59- San Cristobal de La Laguna

Visuels et textuels  >> 

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Eh oui, vous le pensez  fort bien,

Lors êtes habitants de cette ville

Que  votre  beau  patronyme,

Ne rimera  point  avec vil :

Mon patrimoine   abscons,

Ne sera jamais  d’humanité

Ici, nous sommes, en ce cas,

À San Cristobal  de La Laguna.

.

Tramway, venant de Santa Cruz,

Nous mène droit pour ouvrir le bal.

Enchantement de revenir deux siècles,

En arrière, avant de devenir bénéficiaire

De reconnaissance, d’authenticité entière.

.

Cette cité est riche de sa couleur et lumière,

Construite en architecture  typique  Canaries

Qu’on retrouve à San Sébastian de La Gomera

Elle nous aura laissé l’impression d’harmonie,

Avec ses murs ses habitants, et  Nature d’ici.

.

San Cristobal, haut perché,

Haut  de quinze cent pieds,

À huit kilomètres, en terre,

En tout se montre très fière

De son présent, son avenir,

À voir  les  touristes, venir

La visiter  comme  musée,

Revivant un ancien passé.

.

San Cristobal de la Laguna

Un nom qui sonne et qui va,

Saturé d’architectures, ornées

De grandes façades, balconnées,

Des palettes de couleurs ardentes,

Avec  des rouges, jaunes,  marrons,

Alternant à chacune de ses maisons,

Où chacune s’y voit  comme résident.

.

Un air de gaieté, un air de sérénité,

À bien vivre   à l’abri des calamités,

Ici, y a une église,   une cathédrale,

Plus loin,  y a  une  école  doctorale,

Là un palais, un comptoir, un hôtel

Avec un patio  aux touches  pastel.

.

On  s’y promène  en y marchant,

Dans  ses rues comme en tableau

En trois dimensions et mouvant

Admirant  le tout,  bien vivant !

.

 Nuit tombée  et  lampe éclairée,

Créent  atmosphères  chavirées,

Des  rêves,  inachevés,  illuminés,

Que l’on aura, en mémoire, gardés.

.

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Extensions

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Patrimoine de l’humanité

Est distinction lourde à porter

Empêchant la fantaisie commerciale

En plus de toutes évolutions architecturales.

Pour autant, comme le vieux centre de Las Palmas,

San Cristobal de la Laguna est loin d’être une ville morte

Touristes affluent de toutes parts, manifestations culturelles

Et religieuses se succèdent à un rythme soutenu.

J’en garde un souvenir comme d’un

Tableau vivant en trois dimensions

Où on se promène en points de vue.

Évident espace rempli d’imaginaire,

Pas seulement du passé, du présent,

Mais aussi d’avenir que l’on revisite

Rêvant nouvelles harmonies de vie !

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Déclarée «Patrimoine de l’Humanité »  en 1999, par l’UNESCO,

San Cristobal de la Laguna, devient un sanctuaire au plus haut.

Centre religieux, par  ses églises, par ses temples,

Centre culturel par son université et son musée,

Elle rayonne comme phare dans l’ile de Tenerife

On s’y plait, on se sent bien, à se promener en ses rues, ruelles,

En l’atmosphère des siècles derniers, sans renier la modernité.

.

Des rues entières avec des maisons colorées

Pastels, mélangés, à deux étages, maximum :

Nul poteau électrique, que lampadaire discret

 Tous les signes et les publicités de la modernité

Ont été gommé pour conserver une ambiance

D’immersion en témoignage vivant du passé.

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Souvent, à la tombée du jour, coucher de soleil

Apporte sa lumière pour magnifier ses couleurs,

Puis au fil de l’heure, et dans une semi obscurité,

Redonne à la ville un aspect fantomatique suranné

Nous avons pris plaisir à déambuler sans but précis

Dans son dédale, ses ruelles, entre ses parcs, arborés !

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59 – Calligramme

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Eh oui, vous le pensez  fort bien,

Lors êtes habitants de cette ville

Que votre beau patronyme,

Ne rimera point  avec vil !

Mon patrimoine   abscons,

Ne sera jamais  d’humanité

Ici, nous sommes,    en ce cas,

À San Cristobal    de La Laguna.

Tramway, venant           de Santa Cruz,

Nous mène droit          §§       pour ouvrir le bal.

Enchantement de            §§       revenir deux siècles,

En arrière,  avant               §§     de devenir bénéficiaire

De reconnaissance,               §§       d’authenticité,  entière.

