.
Parc national est souvent surprenant,
La Gomera l’est particulièrement.
Plein centre, d’ile volcanique,
Lors bien qu’aucun volcan,
Il aura laissé des marques
Sur son environnement.
.
Environnement, ici, qui
Sans atteindre sommet,
Est fait d’une sauvage
Et, très primaire, forêt,
Que l’on prendra plaisir
À parcourir en tous sens,
En nombre de randonnées,
Tant il est proche de paradis,
Qui nous parait abandonné.
.
Un tel circuit se devait n’être que balade de santé :
Nous sommes montés en voiture au centre de l’ile
À altitude de 1200 mètres, 25 km San Sébastian.
Salades de riz, thon, tomates, bouteilles d’eau,
Biscuits dans le sac à dos, grimpons raidillon
Qui nous hisse à trois cent mètres plus haut,
Au milieu des bosquets, ou des arbrisseaux.
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Un point de vue, dominant le Parc National
S’étendant, à la ronde, sur plusieurs vallées
Avec manteau de verdure, dit sans couture.
Contraire Europe où végétation est fournie
Jusqu’à 1500 mètres, rare absente au-delà.
Ici, c’est le contraire, c’est vrai à partir de.
Descendons, serpentant en pleine ravine,
Pour atteindre un ruisseau en contrebas,
Coulant toute l’année dans zone humide.
.
Vents des alizés chargés vapeurs d’eau,
Montant les hauteurs et barrant la route,
Sont à l’origine de l’humidité permanente.
Arrêt pour le déjeuner, près d’une cascade,
Qui nous chantonnera son éternel refrain.
Ensuite, nous rejoignons une belle chapelle
Où coule source, jaillissant du tronc d’arbre,
À hauteur homme : miracle, simple trucage !
.
Avons oublié que cela monterait tout le temps
Avec, au total, plus d’un kilomètre de dénivelé,
Qu’on commence vraiment à ressentir la fatigue.
Nous sommes encore, et, cela depuis notre départ,
Dans une forêt primaire qui daterait d’un millénaire,
Où l’homme n’est jamais intervenu, conservé en l’état.
On voit arbres gigantesques dont les troncs sont uniques
Doubles ou en dizaines accolés, lauriers, châtaigniers
Pour la plupart, sans compter autres essences.
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Extension
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Il est pourvu d’essences
Et qui tous nous interpellent
Tous sur leur grande … longévité.
Parc National de Garajonay Gomera
Demeure abandonné aux végétations,
Et, qui plus est, différents animaux,
Et à différentes espèces d’oiseaux,
Qui, de leurs chants … si beaux,
Vous saluent, et, de bien haut,
Dans les arbres ou arbustes,
Si ce n’est … arbrisseaux.
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La végétation au ciel, la sécheresse à la terre
Où l’on croirait presque, le monde à l’envers,
Mais dès que l’on pénètre en sa forêt primaire
Il n’y a plus rien que des arbres, et, bien verts !
Et randonnées, lors, se font toutes en hauteur,
Mais cela correspond bien à recherche bonheur,
Sans compter de quiétude, du corps et de l’esprit,
Qui, pas après pas et autant marche après marche,
S’installe, en nous, pour une durée … indéterminée.
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Un sentier de randonnée parmi tant d’autres
On pourrait s’en lasser, oui mais voilà, aucun
Ne ressemble à aucun autre, même souvenirs
La Gomera est un paradis pour randonneurs
Pas loin d’une douzaine de circuits indiqués,
Pour faire centre et tour de l’ile plutôt petite.
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Le centre est, curieusement, très verdoyant :
On dirait que le tour est comme une muraille
Qui le protège de toutes submersions marines
Au point d’en faire un lieu sûr, quasi intime !
Je dois dire que je m’y suis plu un maximum,
Et que l’envie d’y retourner, parfois me prend.
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147 – Calligramme
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Parc national est souvent surprenant,
La Gomera l’est particulièrement.
Plein centre, d’ile volcanique,
Lors bien qu’aucun volcan,
Il aura laissé des marques
Sur son environnement.
Environnement, ici, qui
Sans atteindre sommet,
Est fait * d’une sauvage
Et très P primaire forêt
Que l’on A prend plaisir
À parcourir R en tous sens,
En nombre de C randonnées,
Tant il est proche * de paradis,
Qui nous parait * abandonné.
