792 – Je l’ai, un beau soir, rencontrée, imprimée !

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Visuels suggestion de scénario

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Je l’ai un beau soir, rencontré

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et puis je l’ai un beau jour, imprimé,

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alors je vous laisse imaginer la suite … !

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Textuels calligramme / extensions

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  • £  Le jour où je l’ai rencontrée. Ainsi commence belle histoire qui peut être d’amour, d’amitié, en tous cas, nourrit de l’espoir. On s’observe puis on s’écoute,  parfois même, on se projette : rien n’est fait, rien ne rejette, avec un frein, en avant toute. Elle m’aurait  trouvé sympa, et rien de plus rien de moins, ou elle m’aurait trouvé extra, veut avec moi faire le point. Combien de commencements finissent par un renoncement de l’un, l’autre, ou des deux, et puis soudain gagne au jeu.  Je l’ai, un beau soir, rencontrée, elle a tourbillonné en ma pensée : dès cet instant, elle s’est imprimée en mon esprit, elle ne m’a plus quittée. Et nous voilà, à discuter tous deux, juste histoire de mieux combler le fossé qui nous sépare et fort creusé par nos différents parcours, chanceux ou malheureux. Elle n’est pas ceci, moi je ne suis cela. Elle  ne réagit pas comme-ci, moi comme ça. C’est normal, c’est une femme et nous ne partageons pas la même origine, éducation, culture. Elle se tient à l’écoute et moi, sans aucun doute, j’attends avant m’engager en avant toute. De me précipiter ne ferait que l’apeurer comme si je la forçais  déjà à se dévoiler. Son attrait en deux ans a quelque peu changé. Ce n’est pas qu’il soit plus ouvert ou plus fermé, il est juste un peu plus mûr, changé, hâlé, décalé : celui d’une femme cherchant encore l’amour égaré. Ses regards, sourires, paroles, qui m’interpellent, soulignent ses interrogations sur des amours irréels. Docile, facile, oui et non, car d’elle, il y a plus à espérer qu’à craindre, de vengeance, de violence, de cris d’effarouchée.

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  • + Je l’ai, un beau soir, rencontrée, puis nous avons échangé puis nous nous sommes perdus de vue puis à nouveau rencontrés et c’est alors que… mais je vous laisse imaginez la suite, vous êtes assez grand pour la concevoir ou deviner. Ou bien ceci, ou bien cela… il y a plusieurs scénarios qui se dessinent mais, généralement, celui qui l’emporte est celui qu’on a déjà vécu parce qu’on s’y projette et entièrement. Elle ne m’a plus quittée : faut-il le prendre au premier degré : « nous nous sommes mariés » ou bien second : « nous nous sommes revus chaque année » ou troisième : « elle est devenue mon modèle, mon égérie ».

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  • & Forcément tout à une fin, un but proche ou lointain et chacun imagine le sien, comme le fruit e son destin si ce n’est de son choix, libre. Rencontrée, imprimée,  effacée, ou les trois phases de rencontre et qu’on pensait durer, à jamais, que voilà, et déjà vite, terminée jusqu’à la prochaine et idem !

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  • #  La première impression dit-on est la bonne, mais si je ne me trompe, qu’on me pardonne, ce qui n’est pas toujours les cas des deux côtés et l’on se leurrera ainsi sur celui, celle, aimé. Une impression peut disparaitre rapidement : contraire, s’installer à demeure en mémoire. En tel cas, elle refera surface quand la cible ou un des possibles sosies se représentera. C’est pourquoi on parle de première fois comme une sorte empreinte indélébile, qui conditionne suite de sa sexualité, comme si l’image s’était superposée.

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Textuels symboliques et corrélations

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Cheminée

  • Symbolique de forme : Toutes les fumées blanches s’échappant des grandes tours, des cheminées de réfrigération,  des centrales nucléaires, ne sont pas très dangereuses. Elles ne sont que des nuages de vapeurs d’eau,  formant un  panache  variable selon les conditions  atmosphériques. Les tours aéroréfrigérantes ne sont pas spécifiques aux  centrales nucléaires. Elles  peuvent  équiper d’autres centrales  telles : gaz, charbon, fioul. Connaissancedesenergies.org/ les-fumees- Des-centrales-nucléaires-sont-elles-dangereuses

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Cheminée

  • Symbolique de fond : À l’époque du chauffage électrique, nos jeunes lecteurs peuvent méconnaître que nos ancêtres se chauffaient non pas avec des convecteurs à gaz, ni même avec des poêles à charbon, mais avec un âtre : un endroit  où l’on brûlait des bûches en bois, ce qui réchauffait la pièce qui devait avoir un plafond haut afin que les occupants ne suffoquent pas, et les gaz âcres  et  la fumée étaient évacués par conduit débouchant sur la cheminée.      Source : ora-et-labora.frenchboard.com/t605-la-cheminee

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Rencontre > romantique, feu de cheminée, verre à la main,

  • Liens fond/forme : Romantique, cette rencontre… au pied d’un feu de cheminée, un verre à la main, une bouteille au frais, et il fait très chaud ! Non ce n’est pas le scénario du prochain ciné, c’est juste un cliché et même des plus éculés : l’on se rencontre plutôt les sites d’internet et là non plus, faut pas rêver, faut bruler beaucoup d’énergie pour y harponner ! Laissez faire le hasard, bon conseiller en matière de divorce à venir un jour.

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