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Triptyque incontournable de vie
Je veux, mais je ne peux pas ;
Je sais, mais je ne veux pas ;
Je peux, mais je ne sais pas.
Nous sommes comme cela :
Manque une corde à notre arc
Lorsque rien que celle du savoir,
Est savoir, savoir-faire, savoir être.
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Le pouvoir de dire non aux élections,
Le pouvoir du candidat en manipulation
S’équilibrent, dominent, au profit de qui ?
Au profit des mêmes, hélas, les gouvernants.
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Savoir n’est pas connaître, diffuser l’information
Mais comprendre, débattre pour ou contre raison,
Disposer de plus d’une vision, plus d’une opinion.
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Vouloir, n’est pas faire une campagne de publicité,
Mais entrainer adhésion, action pour plus déshérité
En se penchant du côté du bien non du mal incarné.
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Pouvoir n’est pas brandir un principe de précaution,
Mais anticiper la perte, le bénéfice, pour l’humanité,
Non au profit de quelques-uns mais grande majorité.
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Vous me direz que tout cela : c’est plus, être, qu’avoir,
Notre monde des lumières fonce d’autant, dans le noir
Que nous sommes tous en survie au bord du désespoir.
Par ici, la guerre des canons, là, celle des informations,
Rejoignant celle notre économie, notre santé, nutrition
Brevets déposés nous possèdent, argent nous manipule,
Et marge d’autonomie devient de plus en plus… ridicule.
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Savoir, vouloir, pouvoir : contrôlés, financés auparavant,
Par pays démocratiques le sont aujourd’hui foncièrement
Par des pulpeuses multinationales, leurs têtes financières,
Qui n’ont que l’argent pour raison, pour unique… religion.
Quand on ne sait rien, que l’on ne veut rien, ne peut rien :
On croit que le monde est beau … qu’il cherche notre bien.
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On devient la proie facile de promesses qui nous engagent,
À voter, adhérer, tout sacrifier en hypothéquant nos gages.
Que faire, quand on le sait, quand on le veut, voire le peut :
Par des bulletins de votes, des législations … protestations,
C’est entamer le combat du pot de terre contre le pot de fer,
Car, devant le lobbying, des riches, et puissants : quoi faire !
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Extensions
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Êtes-vous pour ou contre, est sens profond de cette question,
Dans un monde qui a perdu son sens :, où trouver la solution,
À ce point de non-retour, emballement d’être apprenti sorcier,
Nous y sommes condamnés jusqu’à la fin de notre … humanité.
L’un dit, j’ai rêvé ; l’autre, je crois ; l’autre, j’ai vu, expérimenté !
Mais même les mesures nous cachent une grande part de vérité :
Que restera-t-il de la démocratie si, multinationale, par surprise,
Exerce, sur nos consciences, technologies, économies … l’emprise.
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Savoir, ça reste à voir : est-on jamais sûr qu’on sait :
J’ai su mais je n’ai rien retenu, je ne me souviens plus.
Vouloir, j’ai ai bien l’intention, je me suis bien motivé,
Mais j’ai un doute sur le résultat de ce que je veux faire.
Pouvoir, toutes les conditions me semblent bien remplies
Il n’y a plus qu’à le faire et on verra bien ce que ça donne.
Au final peut-être y aura un problème venu d’on ne sait où.
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Je sais tout et je ne sais rien :
Pas la peine de jouer au malin
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Je veux tout et je ne veux rien :
Le jour où je voudrai, ça craint !
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Je peux tout et je ne peux rien :
Déjà faire une chose, la faire bien.
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1143 – Calligramme
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DIFFÉRENCE
Triptyque incontournable de vie
Je veux, mais je ne peux pas ;
Je sais, mais je ne veux pas ;
Je peux, mais je ne sais pas.
Nous sommes comme cela :
Manque une corde à notre arc
Lorsque rien que celle du savoir,
Est savoir, savoir-faire, savoir être.
ENTRE
Le pouvoir de dire non aux élections,
Le pouvoir du candidat en manipulation
S’équilibrent, dominent, au profit de qui ?
Au profit des mêmes, hélas, les gouvernants.
.
Savoir n’est pas connaître, diffuser l’information
Mais comprendre, débattre pour ou contre raison,
Disposer de plus d’une vision, plus d’une opinion.
SAVOIR,
Vouloir, n’est pas faire une campagne de publicité,
Mais entrainer adhésion, action pour plus déshérité
En se penchant du côté du bien non du mal incarné.
