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Textuels : poème, extensions, fragments
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Textuel poème
- Les médias nous rapportent une vision, pas forcément des plus fausses, mais tronquée, du Monde, en mettant en avant des événements choisis par eux ou qu’on leur impose parce que tout le monde en parle. Aller sur Internet alors : vaste monde s’il en est, mais on y raconte tout et n’importe quoi, faut trier et sans filtres : danger ! Le Monde est ce qu’il est : qui peut le dire vraiment, autrement qu’en interprétant et même en s’en tenant aux faits ! Une vision du Monde, fausse, car personne ne peut tout voir, personne ne pourra tout savoir, bien qu’informations, en hausse. Mais les radios me direz-vous : ce sont des hommes comme nous, ils ne font que commenter les dépêches : n’existent que celles qu’ils pêchent. Et les journaux me direz-vous : ils ne rapportent que les actes fous : ceux qu’ils savent être plus vendeurs, les autres, personne n’en est preneur. Mais la télévision me direz-vous : des images, en veux-tu, en voilà, qui nous sont balancés comme ça, à nous de trier, choisir, zapper tout. Allez sur Internet, me direz-vous : échappant au contrôle, et à tout, comment vérifier ses sources chacun lui parle, de sa bouche. Information sur Monde est ce qu’elle est avec reportages, rumeurs, bavardages, lus, vus, écoutés pour en faire usage dans une démocratie, en pluralité. Dans un pays où un seul avis prévaut, dictateur n’a besoin que de dévots où priorité donnée à la censure culture rime avec confiture.
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Textuel extensions
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- L’information et la communication sont les deux mamelles du savoir, du vouloir et du pouvoir. Le savoir exige qu’elles soient exactes ; le vouloir, qu’elles changent les choses qui ne vont pas ; le pouvoir, qu’elles soient diffusées et contrôlées par un seul homme ou organisme. On connait le pouvoir de la presse, celui de la radio, celui de la télévision et voici que celui d’Interner rebat les cartes par ses bases de données accessibles à tous et ses réseaux sociaux alimentés par ses « influenceurs ». L’information ayant besoin, de source, de preuves et d’auteurs ; elle ne peut être que lacunaire et orientée dès le départ. Ensuite, il suffit d’extraire une phrase, une image, une parole du contexte et elles prennent un tout autre sens quand ce n’est pas un mot remplacé par un autre qu’on avait jugé équivalant et qui fait scandale. Je laisse les journalistes à leur compétence, intégrité et responsabilité, que j’apprécie, pour la plupart d‘entre eux. L’information, les médias, internet, ou le quatrième pouvoir, quand ce n’est pas le premier parfois pour certaines élections. Submergé jusqu’à la garde par un flot incessant de nouvelles, le citoyen, l’humaniste, a du mal à faire le tri, interprétation. Tous les jours des lots de catastrophes ou de fausses vérités, apportent un peu plus de brouillard en un ciel assombri. Et quand le soleil brille, l’orage n’est jamais loin. Comment, dans ces conditions, pouvoir faire le point ! Soyez informés, restez informés, en tout temps et toute occasion, voilà des conseils bien encensés mais bien loin d’être respectés ! Pour deux constats, contraires : trop et pas assez d’informations, trop nous submerge, nous noie : pas assez, faut aller les chercher. Le faux côtoie le vrai, même statut, le faux afflue, se propage, plus vite, le faux est viral, le faux est normal : on n’est plus sûr de rien, déstabilisé.
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Textuel fragments
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- Pour bien trier les informations et décider de ce qui a un intérêt, faut de la bouteille, vous diront un bon nombre de journalistes, ça ne tombera pas du plafond : faut trouver la ligne directrice. Dans les journaux, ça se mettra en colonnes ou voire en encarts, dans le numérique, paragraphes entrecoupés annonces publicités et le format aura son importance : ou une grande page, en mosaïque ou faire le choix d’un seul article ! Les radios et télés, différent autant : radio, l’on écoutera, en s’activant ; en télé, l’image primera sur le son : parfois, la télé tournera, en boucles, document vidéo relatant événement, parfois, avec sous-titre sur un autre. Il y a peu de recul, d’analyse de fond, il faut faire de l’écoute par sensation. Chaque média sonnera à votre porte, vous ne pouvez pas échapper aux scoops, un peu comme l’attentat de New York ! combien l’auront vu presque en direct.
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Illustrations : visuels, scénario et fiction
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Visuels
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Monde des journaux, des nouvelles,
par pays régions, communes, quartiers
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Monde de la radio/télévision :
un univers à moitié contrôlé, influencé
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Monde d’Internet, de la liberté totale :
fake news égal information vraie.
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Faux en devient plus vrai que vrai
à tel point qu’on ne sait en décider.
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Textuels symboliques
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Bouteille
Symbolique de forme : Contenant, puis matière, verre, plastique,
il est transparent, ou bien très opaque, L’usage pour boisson, parfum, remède, poison, renseignent ses significations/ Le champagne reste plus festif, le parfum est positif en relationnel le poison symbolise une mauvaise intention. Ouvrir une bouteille, en rêve, symbolise qu’on essaye de rassembler ses ressources pour améliorer sa vie ou les choses.
rosalie-dans-tous-ses-etats.com/2015/10/que-signifie-votre-reve-bouteille.
Bouteilles (tailles)
Symbolique de fond : Un moyen mnémotechnique nous permet de mémoriser les principales tailles de bouteilles en ordre croissant de contenance : «Car, de bon matin, je remarquais, mal sa banalité naturelle ». Respectivement : quart, demi, bouteille, magnum, jéroboam, réhoboam, mathusalem, salmanazar, balthazar, nabuchodonosor. Comme une aide précieuse pour les retenir. Source : Wikipédia
Corrélations > Médias
Liens fond/forme : Bouteilles et médias ne convergent pas : il y a bien une idée de fond, de contenu, pour ce qui est de forme, ça ne colle pas, les médias sont nombreux, et différents, leur importance n’est liée à leur taille ce n’est qu’un critère économique : Le Figaro (314 312 exemplaires.), Le Monde (273 111 exemplaires.) Le Figaro : référence française, Le Monde : référence mondiale.
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