431 – Amour : mathématique- mathémagique

Visuels et textuels >> 

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Poème 

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Lorsque le conte est perçu bon,

C’est que le compte est bon :

C’est la même phonétique,

Mais pas arithmétique.

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Tant qui vit l’amour

Comme un conte,

Rien ne compte,

Plus,   pour lui !

.

Mathématiques

Mathémagiques

Ont probabilités

De se  compléter !

.

Pour peu qu’amour,

Ensemble,    réunisse,

Pour peu autant amour,

Ensemble,  les  réussisse,

Dès lors en faut peu pour

Passer de l’une … à l’autre.

.

Mathématiques  amoureuses

Confondent les mathémagiques

Tout comme un amour élastique,

Se raconte  en conte  fantastique.

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Filiation,  un plus un : donne  un,

En raison,  un plus un : égal deux,

 En amour, un plus un, donne trois,

Moi, l’autre, plus lien de deux sois.

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Les lois de la physique et génétique,

Ne sont pas, toutes, mathématiques :

Des choses divergeront en caricatures,

D’autres convergeront en progénitures.

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Homme, femme, l’un en l’autre, certain,

Transports amoureux font d’eux qu’un,

Qu’une chose  improbable  à mesurer

Difficile à  évaluer et qui échappe à

L’attraction  qui les happe quand,

Leur supplément d’âme en vient

À sublimer histoire partagée,

Construite, lors mixités.

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Les mathématiques,

Rendues amoureuses

Rejoignent philosophie

Et, même parfois, poésie,

À s’en mélanger…les pieds !

Non : simplement, les compter.

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Calligramme

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Lorsque le conte est perçu bon,

C’est que le compte est bon :

C’est la même phonétique,

Mais pas arithmétique.

Tant qui vit l’amour

Comme un conte,

Rien ne compte,

Plus,   pour lui !

Mathé    matiques

Mathé     *     magiques

Ont              A   probabilités

De se              M       compléter !

Pour                 O    peu qu’amour,

Ensemble,         U          les réunisse

Pour peu qu’     R     autant amour,

Et ensemble,   *    les réussisse,

 Dès lors   il en faut peu

Pour    passer    de

L’une     à   l’autre.

.

Mathématiques amoureuses

Confondent      les mathémagiques

Tout comme   M          M    un amour élastique,

Se raconte en  A                 A      un conte fantastique.

Filiation,       T                       T        un plus un, donne un,

En raison,      H                         H       un plus un, égal deux,

 En amour,      É                           É     un plus un donne trois,

Moi, l’autre,      M                          M    plus lien de deux sois.

Les lois de la           A                       A    physique  génétique

Ne sont pas, toutes,     G                     T     mathématiques :

Des choses divergeront    I                   H     en caricatures,

D’autres convergeront en  Q              I       progénitures.

Homme, femme, l’un en   U          U      l’autre, certain,

Transports amoureux  E       E   feront d’eux qu’un,

Qu’une chose          *   *  improbable à mesurer

Difficile à    *     *  évaluer et qui échappe à

L’attraction        les happeront quand,

Leur supplé  ment d’âme en vient

À sublimer histoire partagée,

Construite, lors mixités.

Les mathématiques,

Rendues amoureuses

Rejoignent philosophie

Et, même parfois, poésie,

À s’en mélanger…les pieds !

Non : simplement, les compter.

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Forme

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Évocation

 .

Une lampe à pétrole un peu rétro,

Avec réservoir, cheminée de verre.

Ou alors deux vases, superposés,

En forme d’amour magique.

 .

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En bas, réservoir de la lampe

 En haut, la flamme de l’amour,

Ou en bas, le réservoir des désirs,

Et en haut la lumière pour choisir !

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Toute forme avec  réservoir, mèche, et verre

Évoquerait une lampe  à pétrole  ou  à  huile,

 .

 Symbolique 

 .

Deux définitions antinomiques,

Parmi d’autres, du couple amoureux

Réservoir de lampe ou de désirs de fusion.

Fictionnelle : personnes ayant de l’attirance,

Parfois prêtes à tout, pour ne pas se quitter,

Sans projet commun à moyen, long terme.

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Émotionnelle : personnes    qui   s’aiment,

Et se font confiance   et  qui  contribuent

Réciproquement au bonheur de l’autre

En réalisant  des   projets communs

Tout  en  gardant    quelques-uns

Plus personnels, compatibles.

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Descriptif

 .

431 – Amour, mathémagique, mathématique

Alignement central / Titre droit / Thème  conscience

Forme courbe / Rimes égales / Fond éloigné de forme

Symbole forme : lampe / Symbole fond : amour

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Fond

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Évocation 

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La lampe d’Aladin à le pouvoir magique

de rendre amoureux de soi, l’aimé

 est contraire à tout calcul mathématique

puise son énergie en sentiments.

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Symbolique 

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L’amour est une énergie

Vitale, universelle, nourrit nos âmes,

Nos intentions nos actes et sans laquelle

Aucune vie sur terre n’est possible.

Est-ce qu’un végétal aura besoin

D’amour  pour  se  développer ?

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Est-ce  qu’un  animal   sauvage

A besoin d’amour pour survivre.

