.
Avec un nom aussi musical que celui-là,
Typé espagnol, difficile de renier
Ses origines, sa localisation,
Bien au sud,
Chargés de soleil, et d’histoire,
D’architecture.
Cette ville bien conservée en état
Depuis un siècle,
Habitée depuis, sans rien changer,
Aimée par habitants,
Mérite bien plus que simple détour,
Une journée pleine,
Afin de faire le tour, de ses charmes
Et de ses beautés.
On pourrait y tourner bien des films
En technicolor,
Avec cowboys, croque-mort, et bandits,
En saloons !
.
En plein milieu d’un après-midi, un samedi,
Nous nous rendons en plein cœur de Santa Cruz.
Et prenons le tram, jusqu’au terminus de La Laguna,
Une demi-heure de transport et voilà, nous y sommes.
Curieusement une ville ancienne et lors prétendue musée,
Pourtant, classée récemment au Patrimoine de l’Humanité,
Est bien déserte, elle semble inhabitée, de touristes, oubliée.
.
L’an passé à la même heure, rues étaient bondées de monde.
Ça nous donne loisir d’admirer les façades authentiques,
Marron, jaune et beaux balcons maisons qui les composent
Ayant pas plus d’un étage sans aucun étalage modernité.
Point de vue architecture, une merveille, style espagnol,
XVIII, XIXème et trois églises, cathédrale majestueuse,
Un peu sobre et sombre mais âme bien hispanique.
.
Impression déjà vu, parcouru, visité, nous aura saisi,
Au point nous sommes assis à la terrasse d’un café,
À se ré-imprégner d’atmosphère émotion palpable
Bien que celle découverte de ce lieu, ait disparu.
Rechercherait-on même animations, émotions
Difficile à dire tant le fort appétit d’approfondir
Leur connaissance s’est trouvée, partie frustrée
Par répétition de même parcours qu’an passé.
.
Venir et revenir ont chacun leur désir, plaisir,
Qui sont différents et tout aussi plaisants,
Si l’on a su garder une âme pure, d’enfant.
San Cristobal de La Laguna Santa Cruz,
Nous cacherait encore bien des mystères
À découvrir : la visitant, une autre fois.
.
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Extension
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Que dire de plus sinon qu’il faut aller visiter
Cette ville dont le cœur est un vrai musée,
Et à l’atmosphère des plus surannées
Et qui respire de l’âme d’un passé
Où la joie de vivre était actée.
Par ses couleurs chatoyantes
Sous des lumières éblouissantes
Et des parterres de fleurs odorantes
Faisant de cette ville, une étape épatante.
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San Cristobal de la Laguna :
Ce nom sonne, déjà, à l’oreille
Comme promesse de caractère,
Voire qui plus est, d’authenticité
Et l’on n’y aura guère été trompé,
En empruntant le tram qui la relie
Directement du centre Santa Cruz
.
Là, ce qui nous aura le plus frappé
Est une architecture harmonieuse,
Jointe à palette couleurs soyeuses.
L’on remonte le temps d’un siècle :
La ville est restée comme elle était
Son histoire même, nous stupéfait,
On ne peut trouver cadre plus vrai.
.
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Épilogue
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C’est toute la magie d’un tel lieu :
Nous sommes des touristes curieux
De tout ce qui touche à l’architecture
À l’aménagement, de nature urbaniste.
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Partout, dans le Monde entier, il existe
Villages, sinon villes entières, préservées
Du temps, comme dans un siècle, figées
Qui émerveillent, émotions suscitent !
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***
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Il y a des villages, primés premier,
Comme en France, chaque année,
D’autres seront carrément cités,
Patrimoine mondial UNESCO.
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***
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Il existe aussi des concours
De villages, villes, fleuries,
Si ce n’est aménagements
Sportifs et voire culturels.
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***
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Mon ile, à moi, fait partie,
Des plus chers et plus belles
Tant à mes yeux et mon cœur,
Demeurant des plus naturelles !
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142 – Calligramme
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Avec un nom aussi musical que celui-là,
Typé espagnol, difficile de renier
Ses origines, sa localisation,
Bien au sud,
Chargés de soleil, et d’histoire,
D’architecture.
Cette ville bien conservée en état
Depuis un siècle,
Habitée depuis, sans rien changer,
Aimée par habitants,
Mérite bien plus que simple détour,
Une journée pleine,
Afin de faire le tour, de ses charmes
Et de ses beautés.
On pourrait y tourner bien des films
En technicolor,
Avec cowboys, croque-mort, et bandits,
En saloons !
.
