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Visuels suggestion de scénario
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Le globe et les transports constituent
naturellement le symbole du voyage.
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Routard le porte sur le dos : s’il est vieux,
c’est qu’il a su rester encore un peu jeune !
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C’est la panoplie du voyageur itinérant
autonome étant le plus souvent à pied !
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Textuels calligramme / extensions
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- £ L’on voyage autant avec son âme que son esprit, son cœur, son corps, et sexe, tant les successions de situations sont simples ou complexes. L’âme s’enrichit toujours de toute autre spiritualité, sans parler d’autres arts, d’autres curiosités. L’esprit incite toujours à utiliser toute diplomatie, respecter les us et coutumes, ne pas se contenter d’arguties. Le cœur s’enrichit toujours de rencontres plus amicales, en partageant bien les émotions et les dons, à hauteurs égales. Le corps se met toujours en mouvement, en danger : il est assez souvent fatigué, parfois souffrant ou parfois stressé. Le sexe est plus ou moins charmé, parfois sollicité : il n’est pas indifférent à toute locale beauté. On dit que « les voyages forment la jeunesse », l’on devrait ajouter « et retarde la vieillesse ». Bien qu’on ne fasse pas les mêmes voyages, même quand on visite des endroits identiques, à vingt ans, quatre-vingt ans sonnés, il n’en demeure pas moins qu’en pratique, les désirs sont aussi intenses, aussi vivants et consistent à aller au-devant, vers l’autre. Rien ne sert d’être sage, si l’on ne bouge, rien ne sert ne bouger si l’on n’est pas sage. Voilà un paradoxe qui nous éclaire, au passage, sur quelques chemins emprunts de rouge sur notre tracé tant ce n’est pas le but ni la fin qui comptent que la volonté de la faim. Faim des connaissances et découvertes car, ce sont grands voyageurs qui sont devenus grands savants, poètes, et ont dispensés humanisme qui déconcerte, par sa variété de formes sur la planète où l’on se croit cultivés mais en fait, bêtes. Il n’y a ni lieu ni temps qui ne méritent des visites, c’est toujours l’imprévu, l’inattendu qui excitent. On dit que «les voyages déforment la jeunesse», on devrait ajouter «et reforment la vieillesse».
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- + Les voyages forment, déforment et reforment autant les jeunes que les vieux : ce n’est pas une question d’âge civil mais bien plutôt une question d’état d’esprit et d’ouverture. On peut voyager à tout âge et en tous pays, sans se soucier de personne, comme le font les touristes parquées dans un club à l’étranger : il se sente chez eux tout en étant ailleurs. Les autochtones ne sont que des personnes à leur disposition qu’ils payent pour les services. Rien à voir avec les immersions totales lors séjour en des familles étrangères.
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- & Les voyages accélèrent la jeunesse et ralentissent la vieillesse. Bouger est toujours bénéfique, quel que soit l’âge… métier. On y découvre bien plus de choses qu’en restant chez soi, On y fait des rencontres, qu’on ne fait pas sur Internet, prend confiance en soi, devenant, restant autonome.
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- # Les voyages forment la jeunesse, on est bien d’accord : ouverture d’esprit, autres espaces, mœurs. Les relativités et les alternatives, servent de meilleures références que tous les cancans de clochers. J’ai bien voyagé entre 40 et 60 ans, partout en Europe, un peu le Monde, un travail de prise en compte humain dans les télécommunications, médias. Qu’en reste-t-il, une fois à la retraite : je garde un œil sur le Monde, son devenir, une folle envie de voyage et de partage.
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Textuels symboliques et corrélations
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Flambeau
- Symbolique de forme : Le flambeau est une sorte de torche. Il symbolise : la lumière, la raison, le génie, la nuit, la médisance. En Amérique, il est l’attribut de la Statue de la Liberté qui symbolise la liberté éclairant le monde. Aux jeux olympiques, l’idéal olympique. il rappelle le feu sacré de la Grèce antique qui brûlait en permanence en sanctuaires. Aujourd’hui, il est allumé au cours de la cérémonie d’ouverture par des femmes jouant le rôle de prêtresses d’Héra, déesse protectrice des femmes. 1001symboles.net/symbole/sens-de-flambeau.html
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Statue de la liberté
- Symbolique de fond : Pour la petite histoire, elle fut expédiée vers le Nouveau Monde en 350 : morceaux remontés sur place. Depuis cette date, la représentation de la déesse romaine Libertas a accueilli des milliers d’immigrants arrivés par bateau. C’est effectivement cette statue de la liberté que la plupart des voyageurs apercevaient en premier en arrivant à New York, symbolisant alors le rêve américain et l’espoir d’un avenir meilleur. Source : Airfrance.fr/FR/fr/common/travel-guide/la-statue-de-la-liberte
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Voyages >
- Liens fond/forme : La statue de La Liberté, avec son flambeau fait office de phare à l’entrée de New-York bien plus pour les gens que pour bateaux. Aujourd’hui il y a bien plus de visiteurs que de personnes pour immigration. Peu d’américains savent que la statue est un don de la France, d’un sculpteur, architecte, juriste et ingénieur français.
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