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Originaux : poème, extensions, fragments
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Poème
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Privilégiant logique
Homme se rassure,
Mais il se fourvoie,
Car tant l’absurde,
Que le merveilleux,
Font bien partie de
L’existence, réalité.
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Inconscient, non-dit
Esprit, sont données,
Fonction du cerveau,
Qu’on ne peut ignorer
Ni jeter à la poubelle
Pour croire que la vie
Est plus ou moins belle,
Selon que l’on privilégie
Belles valeurs humaines,
Ou apparences mondaines.
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Cela parait tout à fait normal lors l’homme dispose
D’un cerveau gauche, pour la commande physique,
Et d’un cerveau droit pour la pensée métaphysique.
Mais ce n’est d’ailleurs, qu’en combinant les deux
Qu’il parviendra à progresser, bien au-delà d’eux.
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De ce fait, de voir au-delà, et à l’intérieur de soi,
Devient tout aussi important que voir devant,
Par la dénomination, la représentation,
Conceptualisation de toutes choses.
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L’homme est à la fois,
Merveilleux et absurde
Alors il serait bien dommage
Lui faire perdre son imaginaire,
Son libre arbitre, même arbitraire
Pour le soustraire à folie qui le nourrit.
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Savoir qu’on existe : un privilège accordé à l’homme !
Par qui : par un Dieu, par la Nature voire par Lui-même !
Notre conscience ne nous aide pas à définir notre finalité !
Dès lors, il est logique qu’on pense qu’elle vient d’ailleurs !
Naissance d’Univers, à l’origine : merveilleux et absurde !
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Le Merveilleux, avec logique, même l’absurde, se côtoient,
Tantôt s’opposent, se complètent par leur vue synthétique
De ce qui constitue la vie : lors c’est une vraie dialectique
Et elle vaut bien d’autres synthèses, antithèses, synthèses.
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Extensions
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Pour sûr : de n’être à vivre que dans le merveilleux
Ou, dans l’absurde, peut vous créer…des difficultés
Lors vous êtes en relation avec d’autres personnes
Qui se prétendent des plus entièrement logiques.
Regardant de près leur vie de tous les jours,
Ils ne le sont pas, et ils ne le peuvent :
Sentiment, émotion, sensation
Échappent à la logique pure
D’une machine … sans âme.
L’homme est un être, à la fois
Merveilleux et absurde et il serait
Dommage de perdre son imaginaire,
Son libre arbitre et voire son arbitraire,
Pour le soustraire à sa folie qui le nourrit !
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Ah, la poésie, on l’ignore, on la snobe, mais on y revient, toujours :
Pas seulement celle des mots, des créateurs, celle de chacun de nous
Difficile de la trouver en la : mécanique, informatique, mathématique,
Même s’il y en a davantage dans les magasins d’habillements, beauté :
Rien ne vaudra d’être assis pied d’un arbre pour la lire, pour la créer.
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Qu’il soit merveilleux, logique ou absurde :
L’essentiel pour système est de consommer
Peu importe quoi, comment, et pourquoi,
Y compris même de manière inconsciente.
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En jonglant entre salaires, entrées, crédits
Impôts, contributions, primes, et cadeaux
Absurde de vivre au-dessus de ses moyens
Mais la logique du système : merveilleux !
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Temps passe ainsi sans qu’on ait le temps
De faire, de vivre, de penser à autre chose
Comme écrire ou lire un poème d’amour,
Qui fait du bien à l’âme et autant autour.
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De la mesure avant toute chose : pour ça
La logique est un point central de repère
Incursion en merveilleux et en absurde
Nous distrait de la condition de mortel !
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Fragments
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Nous avons tous une conscience d’exister,
Plus ou moins, nous ne sommes à égalité,
Mais pour que faire et quelle mission, né,
Pour certains, question à ne pas se poser.
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Si notre réponse était : pour se reproduire,
Ce ne serait que fuite en avant, pour durer,
Ce serait qu’à la fin du monde qu’on saura,
S’il reste encore quelqu’un qui en survivra.
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C’est à la fois merveilleux, logique, absurde
Merveilleux qu’on existe et logique, survive
Mais absurde que l’on finisse dans le néant
Et c’est ce que l’on risque, le plus, pourtant !
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Si la question du sens de la vie, n’a pas de sens
On dit alors que la réponse est dans la question,
Ce n’est ni dieu ni le monde, religion, philosophie
Qui nous la donnera mais uniquement nous-même.
