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Originaux : poème, extensions, fragments
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Poème
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Futur anticipation de mon passé,
Lors je le projette comme réalisé.
Micro, macrocosme se rejoignent, superposent
La vie n’est autre qu’éternel recommencement.
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Si futur de l’humanité est disparaitre :
Fait d’y naitre n’est que fin annoncée
Dans une pensée étant pour le moins, circulaire,
De trouver le sens de ma vie, je suis bien sommé.
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Entre merveilleux, logique, absurde,
Lequel choisir : un mélanger deux !
Si je suis dans continuité de hasard, phénomène,
Je n’ai de raison de naitre et pas plus ,de mourir.
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Si ma vie n’est absurde à vomir,
Il faut lui créer un sens à chérir.
Mon futur ne sera autre que le passé en devenir
Et que je ne maitriserai guère car il faut le dire.
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Ce qui est vrai à l’échelle macro,
Le sera aussi à la mienne, micro.
Mon futur n’a pas d’avenir : paradoxe intenable
Qui ne peut me renseigner sur un impondérable.
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Car il n’est que ce que j’en fais
Car il n’est que ce que j’en sais
Car si je suis né de successions de phénomènes,
Qui s’enchevêtrent jusqu’à la conscience même.
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Il y aurait … de bonnes raisons,
Une hypothèse, une explication
Je suis sommé de trouver, à ma vie, le bon sens,
Que déjà mort, en tombe, j’emporte mon secret.
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Plus mes connaissances avancent,
Plus, prend conscience ignorance.
La planète Terre et toutes les vies qu’elle abrite,
Me paraissent bien fragiles, et, surtout, sujettes
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A ma disparition, en trou noir,
Qui ne me laisse aucun espoir.
Mon âme, voire esprit, qui sont censés survivre,
Se retrouvent-ils quelque part ou bien nulle part.
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Autant distances que proximités,
Entre la foi, matières et altérités
Alors pourquoi une conscience de cet événement
Comme une histoire sans fin ou à dormir debout.
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Si le temps nous est bien compté,
Notre vie qui peut nous la conter ?
S’il est vrai que l’on ne peut rien attendre du passé,
Commencement n’a pas de fin, et réciproquement.
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Nous-mêmes en esprit avec rien d’autre à imaginer
Que nous avons, en même temps jamais … exister,
Tout comme un Bug de l’Univers ayant mal tourné.
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S’il est vrai qu’on ne peut rien attendre du passé,
Et que mon présent est comme éclair évanescent,
Puis-je, au moins, espérer, des choses du futur !
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Extensions
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Mon avenir va durer jusqu’à quand
Si je suis n gymnaste, jusqu’à 30 ans
Si je suis un grand sportif : 40 ans,
Si je suis ingénieur de base : 5o ans
Si je suis un spécialiste : 60 ans
Si je suis un médecin : 70 ans
Si je suis un écrivain : 80 ans
Alors autant être un poète,
Et vivre jusqu’à cent ans.
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Nous voilà bien au cœur du sujet de notre vie :
Notre destin nous appartient pour partie ou pas !
Il n’y aura pas de juge ni de vérité pour se prononcer
Seule la croyance, la réflexion, la comparaison, action,
Nous guideront en choix philosophique de libre-arbitre.
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Libre arbitre est comme un oxymoron : pourquoi limiter
Mon action, détermination, engagement, responsabilité,
Je suis sur Terre pour faire ce qui me plait me convient,
Et non pour satisfaire une injonction qui me contraint.
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Mon futur est de l’ordre à penser à tous les possibles,
Navigue entre souhait, opportunité, effort consenti,
Certains ne voient plus loin qu’un an, autres, vie !
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Fragments
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Mon futur n’a pas d’avenir,
Mon avenir est en mon passé,
Voilà deux assertions négatives
Qui bloqueront le moindre espoir
Que les choses changent, évoluent,
Pour ne pas dire progressent en sens
Voulu, et ce, dès lors qu’on ne devient
Que ce que l’on décide d’être, au fond !
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On pourra voir la vie comme un cercle
À l’intérieur duquel on tourne en rond,
Comme un labyrinthe qui nous retient
Comme une spirale, qui nous aspire,
Ou encore comme une vis sans fin.
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L’image spirale chute, vers le bas
L’image vis sans fin, tire en haut
Et avec la première, la déprime
Lors seconde, forte motivation.
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À vous de choisir, avec les dés
Et que vous secouez en mains
Le futur n’y serait pas inscrit
L’avenir créera opportunités.
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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Mon futur, j’en ai un : forcément !
Futur anticipation de mon passé,
Lors je le projette comme réalisé.
Micro, macrocosme se rejoignent, superposent
La vie n’est autre qu’éternel recommencement,
Si futur de l’humanité est disparaitre :
Fait d’y naitre n’est que fin annoncée
Dans une pensée étant pour le moins, circulaire,
De trouver le sens de ma vie, je suis bien sommé.
