392 – Combien d’espaces, parcourus !

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Visuels suggestion de scénario

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Lors jeune, j’étais limité

à parcourir  la France,

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pour mon métier,

je parcours cent fois l’Europe,

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lors, en retraite,

je parcourrai, peut-être, le Monde !

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  L’espace du soleil qui nous reluit, l’espace du loisir qui nous réjouit, l’espace du travail qui nous réunit, l’espace du sommeil qui nous revit !Ici, un monument, là, autres bâtiments, retracent les mémoires des morts-vivants qui auront marqué leur temps de repères avec de vraies richesses et de vraies misères. De la terre, je n’ai vu, je ne verrai qu’un dixième, j’aspire à voyager en tous paradis, enfers, extrêmes : personne, même au cours d’une vie, n’épuise tour de planète, bien qu’il soit fini. Combien de kilomètres, milles, hauteurs aurai-je parcouru depuis que je sais marcher : déjà mon beau pays de France, pour le visiter et partout, en ce vaste monde, où je suis allé !Combien de tours, de détours, et de contours, sans compter d’allers retours  tous les jours, cela fait des heures de transport au compteur, heures tristes, mornes ou pleines de bonheur. Combien de temps ai-je passé à ne rien faire, allant d’un point à l’autre en tournant en rond pour revenir chez moi, me disant : à quoi bon perdre mon temps ailleurs pour changer d’air. Si mes yeux ont admiré quantité de paysages, quantité de villes, de villages, de rives et de rivages, chacun m’a paru différent, unique bien que tous se ressemblent mais de manière, magique. Du Nord au Sud, que d’architectures divergent, s’adaptent au climat, mode de vie habitants, quelque part, les vies, en les cités, convergent, vers un centre concentré en quatre temps.

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  • + J’ai parcouru l’Europe et bien au-delà, pendant plus de vingt ans dans le cadre de mes travaux de recherches ou de mes vacances. A cinquante ans, j’ai décidé d’y mettre un frein, pour préserver ma santé et ma longévité. Cela dit, j’en ai bien profité et je ne regrette rien, s’il le fallait, je serais prêt à recommencer. J’ai repris les voyages lors de ma retraite mais, cette fois, en voilier et non par avion ou par train. J’ai connu le stress des correspondances à attraper sinon… l’on arrive en retard, assurément, j’ai connu celui des retours avec les grèves et les changements d’horaires ou d’avion de dernières minutes mais c’était le prix à payer pour voyager tous les quinze jours durant trois ou quatre jours en pays étrangers. A la fin, le stress diminue on se rend philosophe en se disant que quand on a fait le maximum pour anticiper, qu’à l’impossible nul n’est tenu !

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  • & Plus on avance en âge et plus on pend de la distance, autant au sens propre qu’au sens figuré, symbolique, enfin, en principe, car voyager vous coûterait un bras. Voyager souvent restera réservé à une petite minorité, j’en fais partie, je vous l’avoue, mais pour mon métier.

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  • # Si l’on ajoute chaque pas que l’on a fait dans sa vie : à 70 ans, combien de kilomètres  a-t-on parcouru ! En moyenne, on ferait autour de 8 000 pas par jour : le pas de  0,80 m = 6 km 5 par jour, soit 2 300 Km par an, soit, pour 70 ans, autour de 160 000 Km, soit 4 fois le tour de la Terre ! Voilà qui vous pose un globe-trotter qui marche à pied.  On croit rêver : il doit y avoir une erreur quelque part, mais même si c’’est trois fois le tour : c’est grandiose !

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Textuels symboliques et corrélations

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Anneau

  • Symbolique de forme : L’anneau est le symbole de l’infinité et totalité. Il évoque un cercle sans fin. Le symbole aussi de l’union. L’anneau nuptial   symbolisera le lien fort entre deux personnes. Idem pour les anneaux olympiques et pour l’union des cinq continents, l’universalité de l’esprit olympique. L’anneau évoquera également des puissances magiques et occultes. Et certaines légendes relatent des anneaux magiques capables de faire d’objets, des individus. Source : 1001symboles.net/ symbole/sens-de-anneau.

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Complexité

  • Symbolique de fond : Le «Paradigme de la complexité» possèderait une injonction basique, semble répondre, correspondre à la pulsion humaine d’exigence d’une connaissance complète, toujours en son incomplétude !  Il énoncerait un dialogue entre les parties et le tout, et vice versa. Il cherchera  à renverser les limites et toutes barrières entre les différents secteurs du savoir, avec son injonction transdisciplinaire. Il faut procéder à une sémiologie du paradigme de la complexité, mettant  en œuvre les présupposés théoriques de Roland Barthes, en aspects linguistiques.    Cairn.info/revue-societes-2013-3-page-53.htm

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Parcours  >

  • Liens fond/forme : Les petits ruisseaux font les grandes rivières : dès qu’on a un an et qu’on commence à marcher ; les tours, les retours, les contours  et parcours, s’additionnent comme des milliers d’anneaux tant et si bien que le calcul devient complexe, qu’on ne parvient à se représenter somme. On fait beaucoup de surplace, il est vrai mais nos pieds nous …  déplacent !

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