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Un tel circuit se devait * n’être qu’une balade de santé :
Nous sommes N montés en voiture au centre de l’ile
À altitude A de 1200 mètres, 25 km San Sébastian.
Salades T de riz, thon, tomates, bouteilles d’eau,
Biscuits I dans le sac à dos, grimpons raidillon
Qui nous O hisse à trois cent mètres plus haut,
Au milieu N des bosquets, ou des arbrisseaux.
Un point de A vue, dominant le Parc National
S’étendant à la L ronde sur plusieurs vallées
Avec manteau de * verdure dit sans couture.
Contraire Europe où végétation est fournie
Jusqu’à 1500 mètres, rare absente au-delà.
Ici c’est le contraire c’est vrai à partir de.
Descendons, serpentant en pleine ravine,
Pour atteindre un ruisseau en contrebas,
Coulant toute l’année dans zone humide.
Vents des alizés chargés vapeurs d’eau,
Montant les hauteurs leur barrant la route,
Sont à l’origine de l’humidité permanente.
Arrêt pour le * déjeuner, près d’une cascade,
Qui nous L chantonnera son éternel refrain.
Ensuite A nous rejoignons une belle chapelle
Où coule * source, jaillissant du tronc d’arbre,
À hauteur G homme, miracle, simple trucage !
Avons oublié O que, cela monterait tout le temps
Avec, au total, M plus d’un kilomètre de dénivelé,
Qu’on commence E vraiment à ressentir la fatigue.
Nous sommes encore, R et, cela depuis notre départ,
Dans une forêt primaire qui A daterait d’un millénaire,
Où l’homme n’est jamais intervenu, * conservé en l’état.
On voit arbres gigantesques dont les troncs sont uniques
Doubles ou en dizaines accolés, lauriers, châtaigniers
Pour la plupart, sans compter autres essences.
.
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Forme
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Réduction
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Évocation
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Flacon de parfum, shampoing
Ou poivrière avec un bouchon,
En haut et en bas, poteries,
Décoration en argile rustique.
Poterie en bas, et petite en haut
Un chemin de randonnée au milieu
d’une poterie représentant une bois.
.
Ainsi la forme se dessine sur le fond,
L’argile est matière abondante,
Souple à travailler en poterie :
De fait, elle héritera de multiples
Formes et multiples décorations.
.
Symbolique
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L’argile nous relie
A une dimension très
Symbolique de la terre,
Au sens de la terre nous
Portant et sur laquelle nous
Posons nos pieds – racines.
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C’est l’argile qui nous donne
Naissance par Adam et Ève
Dans nombre mythes de la
Culture judéo-chrétienne
C’est là où nous achevons
Notre voyage … d’humain.
.
Une poétique symbolique va
Se décliner autour de ce médium,
Et cela le plus souvent de façon
Totalement inconsciente.
ergopsy.com/l-argile-un-
medium-presque-malleable
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Descriptif
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147 – Randonnée parc national La Gomera
Alignement central / Titre oblique / Thème rando
Forme courbe / Rimes libres / Fond approché de forme
Symbole de forme : figue / Symbole de fond : figuier
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Fond
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Évocation
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L’argile est matière abondante,
Souple à travailler en poterie :
De fait, elle héritera de multiples
Formes et multiples décorations.
.
Symbolique
.
La poterie à usage domestique
Est un travail réservé aux femmes
Elle est faite d’argiles de différentes
Couleurs selon les divers gisements.
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Les signes utilisés pour la décoration
Remontent pour certains à la Préhistoire
Et aux origines de l’alphabet tifinagh.
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La coloration se fait à base de kaolin
Ou d’oxyde ferro-manganique,
Ce qui permet d’obtenir
Des teintes vives.
Modifié : www.djazairess.com/
fr/lemidi/1006091902
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Corrélations
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Fond/forme
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La poterie est l’art de la fabrication
De contenant pour garder un contenu
Ou, tout au moins, pour bien s’en servir.
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Au Moyen-âge, elle est souvent remplacée
Par différentes tailles, et formes, de verres
Et au XX ème siècle par des plastiques
Au XXI ème par d’autres matières
Certaines poteries résisteront
À la cuisson, d’autres non.
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Randonnées de La Gomera
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Scénario
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Une vue aérienne de La Gomera, parc au centre, tout en verdure
avec une allée, en son milieu, nous invitant à randonnée découverte,
lors ailleurs, il y aura bien des flancs, des monts, abrupts, rocailleux.
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