En plein milieu d’un après-midi, un samedi,
Nous nous rendons en plein S cœur de Santa Cruz.
Et prenons le tram, jusqu’au A terminus de La Laguna,
Une demi-heure de transport N et voilà, nous y sommes.
Curieusement une ville ancienne * et lors, prétendue musée,
Pourtant, classée récemment au C Patrimoine de l’Humanité,
Est bien déserte, elle semble inha R bitée, de touristes, oubliée.
L’an passé à la même heure, rues I étaient bondées de monde.
Ça nous donne loisir d’admirer S les façades authentiques,
Marron, jaune, et beaux balcons T maisons qui les composent
Ayant pas plus d’un étage sans O aucun étalage modernité.
Point de vue architecture, une B merveille, style espagnol,
XVIII, XIXème et trois églises A cathédrale majestueuse,
Un peu sobre et sombre mais L âme bien hispanique.
.
Impression déjà vu, parcouru D déjà visité, nous a saisi,
Au point nous sommes assis E à la terrasse d’un café,
À se ré-imprégner d’atmos phère émotion palpable
Bien que celle découverte L de ce lieu, ait disparu.
Rechercherait-on mêmes A animations, émotions
Difficile à dire tant fort * appétit d’approfondir
Leur connaissance s’est L trouvée, partie frustrée
Par répétition de même A parcours qu’an passé.
Venir et revenir ont cha G cun leur désir, plaisir,
Qui sont différents et U tout aussi plaisants,
Si l’on a su garder une N âme pure, d’enfant.
San Cristobal de La A Laguna Santa Cruz,
Nous cacherait encore bien des mystères
À découvrir : la visitant, une autre fois.
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Une bouteille, carafe,
Un flacon de parfum
Mais tout aussi bien
Un vase à fleurs ?
.
Belle forme de vase, s’il en est,
Peu de résonnances avec le fond :
Vrai que forme se suffit à elle-même.
.
Le contenant et le contenu, parfois,
Converge, parfois, divergent,
Et c’est bien le cas ici et ce, en dépit
D’un très beau vase à fleurs.
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Symbolique
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Le vase est un contenant :
La boîte, le sac, l’armoire,
Le vase et symbole féminin.
Dans le vase, on met de l’eau,
Symbole de la vie, de la terre aussi,
Une plante qui pourra s’y développer.
.
Les alchimistes appelaient aussi vase
Le creuset dans lequel ils projetaient
Leurs transformations, intérieures.
.
Ce lieu clos, reste propice à l’image
De renfermement sur soi le temps
D’élévation niveau conscience,
Lors processus individuation
signification- reves.fr/ vase
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Descriptif
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142 – San Cristóbal de la Laguna, Tenerife
Alignement central / Titre droit / Thème ville
Forme courbe Rimes libres / Fond éloigné de forme
Symbole de forme : vase / Symbole de fond : fleurs
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Fond
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Évocation
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Le contenant et le contenu, parfois,
Converge, parfois, divergent,
C’est le cas, ici, d’un vase
Convergeant fleurs.
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Symbolique
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Le vase est un symbole féminin.
Le creux du vase évoque celui de l’utérus,
Ventre féminin, contenant des fluides vitaux.
Par la grâce de ses courbes et sa fonction
De réceptacle de fleurs, le vase évoque
Le corps féminin. Les fleurs en sont
Le principe vivant et l’expression
De beauté intérieure rêveuse.
L’eau qu’il contient nourrit
Les fleurs est fluide vital
En énergie bénéfique
Et nourricière.
L’éclat des fleurs est
Le témoin de la bonne
Circulation du fluide vital.
psychologies.com/Therapies/
Psychanalyse/Dictionnaire-des-reves/Vase
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Corrélations
Fond/forme
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Un vase est à la fois un objet
Des plus communs et utiles
Et, des plus artistiques,
Comme tant d’autres !
C’est ce qui fait son intérêt
Il pourra être creux ou plein
Et ce dans tous les sens du terme
Lors il parait naturel qu’on en fasse
Un symbole féminin des contenances
Autant que fermentation/transformation
De quelque liquide ou matière que ce soit.
On peut même le rapprocher de l’utérus
Comme des creusets des alchimistes !
Ce qui est sûr, c’est qu’on en trouve
Partout dans toutes civilisations
Ce depuis origine d’humanité.
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Cathédrale de San Cristobal
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Scénario
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Architecture fin XVIII et début XIX siècle, conservées telles quelles
Avec ses rues, aux ouvertures travaillées, et, aux façades colorées,
Avec ses patios, ses cours intérieures, pavées, arborées, fleuries.
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