Il suffira, parfois, de presque rien pour faire basculer une vie : une seconde, voire moins : faute d’attention ou de concentration ! Et c’est notamment le cas d’un accident qui vous laissera paralysé à vie, avec regret éternel.
N’avez-vous remarqué : dans la vie d’une femme ou homme quel qu’il soit, événement marquant ayant fait que dévie son destin au point qu’il se sente aux abois. Ce peut être un amour soudain coup de foudre, ce peut-être un accident, une maladie ou stress, excessif souvent dans le bonheur ou la détresse donnant pour le reste de la vie, grain à moudre. On vous dira : votre vie a brutalement basculé, avant, c’est sûr, quelqu’un d’autre… Vous étiez, mais qu’aucun retour en arrière n’est envisagé à précédente destinée, déjà trop bouleversée. Ce peut-être une action bénéfique, maléfique, valable dès le premier sinon le second degré : ce peut être une révélation pratique, mystique qui vous oblige à chercher une autre identité ! Vous passez alors de statut d’innocent à malin désormais, vous porterez, en vous, sceau d’un nouveau destin qui ne vous quitte, sauf en fin, responsable, non coupable … il en fallait un ! Mort d’un de vos jeunes enfants vous terrasse, impossible, impensable même… D’y faire face, qu’aucun nouveau bébé n’efface, ne remplace, car cicatrice reste vivace et la douleur, tenace. L’événement qui vous fait basculer, nouveau, vous colle à la peau, inonde votre cerveau : qui n’a gardé en soi, un souvenir, trauma, qui les a changé, radicalement ou pas. Le mieux serait d’en faire son deuil, sinon hasard dérape vite en écueil, faut-il encore que le cœur veuille, repartir à zéro, sans compter seul. Certains luttent, d’autres jubilent, d’autres se suicident, s’obnubilent, ou ont un comportement jugé débile, pour soulager leur âme sinon leur bile. Un événement ou quelqu’un ou situation, peut vous faire changer demain de direction, de manière inconsciente, prendre votre décision comme s’il vivait à travers vous par procuration.
+ Chacun a pu constater, autant chez d’autres que pour soi que la mort d’un proche qu’in aimait beaucoup a fait basculer son rapport à la vie, son sens, sa durée, son utilité, son au-delà, etc. Mais un chagrin d’amour, un échec scolaire ou professionnel, un divorce, un incendie ou accident produit le même effet : la prise de conscience d’une finitude entraîne de facto son examen.
& Basculer n’est pas comme bifurquer,: bifurquer reste un choix personnel, lors basculer est de l’événementiel, donnant du tragique à la normalité. Dans les deux cas il y a un, avant, après, mais aux conséquences différenciées! Basculer c’est tomber plus bas, bifurquer, choisir une direction. Si basculer prend une seconde, bifurquer prendra du temps !
J’étais jeune, je me croyais immortel, je ne l’ai pas vu venir et maintenant…
travaillant à fond, tout le temps, je n’ai pas fait attention aux clignotants…
suite à un malaise en pleine rue, vagal, cardiaque, cervical, respiratoire…
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Basculer n’est pas comme bifurquer
Bifurquer reste un choix personnel,
Lors basculer est de l’événementiel,
Donnant du tragique à normalité.
En deux cas il y a un avant, après
Mais conséquences différenciées!
Basculer c’est… tomber plus bas,
Bifurquer, choisir une direction
Si basculer prend une seconde,
Bifurquer prendra du temps !