Entre merveilleux, logique, absurde,
Lequel choisir : un mélanger deux !
Si je suis dans continuité de hasard, phénomène,
Je n’ai de raison de naitre et pas plus ,de mourir,
Si ma vie n’est absurde à vomir,
Il faut lui créer un sens à chérir.
Mon futur ne sera autre que le passé en devenir
Et que je ne maitriserai guère car il faut le dire :
Ce qui est vrai à l’échelle macro,
Le sera aussi à la mienne, micro.
Mon futur n’a pas d’avenir : paradoxe intenable
Qui ne peut me renseigner sur un impondérable
Car il n’est que ce que j’en fais
Car il n’est que ce que j’en sais
Car si je suis né de successions de phénomènes,
Qui s’enchevêtrent jusqu’à la conscience même,
Il y aurait … de bonnes raisons,
Une hypothèse, une explication
Je suis sommé de trouver, à ma vie, le bon sens,
Que déjà mort, en tombe, j’emporte mon secret.
Plus mes connaissances avancent,
Plus, prend conscience ignorance.
La planète Terre et toutes les vies qu’elle abrite,
Me paraissent bien fragiles, et, surtout, sujettes
A ma disparition, en trou noir,
Qui ne me laisse aucun espoir.
Mon âme, voire esprit, qui sont censés survivre,
Se retrouvent-ils quelque part ou bien nulle part
Autant distances que proximités,
Entre la foi, matières et altérités
Alors pourquoi une conscience de cet événement
Comme une histoire sans fin ou à dormir debout :
Si le temps nous est bien compté,
Notre vie qui peut nous la conter ?
M CE QUE
S’il est vrai que O l’on ne peut rien ‘ attendre du passé,
Commencement N n’a pas de fin, J réciproquement.
Nous-mêmes en * esprit avec rien E d’autre à imaginer
Que nous avons, F en même temps * jamais exister,
Tout comme un U Bug de l’Univers F ayant mal tourné.
S’il est vrai on T ne peut rien at A tendre du passé
Et que mon U présent est éclair I évanescent,
Puis-je, au R moins, espérer chose S du futur !
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Forme
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Évocation
On peut y voir un pilier, une tour,
Une vis en bois de pressoir pour
Mieux voir ma spirale du futur
Que me prédira ma voyante !
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Un tour de vis de pressoir après l’autre
Et je monte d’un cran vers mon futur,
Je redescends vers un état équivalent
De mon passé pour remonter !
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Symbolique
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Une vis vue en rêve symbolise des privations.
La vis que l’on tourne dans son écrou
Peut, également, représenter relation sexuelle.
Rêver de serrer une vis signifie que
Vous devez faire plus attention à vos dépenses.
Une période de privations semble
Nécessaire si vous voulez éviter des dettes.
Rêver de voir une vis desserrée
Ou de desserrer la vis signifie que vous
Traversez période de laisser aller.
Reprenez-vous, faut
Davantage de
Discipline
Ici.
reve-interprete.com/dictionnaire
-des-reves/reve-de-vis
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Fond
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Évocation
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Un tour de vis de pressoir après l’autre
Et je monte d’un cran vers mon futur,
Je redescends vers un état équivalent
De mon passé pour remonter !
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Symbolique
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………………………………… La prospective est la démarche qui vise,
………………………………… Par une approche plutôt rationnelle
………………………………… Et holistique, à préparer le futur :
………………………………… Ne consiste pas à prévoir l’avenir
………………………………… Relevant de la divination, et voire
………………………………… Aujourd’hui de certaine futurologie,
………………………………… Mais élaborer des scénarios possibles
………………………………… Impossibles en perception du moment
………………………………… Sur base analyse données disponibles.
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Fond/forme
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Ch
Chacun sait que le futur est forcément à venir ……………………………….
Lors certains disent que le leur n’a pas d’avenir ……………………………..
Le futur rimerait tantôt avec contraint et libre ………………………………
Quoiqu’il en soit, me fait rêver quand il vibre …………………………………
Je l’imagine comme une spirale montante ……………………………………..
Vers un sommet des plus inaccessibles ! …………………………………………
Futur n’a pas de forme bien précise, ………………………………………………
Qui ferait fond et forme, s’épouser …………………………………………………
Au point de confondre destinée. ……………………………………………………
Le futur est notre concepteur et récepteur
De tous les possibles même les impossibles
C’est le lieu et le temps de nos projections
D’existence, sans limite, non humanité ;
Certains pensent que futur se rétrécit,
Avec l’âge et que trente ans est le pic
Alors qu’à cent ans il est toujours,
Devant soi pour celui qui y croit
Pour le peu qui reste à faire !
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