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Il est force présente en être vivant

Qui le pousse  vers la vie, à croître,

S’épanouir, selon  sa nature  plutôt

Que vers la mort. Une force qui nous

Pousse à  nous  incarner  davantage,

À élargir notre champ de conscience.

être proactif.com

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Fond/forme 

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Rien ici

 .

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Visuel 

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Tirer d’emblée la bonne carte serait

 trouver le bon partenaire,

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en jeu forme mathématique externe

et mathémagique interne,

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 et tout cela, déployé parmi des milliers,

millions de possibilités.

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Tant aussi bien qu’on peut s’en remettre

au hasard, proche de sites de rencontres.

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Textuel

Le conte est bon, le compte est bon : même

phonétique, pas arithmétique. Qui vit

l’amour comme un conte : rien ne compte,

plus, pour lui !  Mathématiques et

mathémagiques ont probabilités de se

compléter pour peu qu’amour les réunisse,

pour peu qu’amour les réussisse  tant il en

faut peu pour passer de l’une à l’autre. Les

mathématiques amoureuses confondent avec

mathémagiques, tout comme amours flous,

élastiques se racontent en contes  fantastiques.

En filiation, un plus un, donne un ; en raison,

un plus un, égal deux ; en amour, un plus un

donne trois : moi, l’autre, plus le lien de deux

sois. Les lois de la physique génétique ne sont

pas toutes mathématiques : des choses

divergeront en caricatures, d’autres

convergeront en progénitures. Homme,

femme, l’un en l’autre, il est certain  que leurs

transports amoureux ne feront plus qu’un,

d’eux mais cela reste une chose improbable à

mesurer, difficile à évaluer et qui échappe à

l’attraction. Elle les happe quand leur

supplément d’âme en vient à sublimer leurs

histoires partagées, construites en mixités.

Les mathématiques rendues amoureuses,

rejoignent la philosophie et, même parfois, la

poésie, à s’en mélanger les pieds et, pas

simplement, les compter.

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Extension

 .

Mathématiciens, littérateurs

Ne sont, en rien ….  Incompatibles :

Les mathématiciens se reproduisent aussi

Cela sans faire le moindre calcul, naturellement,

En étant comblés  et  par leur épouse  et  leurs enfants.

Ce n’est pas parce qu’on compte qu’’on se passera de conte,

Et réciproquement, tout n’est pas prévisible, n’est pas écrit

Dans les programmes génétiques et personne ne rit avec

La bosse des mathématiques ni des mathémagiques.

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Il n’en demeure pas moins vrai que le magique

Est plus abordable  que toute mathématique :

Les matheux  ne se marient pas, tous, entre eux

Si scolairement, poésie et maths ne s’attirent pas,

Les grands mathématiciens sont férus de philosophie

Inversement, ce n’est pas tant contraires se rejoignent,

Que  le fait que  le cerveau droit, sert  le cerveau gauche,

Réciproquement pour en faire, non l’addition, la synthèse.

Chacun est capable d’analyser son art autant que sublimer.

Aucun art n’existe sans règle, aucune règle n’existe sans art !

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 Mathématique et mathémagique, comment être les deux à la fois :

D’un côté les calculs et les réalités ; de l’autre, le rêve  et l’émotion !

C’est un peu la quadrature du cercle vue par une théorie quantique

Pourtant, depuis des siècles, des millénaires, des millions d’années,

L’amour subsiste, l’amour persiste, sous toutes raisons  ou passions

C’est, nul doute, parce que nous avons deux cerveaux, image et sons

Favorisant, établissant toutes les combinaisons de survies possibles.

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Mathématique  et  mathémagique

Paraissent être comme un jeu de mots

Au moins phonétique et voire sémantique

L’un compte sur le calcul, autre sur la chance

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Le compte est bon pour le premier qui trouve,

Le conte est bon pour le second qui le cherche

Avons additionné  tous nos points communs,

Avons fait confiance au destin,  essai-erreur.

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Ils ont comparé des millions de possibilités,

Premier en les réduisant, par éliminations,

Second en jetant les dés par opportunités.

Au final, qu’importe, s’ils se sont mariés.

 .

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Épilogue

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Mathématique se marie avec mathémagie,

Un mariage scabreux, voire contre nature :

On parlera mariage de la carpe et du lapin,

Vrai que contraires se fuient ou s’associent.

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Mathématiques amoureuses existent bien,

En  statistiques, probabilités, corrélations,

N’y a qu’à voir tentatives de sites d’unions,

Basés sur des algorithmes des préférences.

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Mathémagies n’ont pas dit leur dernier mot,

On tire les cartes, on scrute paume de mains,

On présente des célibataires,   libres demain,

On va du plus riche, au plus sain, plus beau !

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Le hasard dans tout cela, quel rôle à jouer :

Où vous êtes-vous rencontrés première fois

Je l’ai vu, j’ai pas cru,  je m’y attendais pas,

Si l’on est disponible : s’attend-t-on à rien !

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Ou alors on aura restreint son investigation

Voire ses critères : surtout pas un chauve !

Or ce dernier vous sourit de telle manière

Que vous tombez en ses bras, conquise.

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