766 – Printemps supprime ce qui nous déprime

Visuels et textuels  >>

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Le printemps a toujours été le signe

Du renouvellement  de la sève  de vie,

Et du temps, sans compter des amours.

L’hiver  s’en va et, avec lui, les froideurs.

Les jours rallongent et avec eux l’ardeur

Qui enlève toutes sujétions à la déprime,

La joie renait avec sa lumière en prime.

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On parle, aisément, de dicton,

D’un  printemps  qui revient,

D’un été chaud et qui court,

D’un automne qui accoure,

D’un  hiver  qui  survient,

Pour poème ou chanson.

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Printemps est saison qui supprime

La fin d’un hiver qui nous déprime !

Prince, quand on attend…qu’il règne ;

Primeur, quand natures s’imprègnent ;

Primal, quand  les corps … s’étreignent.

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Lumière et chaleur regorgent d’ardeurs,

Les bourgeons  éclosent, à leurs  heures,

Jardins et champs se couvrent de fleurs.

Nature et mon cœur sont autant en fête

Et de mes amours je reconduis la quête,

Folle, éternelle, et chaque fois, nouvelle,

D’année en année plus jeune, plus belle.

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Printemps est temps qui ne vieillit pas :

Avance ou retard, chaque année, est là.

Fleur se corolle  de pétales multicolores,

Et jeune fille s’habille de voile léger, d’or,

Femme mûre, parade de parures, dehors.

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L’homme, se découvre, soudain, désirable,

Aucun n’est plus affreux, sale ou misérable,

Sang afflue et femme n’est plus intouchable.

Combien d’amours, s’en vont, s’en viennent :

Ce ne sont pas l’été, hiver qui les retiennent :

Attraction charnelle, nous prend, nous laisse,

Désirs fous augmentent avant qu’ils baissent.

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Printemps revient et, chaque fois, surprend,

Souvent, fait de rêveur endormi, fol amant,

Bonheur  caché, au fond des bois, des prés,

À vous de le rechercher, et  de le retrouver,

Comme un chocolat…tombé  d’un clocher,

Quand le jour de Pâques est, enfin, arrivé.

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Pour autant, ce ne sont là  que des dictons,

Qu’ont inventé les filles pour les… garçons,

Printemps d’hommes, bien que folle saison,

Ne conditionne pas l’envie de reproduction.

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Extensions

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Le printemps

Est ce qu’il est,

Bien cyclique et

Annonciateur du

Renouveau de la vie

Pour la Nature qui ne

S’y tromperait … jamais.

L’homme s’y inscrit aussi

En profitant artifices d’hiver.

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Le printemps c’est bien connu, supprime la déprime

Conditionnée par les froids et les obscurités de l’hiver.

C’est une respiration, attraction de nouvelle atmosphère

Où la nature nous pousserait  à faire comme elle : revivre,

Un nouveau cycle plein d’énergie, non de solitude en givre.

C’est parfois une période de créativité dans son imaginaire

Que fleurs et papillons nous inspirent en poésie littéraire.

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Le printemps aura été de tous temps

Un renouveau de la nature et de gens

Qui voient leurs énergies, se décupler

Avec allongement de jours ensoleillés.

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S’il conserve toujours une face cachée,

Celle d’une dépression dite saisonnière

Elle est due à transition, froid/lumière,

Qui nous a longtemps gardés enfermés.

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766 – Calligramme  

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                   Le printemps a toujours été le signe

                   Du renouvellement  de la sève  de vie,

                    Et du temps, sans compter des amours.

                   L’hiver  s’en va et, avec lui, les froideurs.

                 Les jours rallongent et avec eux l’ardeur

                 Qui enlève toutes sujétions à la déprime,

                 La joie renait avec sa lumière en prime.

On parle aisément, de dicton,

D’un printemps  qui revient,

 D’un été chaud et qui court,

 D’un automne qui accoure

D’un hiver qui survient

En poème, chanson.

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PRINTEMPS SUPPRIME

Printemps est saison qui supprime

La fin d’un hiver qui nous déprime !

Prince, quand on attend…qu’il règne ;

Primeur, quand natures s’imprègnent ;

Primal, quand  les corps … s’étreignent.

Lumière et chaleur regorgent d’ardeurs,

Les bourgeons  éclosent, à leurs  heures,

Jardins et champs se couvrent de fleurs.

