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Visuels suggestion de scénario
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Elle s’occupe de divers comptages, de
quelque chose à contrôler, budgéter.
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Et lui, peaufine sa dernière recette,
et qu’il pense originale, de cuisine.
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Elle, ne s’embarrasse de rien ni de
personne pour bricoler à son aise.
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Textuels calligramme / extensions
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- £ En principe, la liberté même, en réalité, contrainte extrême : entre ce que je veux, et je peux, il y a un gap à franchir, sinon deux : rien n’est simple ni acquis d’avance, rien ne se fait, tout seul, avec aisance. Abandonner le désir est sagesse suprême, c’est renoncer aussi à ceux qu’on aime pour se fondre dans « le grand tout » dont on ne connaitrait rien du tout. Chacun fait ce qu’il veut, ce qu’il peut, chacun sait ce qu’il a connu et en a retenu. Chacun forme des désirs voisins, voire opportuns, tant et si bien qu’on croit que chacun a des plaisirs communs. Or il n’en est rien, car en fait, plus d’un, plus d’une, rêve d’un sort empreint de songes qui proviennent des plaisirs de l’enfance tant ils sont renouvelables, indéfiniment. C’est souvent dans la répétition du même que le plaisir atteint son point extrême. Nos passions naissantes perdent leurs racines lorsque leurs réalités se déprécient. Autant par son corps, que son esprit, tout ce que l’on aura adoré et repris, n’excite plus un jour notre appétit : c’est alors que l’on dit que c’est fini, on a tourné la page ! Chacun s’attache à ses propres envies, chacun s’acharne à justifier son avis. Et, si la réalité le contre, si la réalité le fuit, il n’en fera jamais, pour autant, l’économie. Car abandonner ses désirs, ne se fait qu’avec une sagesse certaine ou infinie quand le constat de réalité fait qu’on ne trouve, qu’on prend, même plus, le temps d’en rêver.
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- + Chacun fait ce qu’il veut ou fait ce qu’il peut : certains se contentent de petits plaisirs répétés chaque semaine, d’autres entreprennent, sur l’année, une grande réalisation. Quant à réaliser un rêve d’enfant qui vous prend quatre ou cinq ans, c’est un tel investissement, sans certitude, à la fin que cela convient, que peu de gens tente une telle aventure. Constructeur, aménageur voilier initiant à quarante ans un chantier de trois à cinq ans, lorsqu’il prend la mer, certains poursuivent leur passion et d’autres y renoncent. Plaisir de faire, plaisir de posséder, plaisir de naviguer, plaisir de partager, plaisir d’impressionner, plaisir de durer : tous ces plaisirs se mélangent pour un seul désir : la liberté. Le désir se transformant en contrainte, le plaisir en astreinte, ne pourront satisfaire ni celui qui veut, ni celui qui peut !
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- & En majorité des couples, les tâches ont partagées. L’un s’occupe des courses, et l’autre, de la cuisine. Mais il arrive que, l’un sache, et veuille, tout faire, il fonctionnera alors comme s’il était célibataire. Est-ce que deux célibataires est mieux qu’un seul ! Chacun en son couple, fait veut qu’il veut ou peut. L’essentiel est de na pas le faire en double ou pas. Etre interchangeable en tout, serait un avantage, l’homme cuisine et la femme bricole : n’est-ce pas plus moderne ?
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- # « J’aurais voulu être … un artiste / Pour faire du laid, pour faire du beau / Pour pouvoir dire pourquoi j’existe / Oui, oui, oui. Merci beaucoup » Paroles et musique au cœur, par dizaine de chanteurs, en font un tube d’auteurs, pour reprendre hauteur. Certains disent qu’on aura fixé la barre… bien trop haut, qu’on a atteint le plafond de verre : vaut mieux se limiter à ce qu’on peut. Moi je pense que quand on peut, on veut, pas le contraire bien que dicton proclame que «qui veut la fin veut les moyens» : faux, la fin ne justifierait jamais tous les moyens !
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Textuels symboliques et corrélations
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Choix (de vie)
- Symbolique de forme : Un choix de vie résulte de la décision d’un individu ou d’un groupe, confronté à une situation ou à un système offrant une ou plusieurs options. Le terme « choix » pouvant désigner le processus par lequel cette opération est menée à bien et/ou le résultat de l’opération. En philosophie, la question de savoir si un individu effectue des choix librement ou est déterminé, renvoie au problème de l’existence ou non du libre arbitre. Wikipédia : choix de vie
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Pèlerin
- Symbolique de fond : Le pèlerin est une personne qui entreprend un voyage avec dévotion jusqu’à un sanctuaire. Il symbolisera le cheminement tout autant que quête spirituelle. Le pèlerin prend du recul par rapport à ses préoccupations quotidiennes en se posant des questions existentielles. Il devient étranger à son environnement et à lui-même. Aussi, les épreuves rencontrées sur le chemin de pèlerinage, montagne, désert, symbolisent la série des épreuves de sa vie. Source : 1001symboles.net/symbole/sens-de-pelerin
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Décision > chacun, savoir, vouloir, pouvoir, but
- Liens fond/forme : toute décision semble appartenir à chacun mais sans en être certain, tant, de savoir, de vouloir, et pouvoir, dépendra des buts que l’on s’est fixé. I y aura des projets qui avortent et autant de rêves qui capotent et, dans la vie, leur cohorte frappe encore à la porte : au final, ce que l’on peut, filtre ce que l’on veut.
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