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Originaux : poème, extensions, fragments
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Poème
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Du chant,
Et de la danse
Font un spectacle
Animé, joyeux, coloré
Où on se trouve entrainé
Malgré soi, dans le cercle !
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Ce n’est pas notre tasse de thé
Spectacles danses folkloriques
Des Canaries, de l’Espagne,
De Bretagne, ou d’ailleurs.
Sauf excepté pour cette fois,
En ce dimanche, désœuvrés,
Nous avons fini par trouver
Une exhibition près du port,
Pueblo Canario, authentique,
Musée de Nestor de La Torre.
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Le cadre se prête plutôt bien
À la fois ancien, architectural,
Et cela, pour entendre chanter,
Autant que pour voir … danser,
Sans compter jouer d’instrument.
Musiciens s’accordant, à merveille,
Avec les danseurs feront un spectacle
Réjouissant autant la vue que l’oreille.
Pour une bonne heure de chants, danses,
Entrecoupée d’une pause d’une demi-heure
Histoire de nous vendre leurs Cds, souvenirs.
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Cela dit, c’est plaisant à voir autant à entendre,
Les voix d’hommes sont plus justement timbrées
Que celles des femmes, pourtant couples assortis.
En plus, la cour du Pueblo Canario nous a gratifiés
D’architecture espagnole et du plus bel agencement,
Signature d’architecte et frère de Nestor de La Torre.
Entre divers danses, soit lentes ou voire troublantes,
Des chansons mélancoliques, ou avec des rythmiques,
Font participer des gens autour et qui applaudissent
Opportunité nous offre de parler entre français esseulé
Un voisin de table que l’on a fini par inviter à déjeuner.
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Navigue sur Kirk, Maramu quinze ans, puis à la retraite,
Il sillonne comme nous, les iles, attend sa femme demain.
On s’est reconnu dans son programme de vie et de voyage
Lors nous avons passé bons moments à échanger avec lui.
Vie de ponton pourrait constituer un vrai, sujet d’un récit.
Il y a tant de choses à raconter, nul besoin d’en inventer.
Pour finir , l’après-midi nous a gratifiés d’un soleil plomb
Et sommes promenés à Coloradoria, l’Isletta front de mer.
Le monde fou ce jour-là sur la plage couverte de parasols,
Châteaux de sable, art éphémère : spécialité de Las Palmas.
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Extensions
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Nous nous sommes promenés à Coloradoria
Sur la Isletta puis ensuite sur le front de mer.
Il y avait du monde, ce jour-là, sur la plage,
Couverte de parasols, et même un concours
De réalisation érections châteaux de sable,
Art éphémère et spécialités de Las Palmas !
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Beautés éphémères : c’est bien cette impression
Qui m’est restée en contemplant ces chefs-d’œuvre
De sculptures qui ont demandé une journée ou presque
De travail et se trouveront engloutis par la marée suivante.
Elles sont, quelque peu, à notre image, soit dit en passant !
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Danse, danse, danse… trois temps,
Le corps toujours en mouvement,
Au son rythmé des instruments,
Qui font bouger le corps vivant,
Qui font vibrer le cœur amant
Tourner la tête, embrassant,
Et les pieds, bien en avant,
Lors parfois en chantant,
Une âme, en s’ouvrant.
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Chants et danses et musiques
Folkloriques, ou traditionnelles
Sont souvent exécutés en public,
En couple ou en groupe, non solo,
Les costumes locaux seront portés,
Les spectateurs feront cercle autour.
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On nous a parfois parlé démonstrations
Rien que pour attirer, séduire les touristes
Costumes sont trop neufs ; pas, trop assurés :
Ici, rien de tout cela, comme la fête de quartier
Pour un peu on entrerait en danse, contredanse,
Comme pour les encourager, pour les remercier.
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Fragments
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Les danses, chants, musiques,
Lors en costumes folkloriques,
Y vont tous de leurs rythmiques
Sans oublier mélopée mélodique
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Il y a une part un peu … artistique
À l’intention d’un usage touristique,
Une autre, à suivre pour tout public
Où chacun dansera, parfois, oblique.
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L’ensemble n’aura rien de fantastique
On dirait séquence de vie domestique,
Quartier, communauté, sympathique :
Y a pas esprit de clocher, pas de clique
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On passe des sévillanas aux flamencos,
Aux valses, aux salsas puis aux tangos,
C’est toujours spectacle des plus beaux
De voir une foule bouger comme l’eau.
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En plus de danser ambiance populaire
Comme un parfum convivial dans l’air,
On fait des rencontres extraordinaires,
Et l’on garde, en son âme, son mystère.
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Graphiques : calligramme, forme et fond
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Calligramme
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Du chant,
Et de la danse
Font un spectacle
Animé, joyeux, coloré
Où on se trouve entrainé
Malgré soi, dans le cercle !