Nature et mon cœur sont autant en fête

Et de mes amours je reconduis la quête,

Folle, éternelle, et chaque fois, nouvelle,

D’année en année plus jeune, plus belle.

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CE QUI NOUS DÉPRIME

Printemps est temps qui ne vieillit pas :

Avance ou retard, chaque année, est là.

Fleur se corolle de pétales multicolores,

 Et jeune fille s’habille de voile léger d’or,

   Femme mûre, parade de parures, dehors.

     L’homme, se découvre, soudain,  désirable,

      Aucun n’est plus affreux, sale ou misérable,

       Sang afflue et femme n’est plus intouchable.

         Combien d’amours, s’en vont, s’en viennent :

         Ce ne sont pas l’été, hiver qui les retiennent :

          Attraction charnelle, nous prend, nous laisse,

          Désirs fous augmentent avant qu’ils baissent.

.

          Printemps revient et, chaque fois, surprend,

           Souvent, fait de rêveur endormi : fol amant.

           Bonheur caché, au fond des bois, des prés,

             À vous de le rechercher, et de le retrouver,

                Comme un chocolat … tombé  d’un clocher,

                Quand le jour de Pâques, est, enfin, arrivé.

                    Pour autant, ce ne sont là  que des dictons,

                     Qu’ont inventé les filles pour les… garçons,

                         Printemps d’hommes, bien que folle saison,

                           Ne conditionne pas l’envie de reproduction.

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Forme

Réduction

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Évocation 

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766 4

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Silhouette d’une femme,

Tête penchée en arrière,

Comme au printemps,

Loin d’une dépression

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Tant le printemps nous invite

À regarder vers le haut, vers le ciel.

La déprime est de garder la tête

Avec le regard bas, fixé au sol.

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Symbolique 

 .

Nous constatons que chaque printemps

Est un nouveau départ et l’on s’étire de la

Grisaille hivernale, le froid est moins froid,

Et les oiseaux migrateurs reviennent du sud

Ils  appellent les rayons de soleil  en chantant.

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Et nous, comment exprimons-nous le renouveau,

Gaieté qu’inspire cette saison? Comment manifester

Ce que nous avons gardé au chaud tout l’hiver et qui

Ne demande qu’à sortir? Avons-nous un projet

Qui murit, ou un rêve qui prendra forme?

Désir de renouveau, de fraicheur,

Prospérité a besoin d’espace.

l-express.ca/ode-au-printemps

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Descriptif

 

766 – Printemps supprime ce qui nous déprime

  Alignement central   /  Titre  intercalé  /  Thème  temps

Forme anthropo /  Rimes égales  / Fond  accordé à forme

Symbole de forme : printemps / Symbole de fond : dépression

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Fond

 .

Évocation 

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766 6

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Tant le printemps nous invite

À regarder vers le haut, vers le ciel.

Dépression est de garder la tête

Avec le regard bas, fixé au sol.

 .

Symbolique 

 .

Les signes de la dépression

Concernent des troubles de l’humeur

Et du fonctionnent corporel et cognitif.

Afin d’établir  le diagnostic  de dépression,

Il faut  bien  la présence  d’un certain nombre

De ces signes en fonction du type de dépression.

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Il existe neuf symptômes majeurs en dépression

Décrits par le DSM-IV et n’oublions pas que seul

Un diagnostic médical peut affirmer la présence

D’un trouble dépressif chez une personne.

Source : la-depression.org/comprendre-la-

depression/symptomes-de-la-depression

 .

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Corrélations

Fond/forme 

 .

La dépression aurait passé la main à

L’épuisement professionnel : burn out !

On parle de dépression, pour un suicide,

Dépression saisonnière pour le printemps

Il en existe des réversibles, des récurrents,

Et d’autres qui modifieront en profondeur,

Le tempérament  et mis sous médicaments,

Signes avant-coureurs ne sont perceptibles

Que par renfermement sur soi, déni réalité

On peut la prévenir par un ensoleillement

Naturel, voire artificiel, et vitamines D

Certains sont sujets à des rechutes

D’autres pas, sont plus résilients.

 .

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Mille fleurs nous réjouissent

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Scénario

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Printemps vert et jaune : couleurs anti-déprime,

qui couvrent un champ jusqu’au pied d’un arbre,

où papillon se gorge du pistil d’une fleur d’amour.

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