Pouvoir n’est pas brandir un principe de précaution,
Mais anticiper la perte, le bénéfice, pour l’humanité,
Non au profit de quelques-uns mais grande majorité.
VOULOIR
Vous me direz que tout cela : c’est plus, être, qu’avoir,
Notre monde des lumières fonce d’autant, dans le noir
Que nous sommes tous en survie au bord du désespoir.
Par ici, la guerre des canons, là, celle des informations,
Rejoignant celle notre économie, notre santé, nutrition
Brevets déposés nous possèdent, argent nous manipule,
Et marge d’autonomie devient de plus en plus… ridicule.
POUVOIR ?
Savoir, vouloir, pouvoir : contrôlés, financés auparavant,
Par pays démocratiques le sont aujourd’hui foncièrement
Par des pulpeuses multinationales, leurs têtes financières,
Qui n’ont que l’argent pour raison, pour unique… religion.
Quand on ne sait rien, que l’on ne veut rien, ne peut rien :
On croit que le monde est beau … qu’il cherche notre bien.
On devient la proie facile de promesses qui nous engagent,
À voter, adhérer, tout sacrifier en hypothéquant nos gages.
Que faire, quand on le sait, quand on le veut, voire le peut :
Par des bulletins de votes, des législations … protestations,
C’est entamer le combat du pot de terre contre le pot de fer,
Car, devant le lobbying, des riches, et puissants : quoi faire !
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Ça ressemble à bidon
De lait, en contenant
Col resserré et anses,
Mais vide ou plein ?
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(P : forme pleine, = : rimes égales,
X : le fond s’éloigne ici de forme)
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Bidon, contentent, n’a rien à voir
avec le savoir, le vouloir, le pouvoir
quel que soit sa forme, il différera
de tout ce qui concerne le fond.
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Si chaque concept correspond à un bidon,
Comme contenant :
Il est irréaliste de posséder savoir, vouloir,
Pouvoir, plein, à la fois.
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Symbolique
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Un bidon à lait est un
Pot, généralement, en métal
Servant à transporter lait ou crème.
L’ingéniosité constructrice s’est exercée
Surtout en recherche de nouveaux métaux
De remplacement, capables de se substituer
À la tôle d’acier, étamée, bien que le gabarit
Du bidon à lait se devra de rester inchangé,
Et, au final, l’on pourrait dire que l’ensemble
Du problème n’a pas été entièrement résolu.
D’après les Comptes rendus hebdomadaires
Des séances de l’Académie de l’Agriculture
De France extrait du Volume 29, page 194)
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Fond
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Évocation
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Si chaque concept correspond à un bidon,
Comme contenant
Il est irréaliste de posséder, savoir, vouloir,
Pouvoir, plein, à la fois.
Symbolique
Des interactions existent
Lors du choix de l’aliment
Et de son contenant.
En fonction du matériau
Dans lequel est servi l’aliment,
Pas la même valeur à nos yeux.
Les couleurs et voire les formes
Du contenant, voire de l’aliment,
Influenceraient nos perceptions.
Le tout : fonction des matériaux,
De notre vécu, de nos habitudes,
De nos valeurs, et des contextes
Seul, au travail, famille, amis…
Ou encore de notre sensibilité à…
Le contenant est perçu différemment.
auxplaisirs.over-blog.com/article-26044114.
Corrélations
Fond/forme
Le pot au lait ne serait pas le pot aux roses :
On renverse le premier, découvre le second !
Savoir est parfois découvrir ce qui était caché
Non par secret : manque d’accès informations,
Vouloir est parfois explorer un chemin inconnu
Avec, à chaque étape, renforcer ses motivations
Pouvoir serait renverser bien des codes établis,
Pour mettre les siens en place et les conserver.
Et si au cours d’un siècle d’existence, le pot au lait
N’a guère changer d’apparence ni de consistance,
C’est parce qu’il reste un conservateur alimentaire
Que tout le monde connait ou au moins reconnait,
Parfois, on peut savoir, on peut vouloir changer,
Mais pour raisons variées, on a aucun pouvoir.
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Savoir, vouloir, pouvoir
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Scénario
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Savoir, c’est bien, mais comment l’acquérir, dispenser, transmettre ?
Vouloir, c’est bon, ou faudrait-il abandonner à l’autre sa volonté ?
Pouvoir, c’est beau, mais est-ce le déléguer à la force publique ?
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