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Ce n’est pas notre C tasse de thé
Spectacles danses H folkloriques
Des Canaries, A de l’Espagne,
De Bretagne, N ou d’ailleurs.
Sauf excepté T en cette fois,
Ce dimanche * désœuvrés,
Nous avons fini D par trouver
Une exhibition A près du port,
Pueblo Canario, N authentique,
Musée de Nestor S de La Torre.
Le cadre se prête E plutôt bien
À la fois ancien * architectural,
Et cela, pour entendre chanter,
Autant que pour voir … danser,
Sans compter jouer d’instrument.
Musiciens s’accordant, à merveille,
Avec les danseurs feront un spectacle
Réjouissant autant la vue que l’oreille.
Pour une bonne heure de chants, danses,
Entrecoupée d’une pause d’une demi-heure
Histoire de nous vendre leurs Cds, souvenirs.
Cela dit : c’est plaisant à voir autant à entendre,
Les voix d’hommes sont * plus justement timbrées
Que celles des femmes, * pourtant couples assortis.
En plus, la cour du Pueblo * Canario nous a gratifiés
D’architecture espagnole * et * du plus bel agencement,
Signature d’architecte C et frère, P de Nestor de La Torre.
Entre divers danses, A soit lentes U ou soit troublantes,
Des chansons mélan N coliques, ou, E avec des rythmiques,
Font participer des A gens autour B et qui applaudissent
Opportunité nous R offre de parler en L tre français esseulé
Un voisin de table I que l’on a fini par O inviter à déjeuner.
Navigue sur Kirk, E Maramu quinze ans, * puis à la retraite,
Il sillonne comme N nous, les iles et attend C sa femme, demain.
On s’est reconnu, N dans son programme de A vie, et de voyage
Lors nous avons E passé de bons moments à N échanger avec lui.
Vie de ponton S pourrait constituer un vrai, A sujet d’un récit.
Il y a tant de * choses à raconter, nul besoin R d’en inventer.
Pour finir D après-midi nous a gratifiés d’un I soleil plomb
Et sommes E promenés à Coloradoria, l’Isletta O front de mer.
Le monde * fou ce jour-là sur la plage couverte * de parasols,
Châteaux * de sable, art éphémère : spécialité de * Las Palmas.
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Forme
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Évocation
Un couple de danseurs,
Pour quelle danse, flamenco,
On peut penser à un tango
Tout autant qu’un slow.
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Il faut voir quelques danses espagnoles
Telles le flamenco voire les sévillanas
Mais aussi typiquement locales,
Et en couples, folkloriques.
Un couple de danseurs, très collés-serrés,
Si près qu’on ne distingue qu’une seule tête :
On les imagine, en sorte de valse tournoyante,
Ou enchainant moult danses, rythmes endiablés.
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Symbolique
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Symbole
De l’Espagne
Et en particulier
De l’Andalousie,
Le flamenco re présente l’aspect
Le plus typique de la culture ibérique
Reste le faire-valoir culture espagnole
À travers le Monde et au même titre que
Ses spécialités culinaires. La musique flamenco
Dont découlent la danse et chant tient ses origines
Musique grecque, romaine, indienne, juives, maure.
Elle est moyen d’expression des peuples opprimés.
Le flamenco est le reflet de la richesse culturelle
Due à un mélange civil lisations dont l’Espagne
A fait l’objet de repères pendant plusieurs siècles.
vraiesecolesdelangues.com/blog/culture-espagnole/le-flamenco
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Fond
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Évocation
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Il faut voir quelques danses espagnoles
telles le flamenco voire les sévillanas
mais aussi typiquement locales,
et en couples, folkloriques.
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Symbolique
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Danser est le symbole
Du mouvement,
Le mouvement des corps
Et celui de la vie
En perpétuels changements.
Danser est une forme d’expression
Qui permet de traduire
Nos émotions, libérer nos sentiments
Et d’avoir une certaine
Conscience de notre corps … qui exulte.
Danser, c’est être vivant, animé, et joyeux,
Libre, dynamique, plein d’énergie.
D’avoir, d’acquérir mentalité positive, optimiste
Qui rejaillit sur notre humeur, santé
psycho2rue.fr/dictionnaire-des-symboles-de-reve/danse/
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Fond/forme
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Il n’y a pas que la valse des corps et des mouvements
Il n’y a pas que leur concordance, à deux, en tournant,
Il y a comme un élan partagé par deux êtres dansants,
Qui ne cherchent qu’à le consommer, en ce même instant,
Mais il existe aussi la danse d’autres formes en nos yeux
Telles ces sculptures qui, bien que figées, nous parlent
Avec des mots qui trottent en nos têtes, nos bouches
Et qui finissent par nous inspirés, image, poésie.
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