75 – Vallée, Los Tilos, La Palma

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Visuel scénario

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Nous profitons d’un panorama

sur intérieur d’île de La Palma

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où l’on aperçoit un pont enjambant

 une gorge profonde, et bien déserte

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où nous observons des oiseaux,

 à partir de cet éperon rocheux !

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Textuel calligramme 

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  • Vallées, gorges, ravins : on peut explorer, sans fin, ces lieux qui s’avèrent divins. Vallée de larmes ou vallée de joie, pleine de cailloux ou pleine de bois, l’on voit ainsi celles de La Palma ! Fontaines et cascades s’y succèdent. S’y abreuver, lors marchant, l’on y cède, et pique-niquer, parfois, l’on procède. A l’ombre de fraîche pinède, sieste s’impose et l’on repart. Des cris d’oiseaux de toutes parts ! On n’est pas là, par hasard : l’amour de la Nature est un art.  La Palma, ile verte, vaut bien découverte, marcher de pic en pic, y manger pique-nique. Tantôt protégé par une forêt, tantôt par de longs murets, les sentiers serpentent fort, d’est en ouest ou du sud au nord. Voilà, on grimpe encore vers notre prochain mirador, pour admirer la vue imprenable sur un site, en pente, admirable. Panorama par ci, mirador par-là, alternent avec les gorges et ravins où, les cailloux roulent sur le chemin, où nos corps souffrent, jusqu’à devenir las. Le soleil, toujours là, au rendez-vous, nous oblige à boire de l’eau beaucoup. Des fontaines en cascades, où l’on se baigne, nous délassent tant un vrai et pur bonheur y règne. Toute vallée a le mérite de vous plonger au fond d’un monde, entre deux montées, où l’eau dévale en dégringolades, sources, ruisseaux, cascades. La Palma est l’île la plus verte, la plus fleurie, des îles canariennes, alternant cailloux et herbes, de sa  nature, gardienne.

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Textuel extension

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  • Un volcan, quel qu’il soit, constitue toujours une attraction géologique et touristique, surtout quand il était encore en activité il n’y pas si longtemps, disons une cinquantaine d’années. Il s’agit, ici, d’un très ancien dont les traces se sont quelque peu estompées. Il a donné naissance à une vallée, aujourd’hui verdoyante, dans laquelle on a plaisir à randonner. C’est vrai pour toute l’île, c’est cela qui est plaisant. Contrairement aux îles de Lanzarote, Fuerteventura, d’aspects et végétations, désertiques, ici, c’est tout le contraire. Nous sommes pourtant dans le même archipel. Chaque ile a conservé, développé son identité propre tant au plan géographique et climatologique qu’économique et culturelle, avec, naturellement, des points communs tels qu’une même langue même administration et même folklore canarien et ce n’est pas rien tant pour les résidents que pour des touristes tels que nous.  Du vert en haut, du vert au milieu, du vert en bas : force est de constater que vallée évoque verdure ! Deux flancs et le plus souvent une rivière en bas : force est de constater qu’elle évoque l’eau pure ! On y trouve des ponts, au fond, entre ses gorges  et ses creux révèlent des fertilités légendaires, et dont les humains n’en font plus mystère apportant courant à son soufflet de forge en couvrant ses champs, de blé, orge.   Des vallées, des ravins, des gorges et des cascades : en veux-tu, en voilà, à la pelle, et toutes aussi profondes et belles. Chaque vallée est différente, est surprenante, couverte de verdures ou de pins, ou de laves, avec, ici ou là, haut pont pour la franchir et un ruisseau coulant en cascade au fond. La forêt de Los Tilos est remarquable explosion de biodiversité et de vert charmant l’oreille et l’œil, comme une jungle tranquille et regorgeant de mousses et d’oiseaux, sans oublier l’odeur de l’épais feuillage frais. Los Tilos est une des rares forêts de laurisilva du monde, forêt primitive couverte d’arbres à grandes feuilles qui prolifèrent, sur notre planète, depuis des millions d’années.

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Textuel épilogue

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  • Qui dit montagne, dit versant, cours d’eau, vallée plus ou moins large et profonde et voire torturée. Certaines sont restées sauvages, d’autres habitées : chacune a un visage, des problèmes, particularités. L’on y craint toujours des éboulements, avalanches, inondations torrentielles, boueuses qui s’épanchent. Dans nombre de vallées, il y a, souvent, des activités qui perdurent l’hiver et nourrissent les populations. La Palma est l’ile plus fleurie de l’archipel canarien, c’est vrai, qu’en ses vallées, il y a milliers de plantes. 1 000 km de sentiers balisés, La Palma et à juste titre,  peut être qualifiée comme un paradis de la randonnée. Le Parc national de Caldera de Taburiente, nous a offert  son immense cratère, d’un diamètre de plus de 8 km. La vallée de Los Tilos nous a ravi des pieds à la tête, par son écrin de verdure, par ses nombreux oiseaux : nous étions seuls au monde dans cette belle nature.  Des forêts de pins, de lauriers, des gorges profondes,  des paysages volcaniques et  des cascades alternent  avec  des plantations de bananes, de légumes et de vignes.

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Textuels symboliques 

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Vallée

  • Symbolique de forme : Une vallée est un creux dans le relief, façonné par un cours d’eau. Elle est liée à la montagne et s’y oppose. Elle symbolise : la sérénité, la plénitude, La fertilité, la transformation. Généralement longue et étroite, elle résulte de l’érosion de roche qui est causée par les écoulements des eaux.  La vallée marque la séparation entre deux chaînes de montagnes étant parallèles. Elle symbolise la puissance séparatrice de la nature. Modifié, source : 1001 symboles

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Vallée

  • Symbolique de fond : Une vallée est un creux dans le relief, façonné par un cours d’eau. Elle est liée à la montagne et s’y oppose. Elle symbolise : la sérénité, la plénitude, La fertilité, la transformation. Généralement longue et étroite, elle résulte de l’érosion de roche, causée par les écoulements des eaux.  La vallée marque la séparation entre deux chaînes de montagnes étant parallèles. Elle symbolise la puissance séparatrice de la nature. Modifié, source : 1001 symboles

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Corrélations > Profondeur, largeur, hauteur, plateau, col,

  • Liens fond/forme : Perspective de vallée s’établit en s’approfondissant et se rétrécissant, du moins en montagne, selon son point de vue. Il peut y avoir au milieu, des passages étroits mais au fond, elle se termine en sorte de cirque entouré par des monts et jusqu’à grimper à son col. Tant et si bien que le tout rimera avec une chaine, Et que chaque chaine produira ses propres vallées, qui se traduiront parfois par des gorges, canyons !

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