158 – Volcan San Andres, le dernier, sur La Palma

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Visuels suggestion de scénario

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Tout au sud de l’île, un coin des plus arides,

suite à éruption récente,

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dont on voit, ici, la coulée de lave refroidie,

descendant vers l’océan,

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 cavité creusée  par le cratère du volcan

lors de sa dernière éruption.

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Textuels calligramme / extensions

£  +   &   #

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  • £ Ce volcan qui a recraché ses laves en 2004 et a fait gagner à l’ile, du terrain sur l’Océan, mettrait en danger, par sa chute en mer, endroits de la côte africaine : est-ce légende inventée ou probable réalité ! Il faut vous imaginer face à des monts désolés, face à des collines pelées où la verdure n’a pas encore trouvé place pour leur redonner vie. Si la végétation reprend ses droits, par endroits, on ne trouve d’abri, ombre, bois, pour se protéger. Les rayons du soleil parviennent même à nous dessécher, nous obligeant à revenir à notre point de départ pour piqueniquer. Notre dernière visite avant de quitter l’ile de La Palma est pour le Sud où se situe le territoire du dernier volcan en activité, brûlé par les coulées de laves jusqu’à la mer : terres gagnées, fertiles pour élevage du raisin, culture de banane ! Le centre de tourisme voisin nous a informé sur la formation du volcan,  sur ses éruptions, répétitions, transformations. Les cendres, graviers de lave, glissent et crissent sous nos pieds, tout au long du sentier, en descendant et en montant. Ce sentier se faufile dans un dédale de roches brutes en basalte pour nous hisser au sommet du volcan afin de nous offrir une vue imprenable sur l’océan ! Après nos visites précédentes, tant aux Açores qu’à La réunion, nous demeurons encore émerveillés par tous ces sites qui nous ont charmés D’un côté, tout en haut, un paysage dévasté, totalement nu et noir et sans espoir, et, de l’autre, tout en bas, des plantations de vignes de cépage malvaisie. Sous le soleil de plomb qui nous a desséché, les avons gouté, leur avons trouvé saveur fruitée. Nous avons vu quelques vignerons les cueillir, les charger dans des sacs, sur leurs dos, pour les descendre, en bas d’un sentier. Nous avons cherché un arbre, pour l’ombre, pour déjeuner : rien, à part un pin rabougri, poussé là, comme par miracle, de terre. Puis retour Santa Cruz par même route descente au phare et visite des salines. Phare au pied de l’eau comme gardien pour avertir les marins venant du cap vert ou ayant traversé l’atlantique en provenance des Antilles ou d’Amérique du sud, que les dangers liés au sol et à la terre et au volcan commence pour eux ici, de jour comme de nuit, tant il est vrai qu’il y a, parfois, ici même, des vents très forts accentués encore par l’effet venturi ou la houle démontée.

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  • + Rien ici

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  • & Un volcan en éruption récente et puis éteint a laissé des traces  de son activité par son cratère et ses longues coulées de laves ! La végétation mettra du temps à reconquérir un sol aride noir mais ici des vignes ont été planté sur un de ses cotés, sur mer et nous les avons traversé, lors d’une randonnée sous soleil. Pas d’arbres, pour faire de l’ombre, ni taches de verdure, pour s’asseoir pour déjeuner, rien que du sable : dur !

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  • # Notre planète Terre s’est  forgée, s’est formée par suite de glissements de plaques tectoniques, de catastrophes diverses et variées, et parfois volcaniques, entremêlant des éléments de terre, d’eau, de feu et d’air. Aujourd’hui, elle est plus calme, moins en mouvement mais, de temps en temps, un volcan se réveille et crache des laves en rivières coulant sur ses flancs ou cendres en grands panaches de fumées obscurcissant l’atmosphère. Comme le volcan de la Fournaise, en l’ile de La Réunion, celui d’ile de La Palma a répandu ses laves sur ses pentes enrichissant le sol pour plantations de bananiers, vignes, de quoi manger et boire,  survivre en cas de famine.

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Textuels symboliques et corrélations

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Volcan

  • Symbolique de forme : Le symbolisme d’un volcan est indissociable de celui de la montagne et de la lave, mélange de terre et de feu. Le volcan, traditionnellement, associe le domaine des dieux et les  forces telluriques, aux  feux  de l’intérieur : une puissance, énorme, terriblement dangereuse, terriblement destructrice.   Modifié : psychologies.com

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Cratère

  • Symbolique de fond : Un cratère volcanique est une dépression grossièrement circulaire, ou elliptique, qui  se trouve au sommet ou parfois sur les flancs d’un volcan formé par l’explosion ou l’effondrement. Il peut avoir des tailles variables allant de quelques mètres à plusieurs dizaines de kilomètres de diamètre. Les cratères peuvent se remplir d’eau et former des lacs.      Wikipédia : cratère

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Volcan > feu, terre, laves, fumées, colères

  • Liens fond/forme : L’élément feu est dominant, souvent, pour un volcan, sur son élément terre, bien qu’élémentaire, dès lors qu’il s’agit de fusion de matière sortant en laves, voire en fumées, d’un cratère, ses colères dans  l’air, par une cheminée, du  centre de la Terre où le magma déborde, vomit son trop plein énergie, le long  d’une  chaine, en surface, ou sous-marine.

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