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C’est là que le retournement de pensée se met en place :
Dieu nous a donné conscience pour exercer libre-arbitre,
Libre de quoi et arbitre de quoi : on se le demande encore,
Si dans le chaos, se dessinera un sens, en l’absurde, autant !
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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MONDE
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Privilégiant logique
Homme se rassure,
Mais il se fourvoie,
Car tant l’absurde,
Que le merveilleux,
Font bien partie de
L’existence, réalité.
Inconscient non-dit
Esprit, sont données,
Fonction du cerveau,
Qu’on ne peut ignorer
Ni jeter à la poubelle
Pour croire que la vie
Est plus ou moins belle,
Selon que l’on privilégie
Belles valeurs humaines,
Ou apparences mondaines.
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MERVEILLEUX, LOGIQUE, ABSURDE
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Cela parait tout à fait normal lors l’homme dispose
D’un cerveau gauche, pour la commande physique,
Et d’un cerveau droit pour la pensée métaphysique.
Mais ce n’est, d’ailleurs, qu’en combinant les deux
Qu’il parviendra à progresser bien au-delà d’eux.
De ce fait, de voir au-delà, et à l’intérieur de soi
Devient tout aussi important que voir devant
Par la dénomination, la représentation,
Conceptualisation de toutes choses.
L’homme est l’être, à la fois,
Merveilleux et absurde
Alors il serait
Dommage
De lui faire
Perdre son
Bel imaginaire,
Son libre arbitre, arbitraire
Pour le soustraire la folie qui le nourrit.
Savoir qu’on existe : privilège accordé à l’homme !
Par qui : par un Dieu, par la Nature ou par Lui-même !
Notre conscience n’aide pas à nous définir notre finalité !
Dès lors, il est logique qu’on pense qu’elle vient d’ailleurs,
Naissance d’Univers, à l’origine : merveilleux et absurde !
Le Merveilleux, avec logique, même l’absurde, se côtoient,
Tantôt s’opposent, se complètent, par leur vue synthétique
De ce qui constitue la vie, lors c’est une vraie dialectique :
Et elle vaut bien d’autres synthèses, antithèses, synthèses.
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Forme
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Évocation
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Un calice ou voire un ciboire,
Si ce n’est sablier ou clepsydre,
Fontaine bien sûr, quoi d’autre,
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Il s’agit d’une fontaine mais, supposons
Qu’il s’agit d’une coupe :
Le haut en corolle serait le conscient ;
le pied, serait le subconscient.
La forme se rapproche du fond dans la mesure où
Fontaine et diabolo sont tous deux objets logiques
L’un fournira de l’eau, l’autre un exercice sportif,
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Symbolique
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Notre monde dit
Moderne a, souvent,
Tendance à oublier la
Composante de la vie
Aussi essentielle que l’eau
Déploie tout un imaginaire
Évoquant poétique de l’eau.
La fontaine constitue élément du décor
Inscrit dans le pittoresque d’un village et,
En conséquence, de première importance
Dans sa mise en valeur et son attrait
Touristique, en partie intégrante
Du charme qu’un tel bourg
Exerce aux yeux de ses habitants.
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Fond
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Évocation
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Il s’agit d’un diabolo mais, supposons
Qu’il s’agit de double coupe :
La coupe du haut serait le conscient ;
Du bas, serait le subconscient
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Symbolique
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Les diabolos semblent s’être
Multipliés en s’empilant
Et leurs variations
De couleurs
Procurent
L’effet
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D’un
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Tableau,
La chose merveilleuse
Est que l’on peut faire sauter
Son diabolo d’une corde à l’autre ;
La plus logique, faire rouler sur la corde ;
La plus absurde, la faire tomber et bêtement !
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Fond/forme
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Deux diabolos collés feront un objet merveilleux
À imaginer, à regarder mais absurde à manipuler
Est-ce la façon de rendre logique ce qui ne l’est pas
En doublant la réalité par sa fausse représentation.
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Je ne sais pas mais il me parait important d’y songer
Il en est de même lors libre arbitre devient arbitraire,
Et si tout est ainsi, le merveilleux en devient absurde.
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Un diabolo ressemblerait à un ciboire au pied évasé
Et de cette façon, il serait parfaitement réversible :
Le haut sera libre tandis que le bas sera contraint
Tant et si bien qu’il ne rime qu’à demi avec ami.
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Fontaine est, par nature, chose merveilleuse
Rien ne nous dit que son eu l’est tout autant,
Elle peut être boueuse, sableuse, polluée
Et lors la magnifier devient absurde.
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