh hisse, on s’arrache, on s’agrippe, à quatre pattes, pour grimper. On sue, on suffoque, on expire et on soupire mais cette fois, on y est. Au bout d’un haut sentier, en plein milieu de la randonnée, il ne nous reste plus qu’à redescendre, quelque peu fatigué. Notre journée aura été très longue, dès six heures levés mais à aucun moment nous ne songeons à la regretter. Facile sur le papier, plus dur sur la montée telle est et sera désormais notre sort de randonneurs réunionnais.

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  • + Une mise en jambes, avant d’attaquer les plus longues et hautes randonnées, s’avère plus que nécessaire, vital, à l’arrivée. Quand vous débarquez dans une station de si, en hiver, vous n’attaquez pas d’emblée une piste noire, prenant le risque de vous casser de passer votre semaine à l’hôpital. Pour la marche, c’est pareil, bien qu’en moins dangereux, moins violent. Le corps s’habitue peu à peu à endurer de mieux en mieux, à se dépasser, à se surpasser jusqu’à vous faire comprendre le moment, l’endroit où il serait bon de souffler ou parfois de s’arrêter. La chaleur et la fraîcheur compte autant que la longueur et la hauteur. De la randonnée. Boire est un impératif absolu car au-delà de trente-cinq degrés, le corps se déshydrate nettement plus vite, faire une pause pour grignoter retarde l’hypoglycémie.

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  • & Première randonnée sera une d’échauffement, acclimatation. Elle ne sera pas trop longue, pas trop haute, et pas trop fatigante. Un sac léger sur le dos, contenant rien que le pic-nic et boissons,  Une marche non rapide avec des arrêts fréquents pour souffler. Il  y a quand même et avant tout décalage, déphasage, horaire  à compenser et ce n’est pas en forçant que l’on va y arriver ! On risquerait de plus de se faire des ampoules ou entorse.

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  • #  Faut se mettre en train, sans se forcer : dix kilomètres, premier jour, c’est assez, vingt nous auraient cassés les genoux et les pieds, En plus des trois heures d’horaire décalé avec métropole et un coucher fort tard, on est un peu zombies, dans le coltard :  mal réveillé, lors en état de somnolence, randonnée ne doit pas être pénitence !

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Textuels symboliques et corrélations

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Fleur du poirier

  • Symbolique de forme : En chine, la fleur du poirier est symbole du caractère éphémère de notre existence, tant elle est perçue comme fragile. En occident, en notre univers onirique, la poire serait un symbole érotique féminin. Les noms qu’on lui a donnés, au fil  des siècles, en témoignent assez bien : comtesse d’Angoulême, belle lucrative, doyenne comice, duchesse Orléans. Galien y voit le fruit le plus propre à désaltérer, et de fait l’expression populaire qui est de  » garder une poire pour la soif  » n’est pas dénuée de sens.  patybio.over-blog.com/article- petite-histoire-de-la-pyra-ou-poire

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Fruits exotiques

  • Symbolique de fond : Il est assez courant de se voir dans des jardins fruitiers ou bien même devant un potager, dans ses rêves. Il est possible aussi de voir apparaître des fruits exotiques mûrs et appétissants en sa vision. Tout cela n’est évidemment pas dû au hasard. Tous ces fruits et légumes ont un sens au niveau symbolique, spirituel. crystallia.unblog.fr/symbolique -des-fruits-et-legumes

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Randonnée > découvertes,

  • Liens fond/forme : Les poires et les fleurs de poiriers, pour sûr, seront des plus communes lors fruits exotiques sont découvertes, pour un métropolitain, de la Bretagne.  On en voit en certains magasins spécialisés, mais pas sur des plantes, arbres, pousser. C’est un  vrai plaisir que de pouvoir les cueillir, en saison ou les acheter sur les étals locaux. Des ananas Victoria, mangues et bananes, letchis,  longanis,  papayes,   goyaviers, anones, jusqu’aux fruits de la passion, et j’en passe…  tant il y en a, y en a !

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