Cette cité est riche                  §§       de sa couleur et lumière,

Construite en archi                 §§       tecture typique Canaries

Qu’on retrouve à San               §§       Sébastian de La Gomera.

Elle nous aura laissé               §§§      l’impression d’harmonie,

Avec ses murs ses ha                             bitants, et  Nature d’ici.

San                           S                             Cristobal, haut perché,

Haut                        A                                de quinze cent pieds,

À huit                        N                                kilomètres, en terre,

En tout                       *                               se montre très fière,

De son                           C                              présent, et avenir,

À voir                               R                           les touristes venir

La visiter                             I                            comme musée,

Revivant un                           S                           ancien passé.

San Cristobal                            T                      de la Laguna

Un nom qui sonne                         O                      et qui va,

Saturé d’architectures,                  B                         ornées

De grandes façades bal                A                       connées

Des palettes de couleurs            L                     ardentes,

Avec des rouges, jaunes         *                        marrons,

Alternant à chacune de      L                    ses maisons,

Où chacune s’y voit      A                comme résident.

Un air de gaieté      *             et un air de sérénité,

À bien vivre        L             à l’abri des calamités.

Ici, y a une     A            église, une cathédrale !

Plus loin       G         y a  une école doctorale

Là un palais, U      un comptoir, un hôtel

Avec un patio   N   aux touches pastel !

On s’y promène   A    en y marchant,

Dans  ses rues,  comme en tableau

En trois dimensions et mouvant

Admirant le tout,  bien vivant !

 Nuit tombée  et lampe éclairée,

Créent atmosphères chavirées,

Des  rêves, inachevés, illuminés,

Que l’on aura, en mémoire, gardés.

.

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Forme

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Réduction

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59 4

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Évocation

 .

Vase semblant contenir un trésor :

On est bien  d’accord, mais lequel 

Et de quelle ville l’a-t-on exhumé

Qui peut le dire et le démontrer ?

 .

San Cristobal semble comme un trésor

Contenu dasn un précieux vase, ancien,

Où l’on a un grand plaisir à déambuler.

 .

Un vase qui a l’air très ancien, voir antique,

Trouvé en fondation de la ville

Devenue un patrimoine mondial de l’Unesco

Et exposé dans un musée local.

  .

Symbolique 

 .

Si les vases

Funéraires sont

Emprunts de symbolique,

À l’image des monuments

Cinéraires  ou  funéraires

Qui émaillent cimetières,

Ils sont également reflet

Du caractère du défunt

Ou des liens, l’unissant

À  l’entourage soucieux

De lui rendre  un dernier

Hommage … personnalisé.

deces-info.fr/arts-funeraires/ornements/

symbolique-lornement-funeraire

 .

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Descriptif

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59 – San Cristobal de La Laguna

Alignement central / Titre  serpentin/ Thème  monument

Forme  en ovale / Rimes égales/ Fond approché de forme

Symbole de forme : vase / Symbole de fond : ville

.

.

Fond

.

Évocation 

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59 6

.

Cette ville est patrimoine de l’humanité

Et elle le mérite bien,

La parcourt de long et large et souvenirs

Resteront bien vivants

 .

Symbolique 

 .

Civilisations

Oc-ci-den-ta-les

Moyenne-orientales

 Ont nombre  de mythes

Récits légendaires  ayant

Trait à la création des villes.

.

Par-delà  la  réalité  historique,

Ces  récits   nous   renseignent  sur

Le sens même donné par les hommes

À ces établissements construits par eux,

De toutes pièces : la ville reste  un espace

Qui concentrera  une  population humaine,

Symbolise l’activité, la richesse et la fertilité.

Modifié et mis en forme, source : Wikipédia  

 .

.

Corrélations

Fond/forme 

 .

Chaque ville, ayant été bâtie indépendamment,

Et par des gens qui voulaient lui donné un style

Architecturalement très plaisant, notamment,

Aura conservé au moins un centre, un noyau

Qui témoigne de son passé, son avènement

Mais ici, c’est une ville entière, préservée

Intacte comme le jour de son élévation

On y circule comme dans un musée,

Comme si le temps l’avait figé !

.

Un pied, un corps, une tête : nul doute, un vase

De grande taille et quatre anses pour le porter :

Rien à voir avec une ville, sauf peut-être antique

Et de son passé historique, un vestige symbolique.

Par contre, ses rimes s’accorderont à ses courbes,

Et l’on s’attend à un fond prometteur, intéressant.

 .

Visuel

.

.

 De la couleur en toutes les rues

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Visuels et textuels  >> 


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